1. Sur le plan syntaxique

1. L’omission de l’anaphorique contextuel le dans l’énoncé : « *il a trouvé Jean Lescure mort dans sa maison poignardé, un côté dans dos » qu’il faudrait corriger par :… dans le dos. Signalons que l’emploi de il sans référent qu’il faudrait remplacer par on rend l’interprétation assez difficile, il en est de même pour le mot côté qu’il faudrait corriger en : couteau, l’arme utilisé dans le crime.
2. Le remplacement de de au par en dans l’énoncé : « *en début ils ont interrogé Froment ».
3. La confusion dans les fonctions de qui et que dans les énoncés : « *ils ont interrogé Froment qu’il avait un alibi et qu’il était innocent » et «*Fabrice Beaulieu le directeur d’une banque qu’il a disparu » qu’il faudrait respectivement corriger en : ils ont interrogé Frémont qui avait un bon alibi prouvant son innocence et Fabrice Beaulieu, le directeur d’une banque, qui avait disparu après le scandale de l’affaire « rêve 2000 ». Signalons que dans le deuxième énoncé la contradiction inférentielle due au remplacement du plus-que-parfait par le passé composé ne souligne pas l’antériorité de l’action par rapport à l’enquête et la découverte faite par Berthier.
4. Le remplacement du pronom anaphorique cotextuel le par le pronom lui dans l’énoncé : « *il est allé chez M. Beaulieu pour lui interroger » qu’il faudrait en : il est allé chez Madame Beaulieu pour l’interroger. Notons que l’abréviation de Madame par M. rend l’énoncé illogique en contradiction avec la représentation du monde et des mondes puisque Fabrice Beaulieu a été assassiné. Notons également une instabilité dans l’accord du participe passé avec l’auxiliaire avoir dans les verbes :
5. 1. Ils ont *découverts.
   2. Mais :
   3. Ils ont interrogé.
   4. Ils ont commencé.