2. Sur le plan pragmatique

  1. L’opposition entre le Liban d’hier et le Liban d’aujourd’hui.
  2. Une première cause du bruit : l’installation des secteurs économiques dans la ville.
  3. L’exode vers la ville.
  4. Une deuxième cause : l’embouteillage.
    1. Une troisième cause : ( *la technologie de machine).
    2. Une première conséquence : maladies dans l’environnement.
    3. Une deuxième conséquence : dangers pour l’homme.
  1. Une troisième conséquence : le bruit nous rend tristes.
    1. Des solutions proposées.
  1. Ce qui … pour introduire une conséquence.
  2. Pour cela…, afin de… un but.
  3. Car … une cause.
  4. Et puis … deux arguments successifs.
  5. Une contradiction inférentielle dans les énoncés : « *le liban était le pays le plus beau. parmi * tous les villes » et «*il y a un maladie très grave qui est le bruit », le Liban, n’étant pas une ville, et le bruit n’étant pas une maladie.
  6. La difficulté dans l’interprétation de l’énoncé : « *ce qui rend la vie dans la ville économique très ennuyeux, très difficile » où l’adjectif économique qu’il faut remplacer par industrielle, ne paraît pas tout à fait correspondant à la description de la ville malgré les sèmes communs entre économique et industrielle, puisque le mot industrie rime beaucoup plus avec le mot bruit que le mot économie.
  7. Notons aussi la difficulté dans l’interprétation due à la structure erronée et au déficit lexical dans l’énoncé : « *tous celacause le bruit qu’il passe a nos profond âme et tue tous ce qui est jolie et il nous rend tristes » comme nous l’avons déjà expliqué plus haut. (cf. Sur le plan syntaxique 5°)