La mémorisation

Si la reconnaissance des odeurs est médiocre, la mémorisation est en revanche performante. Elle l’est même plus que celle des impressions visuelles, du fait que les odeurs sont engrangées dans leur intégralité comme une réalité autonome (Dubois et Rouby, 1997 a) :

‘« odors are not encoded with multiple perceptual attributes. They are less easily learned and cannot be rehearsed, but because they are learned holistically, are less likely to undergo feature distortion in memory » (Solomon, 1990, 497).’