3.4.2. L’aspect olfactif

La description de l’aspect olfactif arrive très vite après l’ouverture. Mais elle est aussi essaimée en plusieurs lieux de la séquence puisqu’on la trouve :

‘JJ mais il est il est très euh il est très (blanc quand même) fleur blanche hein non’
JP fleur blanche c'est-à-dire
JJ ben c’côté floral de fleur blanche peu peu peu aromatique mais tu sais cette espèce de p’tite euh
JP au nez mais en bouche
JJ non au nez hein (JJ & Co n°22, 1008),’

L’examen olfactif occupe une grande partie de la séquence de dégustation puisque le geste praxique de sentir est réitéré comme chez les professionnels. Le nez est un premier "guide" vers la reconnaissance, même si les non professionnels ne procèdent pas aussi méticuleusement que les professionnels. On relève par exemple :

oui très très bien, très beau bouquet (S.A.V. n°15, 821),
ce vin est beau (JJ & Co n°24, 1358),
i sent très bon ah vraiment euh (JJ & Co n°24, 1363),

JP c’est pas mal hein
JJ oui, de toute façon c’est très bien (JJ & Co n°22, 980),

ça a une odeur de blanc typique un peu piquante (S.A.V. n°15, 776),

ben comme nez c'est beaucoup plus intéressant qu' les p'tits flacons hein (JJ & Co n°22, 984),

‘c'est une odeur envahissante (S.A.V. n°16, 1130),
cette odeur est très très forte (S.A.V. n°17, 1358),’ ‘i remonte… puissant tout d’un coup (JJ & Co n°24, 1377),’