Université Lumière Lyon 2
Ecole Doctorale Humanités et Sciences humaines
Facultés des langues
Département des langues romanes
Le mélodrame cinématographique mexicain dans ses rapports avec Cuba (1938-1958) : Enjeux esthétiques et critiques
Thèse de doctorat d’Etudes ibériques et méditerranéennes
Spécialité Espagnol
Dirigée par Jean-Claude SEGUIN
Présentée et soutenue publiquement le 6 décembre 2003
Devant un jury composé de :
Monsieur le Professeur James DURNERIN
Madame le Professeur Michèle GUICHARNAUD-TOLLIS
Monsieur le Professeur Emmanuel LARRAZ
Madame le Professeur Françoise MOULIN-CIVIL

Remerciements

Ce travail est le résultat de recherches amorcées au cours de l’année 1998-1999 dans le cadre de la préparation d’un D.E.A. sous la direction de Monsieur le Professeur Jean-Claude SEGUIN à l’Université Lumière-Lyon II.

Le travail effectué au Mexique et à Cuba a été possible grâce aux facilités matérielles fournies par l’École Normale Supérieure de Fontenay/Saint-Cloud, ainsi que l’obtention d’une bourse Aires Culturelles du Ministère de la recherche.

Mes plus vifs remerciements s’adressent ici à Monsieur le Professeur Jean-Claude Seguin, dont la disponibilité à toute épreuve et les diverses remarques ont accompagné l’élaboration et la rédaction de ce travail à toutes ses étapes.

Au Mexique, le Directeur du Centro de Investigaciones y Estudios Cinematográficos de Guadalajara, Eduardo de la Vega Alfaro, ainsi que Rosario Vidal, m’ont apporté un soutien précieux, tans sur le plan professionnel que personnel.

À Cuba, Luciano Castillo, responsable du centre de documentation de l’Escuela de Cine y TeleVisión de San Antonio de los Baños m’a généreusement ouvert les portes des ressources dont il disposait. Les chercheurs et critiques de cinéma Juan Antonio García Borrero, Nery Sellera et Désirée Díaz Díaz m’ont apporté une aide dont je leur suis particulièrement reconnaissante.

Ce travail n’aurait sans doute pas pu arriver à son terme sans le soutien, tant scientifique qu’amical, de Carmen Val Julián, Paulo Antonio Paranaguá, Béatrice Rodríguez, Sergi Ramos, Julien Roger et Marie-Linda Ortega. Leurs conseils et encouragements ont été déterminants.

Enfin, la recherche étant parfois elle-même un mélodrame, j’adresse ici mes plus affectueuses pensées à mes proches des deux côtés de l’Océan, et en particulier à Benoît Guillouet, soutien de toujours et de tous les jours.

Ce travail est dédié à la mémoire de René Amiot, qui a suivi pas à pas mes avancées académiques.