3. La lecture des ratures et des ajouts

  1. « j’ai pensais pensé ».
  2. « progrés *progré ».
  3. « et les jeunnes jeunes ».
  4. « une jardin. ».
  5. « pour soigner pou tous les malade ».
  6. « orf orphelin. ».
  7. « nous fe farions ».
  8. « foyes foyers ».
  9. Dans l’énoncé : « *je vous écrit une cette lettre », le choix de cette au lieu de une insiste sur la spécificité de cette lettre et la grande importance que lui donne le maire.
  10. Dans l’énoncé : « *j’ai pensé à un projet qui important qui réalise un pas dans le progrès… », l’ajout de l’adjectif important avant de reprendre la subordonnée relative, met l’accent sur la nécessité de réaliser ce projet.
  11. Dans les énoncés : « nous sommes dans une communauté commune » et « et vous savez que dans cette communauté commune », la correction de communauté par commune reviendrait ou bien à la conscience de la différence de sens entre les deux noms, ou bien à la relecture du sujet donné : « vous êtes le maire d’une petite commune… ».
  12. Dans l’énoncé : « *je proposerais beau plusieurs raisons », l’énonciateur aurait l’intention de dire beaucoup de raisons. Le remplacement de beaucoup par plusieurs, montre un certain réalisme puisque beaucoup de signifie un grand nombre, alors que plusieurs signifie un certain nombre de projetsDéfinition tirée du Petit robert..
  13. Dans l’énoncé : « *on propose de faire laisser quelque mètre de terrain pour un jardin public », le fait d’être conscient qu’on ne peut pas dire faire un jardin public et comme le verbe aménager échappe à l’étudiante, cette dernière a opté pour l’expression laisserquelque mètre. Cette stratégie d’évitement révèle un souci de présenter un discours cohérent.
  14. L’ajout de l’introduction après avoir commencé la lettre par l’exposition des besoins de la commune prouve un certain savoir linguistique et pragmatique puisque dans une lettre de revendication, il faudrait d’abord exposer le but de la lettre.