L’impression générale consiste, pour les non professionnels, à trouver une qualification consensuelle finale et, souvent aussi, lorsqu’il s’agit du deuxième ou troisième vin, à élaborer des comparaisons sensorielles qui distinguent le vin des précédents.
Elle peut aussi s’exprimer par une impression subjective personnelle :
‘il est bien moi j’aime beaucoup ces vins (JJ & Co n°22, 1068),Le rappel des vins précédents (qui viennent d’être dégustés et donc identifiés) sert de point de comparaison au moment de juger et d’identifier le nouveau vin :
‘cette odeur est très très forte tu peux pas la confondre avec celle de tout à l’heure (S.A.V. n°17, 1341),L’analyse comparative est un premier moyen d’aborder l’étape suivante, celle de l’identification : les participants commencent par définir le vin à l’aveugle en ce qu’il n’est pas, comparé aux précédents.
Elle n’est pas forcément évoquée. On la trouve dans une intervention isolée :
‘un bon blanc avec des huîtres ce s’rait pas mal ça (S.A.V. n°15, 901),’ou comme sous-thème :
ah ça c’est un vin à manger- à boire avec du saucisson des trucs (S.A.V. n°17, 1439),
et jamais une fois l’identité du vin révélée.
Voir aussi S.A.V. n°16, 1206-1222.