Figures

Fig. 1 : Carte générale du Maroc
Fig. 1 : Carte générale du Maroc

D’après : H. Beguin, L’organisation de l’espace au Maroc, Bruxelles, 1974, p. 10.

Fig. 2 : Les qbsa-s du nord du Maroc et du Gharb.
Fig. 2 : Les qbsa-s du nord du Maroc et du Gharb. A- Vue d’une q  b  sa de plan rectangulaire, constituée d’un maillage de roseaux entrelacés.

D’après : A. de Sierra, Vivienda marroqui (notas para una teoria), Ceuta, 1960, p. 78.

B- Une
B- Une q  b  sa en cours de construction, dans le Gharb.

D’après : J. Le Coz, Le Rharb : fellahs et colons, t. 1, Paris, 1964, pl. XXI.

Fig. 3 : les
Fig. 3 : les nw  la-s du Maroc atlantique. A : Vue d’un village de nw  la-s près de Mazagan au début du 20e siècle. Plusieurs huttes cylindro-coniques recouvertes d’un toit de chaume sont disposées à l’intérieur d’un enclos, également de paille.
B : Détail d’une
B : Détail d’une nw  la du même village.

D’après : E. Doutté, Merrâkech, Paris, 1905, p. 285-286.

Fig. 4 : Plan d’une tente du Moyen Atlas
Fig. 4 : Plan d’une tente du Moyen Atlas

D’après : E. Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central : I La tente et le douar », Hespéris, X, 1930, p. 163.

Fig. 5 : Deux vues d’une tente dans le Sahara occidental.
Fig. 5 : Deux vues d’une tente dans le Sahara occidental. L’aspect général de la structure ressemble aux tentes du Moyen Atlas

D’après : J. Caro Baroja, Estudios saharianos, Madrid, 1990, p. 231.

Fig. 6 : Les maisons pluricellulaires du Hab.
Fig. 6 : Les maisons pluricellulaires du Hab. Des unités d’habitation (s  a , chambre), sont disposées autour d’une cour centrale (qawr).

D’après : E. Michaux - Bellaire, « Quelques tribus de montagnes de la région du Habt », Archives marocaines, XVII, 1911, p. 107.

Fig. 7 : Maisons pluricellulaires à Farrn ‘Ali.
Fig. 7 : Maisons pluricellulaires à Farrn ‘Ali.

D’après : R. El Hraïki et Y. Montmessin, « Le douar potier de Farran-Ali : étude ethno-archéologique », Bulletin d’Archéologie Marocaine, t. XVIII, 1998.

Fig. 8 : Maisons du Rif.
Fig. 8 : Maisons du Rif. De forme allongée, ces nefs sont établies généralement sur des terrains en pente.

D’après : A. De Sierra, Vivienda marroqui (notas para una teoria), Ceuta, 1960, p. 81.

Fig. 9 : Coupe d’une maison-type de Capileira (Andalousie)
Fig. 9 : Coupe d’une maison-type de Capileira (Andalousie)

D’après : M.-Ch. Delaigue, Capileira, village andalous, Oxford, 1988, p. 338.

Fig. 10 : Maison des Tsl (région de Taza)
Fig. 10 : Maison des Tsl (région de Taza) Plusieurs unités d’habitation composent la maison, organisée autour d’une cour centrale : 1 : lb  t (chambre) ; 2 : lamr  (cour centrale) ; 3 : entrée ; 4 : escalier de la ghurfa (pièce haute)
Fig. 11 : Phases de l’évolution schématique du plan d’une maison pluricellulaire chez les Ghudma (Haut Atlas).
Fig. 11 : Phases de l’évolution schématique du plan d’une maison pluricellulaire chez les Ghudma (Haut Atlas).

D’après : A. Amahan, Peuplement et vie quotidienne dans un village du Haut-Atlas marocain, Abadou de Ghoujdama, Paris, 1981.

Fig. 12 : Maison des Ammeln, dans l’Anti Atlas.
Fig. 12 : Maison des Ammeln, dans l’Anti Atlas. A : Plan du rez-de-chaussée, avec au milieu l’asar  g et un puits de lumière.
B : Plan de l’étage, les chambres donnent sur les galeries entourant le puits de lumière.
B : Plan de l’étage, les chambres donnent sur les galeries entourant le puits de lumière.

A. Adam, « La maison et le village dans quelques tribus de l’Anti-Atlas », Hespéris, XXXVII, 1950, pl. X et XI.

Fig. 13 : Maison de Tafrwt (Anti Atlas)
Fig. 13 : Maison de Tafrwt (Anti Atlas) Dans une région caractérisée par un terrain rocheux et accidenté, la maison s’appuie sur la falaise et s’organise autour de l’escalier.

D’après : A. Adam, « La maison et le village dans quelques tribus de l’Anti-Atlas », Hespéris, XXXVII, 1950, pl. XIII.

Fig. 14 : Maison dans une ferme isolée du Moyen Atlas
Fig. 14 : Maison dans une ferme isolée du Moyen Atlas La pièce centrale de la tadd  rt est éclairée par une lucarne. Elle est entourée de plusieurs chambres d’habitation ou de réserves.

D’après : E. Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central : (suite) II La maison » Hespéris, XIV, 1932, p. 120.

Fig. 15 : Maison dans un village au Moyen Atlas
Fig. 15 : Maison dans un village au Moyen Atlas La même disposition que dans le cas précédent (fig. 14) est observée. Plusieurs pièces de séjour et de réserve s’organisent autour de l’espace central (Amm  s n add  rt).

D’après : é. Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central : (suite) II La maison » Hespéris, XIV, 1932, p. 130.

Fig 16 : Maison dans un hameau, à Tunfit (Moyen Atlas)
Fig 16 : Maison dans un hameau, à Tunfit (Moyen Atlas) Bâtie par des maçons originaires du Tafilalt, cette maison en   biya est partagée en quatre espaces : un couloir servant d’étable (La‘l ) ; une pièce d’habitation (Tadd  rt n luwash  n) ; une bergerie (A  an  n ulli) et un grenier (A  an  n walim).

D’après : é. Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central : (suite) II La maison » Hespéris, XIV, 1932, p. 158.

Fig. 17 : Maison de Figuig
Fig. 17 : Maison de Figuig Maison du type qrien, organisée autour d’un puits de lumière encadré par des piliers de briques crues. A : le rez-de-chaussée.
B : l’étage, établi en partie en encorbellement sur la rue.
B : l’étage, établi en partie en encorbellement sur la rue.

D’après : Cdt. Pariel, « La maison à Figuig », Revue d’ethnographie et de sociologie, 1912, p. 260-261.

Fig. 18 : Une maison dans le Qar de Nesrat, Tafilalt.
Fig. 18 : Une maison dans le Qar de Nesrat, Tafilalt. A : Rez-de-chaussée ; B : Premier étage ; C : Terrasse. 1- Réserve de céréales ; 2- cour ; 3- pilier ; 4- réserve de céréales ; 5- galerie ; 6- foyer ; 7- enclos ; 8- porte d’une maison mitoyenne ; 9- parapet ; 10- foyer.

D’après : 64 Kasba study group, Living on the edge of the Sahara, La Haye, 1973, p. 166.

Fig. 19 : Maison dans le qar de Awld Lmn
Fig. 19 : Maison dans le qar de Awld Lmn

D’après : 64 Kasba study group, Living on the edge of the Sahara, La Haye, 1973.

Fig. 20. : Exemples des habitats de falaise de la région de Guadix.
Fig. 20. : Exemples des habitats de falaise de la région de Guadix.

D’après : M. Bertrand, « Cuevas d’al-Andalus et cuevas chrétiennes. Origines et évolution de l’habitat troglodytique des hauts plateaux de Grenade », Castrum 6 : Maisons et espaces domestiques dans le monde méditerranéen au Moyen âge, Rome, 2000, p. 34.

Fig. 21 : Maisons construites en pente, à Siysa (région de Murcie, Espagne).
Fig. 21 : Maisons construites en pente, à Siysa (région de Murcie, Espagne).

D’après : J. Navarro Palazon et P. Jimenez Castillo, « Plantas altas en edificios andalusies. La aportacion de la arqueologia », Arqueologia Medievale, 4, 1996.

Fig. 22 : Coupes d’une maison kabyle.
Fig. 22 : Coupes d’une maison kabyle. L’habitation monocellulaire est subdivisée en trois espaces : une salle commune de séjour, une étable et une soupente servant de grenier ou de lit.

D’après : C. Vicente, « L’habitation de Grande Kabylie », Cahiers des arts et techniques d’Afrique du Nord, 5, 1959, p. 22.

Fig. 23 : Fragments d’omoplates gravés d’inscription talismanique.
Fig. 23 : Fragments d’omoplates gravés d’inscription talismanique. La protection de l’espace domestique ou des réserves faisait appel à des pratiques magico-religieuses utilisant l’écriture arabe.

D’après : A. Fernandez Ugalde, « ¡Que Dios nos conserve el grano ! Una interpretacion de los omoplatos con inscripcion arabe procedentes de yacimientos medievales », Al-Qanara, XVIII, 1997, p. 274.

Fig. 24 : Décor en forme de palmette à cinq branches, inspiré du motif de la « main de Fma ».
Fig. 24 : Décor en forme de palmette à cinq branches, inspiré du motif de la « main de Fma ».

D’après : é . Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central : (suite) II La maison » Hespéris, XIV, 1932, p. 152.

Fig. 25 : La posture accroupie, dans une miniature arabe du 13
Fig. 25 : La posture accroupie, dans une miniature arabe du 13e siècle.

D’après : R. Ettinghausen, La peinture arabe, Genève, 1977, p. 126.

Fig. 26 : « L’art de la table » en Orient musulman.
Fig. 26 : « L’art de la table » en Orient musulman. Trois traditions du service du repas : avec une sufra, à la bédouine ; sur une table basse à la manière citadine et sur une table haute de Byzance.

D’après : J. Sadan, Le mobilier au Proche Orient médiéval, Leiden, 1976, p. 9.

Fig. 27 : Fragments et reconstitution d’une table basse découverte à Lliétor.
Fig. 27 : Fragments et reconstitution d’une table basse découverte à Lliétor.

D’après : J. Navarro Palazon et A. Robles Fernandez, Liétor. Formas de vida rurales en arq al-Andalus a través de una ocultacion de los siglosX-XI, Murcie, 1996.

Fig. 28 : éléments constitutifs d’un coffre kabyle
Fig. 28 : éléments constitutifs d’un coffre kabyle

D’après : M. Gast et Y. Assié, Des coffres puniques aux coffres kabyles, Paris, 1993.

Fig. 29 : Contenants mobiles de céréales dans les maisons marocaines.
Fig. 29 : Contenants mobiles de céréales dans les maisons marocaines. A : Askal en vannerie du Moyen Atlas

D’après : é. Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central : (suite) II La maison » Hespéris, XIV, 1932, p. 128

B : Askal des bla.
B : Askal des bla.

D’après : E. Michaux - Bellaire, « Quelques tribus de montagnes de la région du Habt », Archives marocaines, XVII, 1911, p. 114.

Fig. 30 : Trépied en fer, découvert en al-Andalus.
Fig. 30 : Trépied en fer, découvert en al-Andalus.

D’après : A. Bazzana, Maisons d’Al-Andalus. Habitat médiéval et structures du peuplement dans l’Espagne orientale, Madrid, 1992, pl. LII.

Fig. 31 : Moulins à bras (exemples marocains).
Fig. 31 : Moulins à bras (exemples marocains).

D’après : E. Laoust, Mots et choses berbères, Paris, 1920, p. 44.

Fig. 32 : L’Ighram de yt ‘A : plan du village et de la mosquée
Fig. 32 : L’Ighram de yt ‘A : plan du village et de la mosquée

D’après : E. Laoust, « L’habitation chez les transhumants du Maroc central (suite et fin) : III : l’ierm», Hespéris, XVIII, 1934, p. 125-130.

Fig. 33 : Les mosquées de Gharuzm.
Fig. 33 : Les mosquées de Gharuzm. A : Sd Sb‘ ; B : Mqba‘.

D’après : A. Bazzana, P. Cressier, L. Erbati., Y. Montmessin, & A. Touri, « Première prospection d’archéologie médiévale et islamique dans le Nord du Maroc (Chefchaouen -Oued Laou- Bou Ahmed) », Bulletin d’Archéologie Marocaine, XV, 1983-1984, p. 403.

Fig. 34 : Plan de la mosquée de Trgha.
Fig. 34 : Plan de la mosquée de Trgha.

D’après : A. Bazzana, P. Cressier, L Erbati., Y Montmessin, & A Touri, « Première prospection d’archéologie médiévale et islamique dans le Nord du Maroc (Chefchaouen -Oued Laou- Bou Ahmed) », Bulletin d’Archéologie Marocaine, XV, 1983-1984, p. 430.

Fig. 35 : Plan d’un village de
Fig. 35 : Plan d’un village de nw  la-s de la région de Rabat. Les huttes sont entourées par des enclos matérialisés par des haies.

D’après : 64 Kasba study group, Living on the edge of the Sahara, La Haye, 1973, p. 36.

Fig. 36 : Carte du Maroc, avec quelques sites d’habitats fortifiés.
Fig. 36 : Carte du Maroc, avec quelques sites d’habitats fortifiés.

Carte réalisée par Y. Montmessin, d’après : Y. Benhima, « L’habitat fortifié au Maroc médiéval : éléments d’un bilan et perspectives de recherche, Archéologie islamique, 10, 2000, p. 80.

Fig. 37 : Fortification de l’Oued Baht, présumée préhistorique.
Fig. 37 : Fortification de l’Oued Baht, présumée préhistorique. Elle adopte la forme classique de l’éperon barrée.

D’après : A. Ruhlmann, « Enceintes préhistoriques marocaines », Bulletin de la Société de Préhistoire du Maroc, X, 3-4, 1936.

Fig. 38 : Les
Fig. 38 : Les igud  r du sud du Maroc. A : Anti Atlas occidental, versant saharien ; Climat aride ; population sédentaire en contact avec des nomades ; économie agropastorale. Des enclos juxtaposés ou concentriques occupés par des greniers de différentes formes ; construction en pierre ; annexes.
B :
B : Anti Atlas occidental, versant nord; Nature clémente, peuplement essentiellement berbère, pratique généralisée de l’agriculture. Grenier à plan régulier, à allée médiane, souvent à forme circulaire, enclos, mosquée annexes, construction en pierre.
C :
C : Anti Atlas central ; Nature assez aride ; population sédentaire pratiquant l’agriculture et l’élevage et accomplissant des migrations saisonnières. Greniers essentiellement à cours internes et rarement à allée médiane ; construction en pierre.
D :
D : Anti Atlas oriental; Nature assez aride, surtout sur le versant saharien ; population berbère au nord, berbère et arabe (Ma‘qil) au sud ; l’existence à la fois de modes de vie sédentaire et nomade. Grands greniers en pierre plus anciens que d’autres plus petits en  biya ; différents types de plans ( à allée médiane, en arêtes de poisson, plan elliptique).
E :
E : Siroua; Massif montagneux, population pratiquant une économie de transhumance. Greniers de falaise ; greniers construits en pierre ou en  biya ; plans très divers (à cour centrale, à allées médianes, circulaire ou elliptique ) ; annexes.
F :
F : Haut Atlas occidental; Au nord de Taroudant, région montagneuse à haute altitude (+3000 m); Construction en pierre ou en pisé ; plans à cour centrale, à allée médiane ou de forme elliptique.
G :
G : Vallée de Dra; Région à climat semi-aride, population sédentaire habitant des q  r en contact avec des nomades. Absence de greniers collectifs, fonction assurée par les q  r, à la fois village et entrepôt.
H :
H : Haut Atlas oriental, versant saharien; Massif montagneux compact, économie agropastorale basée sur la transhumance ; arboriculture vers les plaines; Construction en  biya, rareté des greniers collectifs suppléés par des villages fortifiés.
I :
I : Haut Atlas oriental, versant nord; Massif à haute altitude (+3000 m), population sédentaire ou semi-nomade, Usage répandu, grenier essentiellement familial, construction en pierre ou en  biya ; deux types de plans (à cour centrale, à allée médiane) ; annexes ; greniers de falaise.

D’après : Dj. Jacques-Meunié, Greniers citadelles du Maroc, Paris, 1951.

Fig. 39 : La Tighramt d’Ighrem Melloul
Fig. 39 : La Tighramt d’Ighrem Melloul

D’après I. Mikander, « La tirghemt d’Irghem Melloul », Bulletin d’Archéologie Marocaine, XVI, 1985-86, p. 383.

Fig. 40 : L’
Fig. 40 : L’agad  r d’Oumsdikt (Anti Atlas) A- partie sud.
B- partie nord.
B- partie nord.

D’après : A. Humbert et M. Fikri, « Les greniers collectifs fortifiés de l’Anti-Atlas occidental et central. Études de cas », Castrum 5 : Archéologie des espaces agraires méditerranéens au Moyen âge, Madrid, 1999, p. 364.

Fig. 41 : Le cabezo de la Corbetera (Murcie, Espagne)
Fig. 41 : Le cabezo de la Corbetera (Murcie, Espagne)

D’après : F. Amigues, J. De Meulemeester et A. Matthys, « Archéologie d’un grenier collectif fortifié hispano-musulman : Le cabezo de la Cobertera (vallée du Rio Segura / Murcie) », Castrum 5, 1999.

Fig. 42 : Greniers de falaise dans la région de Mgna.
Fig. 42 : Greniers de falaise dans la région de Mgna.

D’après : J. Gattefossé, « Les greniers de falaise, forme ancienne de l’agadir collectif », Bulletin de la société de préhistoire du Maroc, 3-4, 1934, p. 99.

Fig. 43 :
Fig. 43 : Q  r du Dadès. A : Agoummate (Skoura). Village fortifié composé de plusieurs habitations organisées autour d’une allée médiane couverte.
B : Qar Ayt al-Kharrz (Skoura). Maisons à patio central groupées en hameau fortifié, doté d’une mosquée.
B : Qar Ayt al-Kharrz (Skoura). Maisons à patio central groupées en hameau fortifié, doté d’une mosquée.

D’après : Dj. Jacques - Meunié, Architecture et habitat du Dadès, Paris, 1962, p. 26-29.

C : Qar al-Qabbla (Skoura). Agglomération fortifiée composée de plusieurs maisons familiales, d’un
C : Qar al-Qabbla (Skoura). Agglomération fortifiée composée de plusieurs maisons familiales, d’un mall  pour les habitants juifs et dotée d’une mosquée et d’une z  wiya.

D’après : Dj. Jacques - Meunié, Architecture et habitat du Dadès, Paris, 1962, p. 38.

Fig. 44 :
Fig. 44 : Qa  ba-s du Dadès. Ces maisons familiales fortifiées sont toujours organisées autour d’une cour centrale encadrée par des piliers. Outre les pièces d’habitation, elles contiennent plusieurs locaux de service. A : Dr Ayt Bal-usayn
B : Dr Ayt amm.
B : Dr Ayt amm.

D’après : Dj. Jacques -Meunié, Architecture et habitat du Dadès, Paris, 1962, p. 30-31.

Fig. 45 : ‘Ayn Nzar, village fortifié de la région d’Oujda.
Fig. 45 : ‘Ayn Nzar, village fortifié de la région d’Oujda.

J. Marion, « Les ruines anciennes de la région d’Oujda (Dir Ras Asfour) », Bulletin d’Archéologie Marocaine, II, 1957, p. 135.

Fig. 46 : Plan de la fortification de Dr al-Suln à Trgha (bla)
Fig. 46 : Plan de la fortification de Dr al-Suln à Trgha (bla)

D’après : A. Bazzana, P. Cressier, L Erbati., Y Montmessin, & A Touri, « Première prospection d’archéologie médiévale et islamique dans le Nord du Maroc (Chefchaouen -Oued Laou- Bou Ahmed) », Bulletin d’Archéologie Marocaine, XV, 1983-1984, p. 421.

Fig. 47 : Plan de la fortification de rib Agz (région de Safi)
Fig. 47 : Plan de la fortification de rib Agz (région de Safi)

D’après : B. Rosenberger, « Note sur Kouz, un ancien port à l’embouchure de l’oued Tensift », Hespéris-Tamuda, VIII, 1967, p. 38.

Fig. 48 : Le site fortifié de Muly Bslhm, dans le Gharb.
Fig. 48 : Le site fortifié de Muly Bslhm, dans le Gharb.

D’après : D. Eustache, « El Bara, capitale idrissite et son port », Hespéris, XLII, 1955, p. 220.

Fig. 49 : Carte générale du Maroc au 11
Fig. 49 : Carte générale du Maroc au 11e –12e siècle.

D’après : H. Beguin, L’organisation de l’espace au Maroc, Bruxelles, 1974, p. 101.

Fig. 50 : Carte de la façade méditerranéenne du Maroc aux 13
Fig. 50 : Carte de la façade méditerranéenne du Maroc aux 13e-14e siècles. Le développement du réseau urbain côtier contraste avec l’absence de grands centres urbains à l’intérieur.

D’après : P. Cressier, « Le développement urbain des côtes septentrionales du Maroc au Moyen âge : frontière intérieure et frontière extérieure », Castrum 4 : frontière et peuplement dans le monde méditerranéen au Moyen âge, Rome-Madrid, 1992.

Fig. 51  b et b: Cartes du Maroc au 16
Fig. 51  b et b: Cartes du Maroc au 16e siècle

D’après Léon l’Africain, éd. Epaulard, Paris, 1956.

Fig. : 52 : Morphologie parcellaire de la vallée de Pego (Espagne)
Fig. : 52 : Morphologie parcellaire de la vallée de Pego (Espagne) En traits gras, les traces du parcellaire régulier issu de la colonisation chrétienne (1280-1286) ; en traits fins, vestiges du parcellaire de l’époque islamique, lié aux qur.

D’après : J. Torro, « La colonizacion des valle de Pego (c. 1280-c. 1390). Prospeccion y estudios morfologico : primeros resultados », Arqueologia espacial, 19-20, 1998, p. 457.

Fig. 53 : Parcellaire ancien de la région d’al-Bara (awz de Marrakech)
Fig. 53 : Parcellaire ancien de la région d’al-Bara (awz de Marrakech)

D’après : B. Louhmadi, « L’aménagement d’un espace agricole à l’époque almohade : la seguia Yaqoubia au 12e siècle », Archéologie islamique, 8-9 1999, p. 109.

Fig. 54 : Relief des plaines atlantiques moyennes.
Fig. 54 : Relief des plaines atlantiques moyennes.

D’après : Géographie du Maroc, p. 163.

Fig. 55 : Le peuplement de la région de Safi au 12
Fig. 55 : Le peuplement de la région de Safi au 12e siècle
Fig. 56 : Le peuplement de la région de Safi avec l’arrivée des tribus arabes (fin 12
Fig. 56 : Le peuplement de la région de Safi avec l’arrivée des tribus arabes (fin 12e siècle- première moitié du 13e siècle)
Fig. 57 : Le peuplement de la région de Safi au milieu du 14
Fig. 57 : Le peuplement de la région de Safi au milieu du 14e siècle
Fig. 58 : Le peuplement de la région de Safi au 16
Fig. 58 : Le peuplement de la région de Safi au 16e siècle
Fig. 59 : Crochet en os de tradition moustérienne découvert sur le site de bal Ighd
Fig. 59 : Crochet en os de tradition moustérienne découvert sur le site de bal Ighd

D’après : A. Salih, « Découverte d’un crochet moustérien en os dans la grotte du Jebel Irhoud (Maroc) », Préhistoire Anthropologie méditerranéenne, t. 2, 1993, p. 27.

Fig. 60 : Carte des sites puniques découverts sur la côte atlantique du Maroc
Fig. 60 : Carte des sites puniques découverts sur la côte atlantique du Maroc

D’après : A. Luquet, « Contribution à l’Atlas archéologique du Maroc : Le Maroc punique », Bulletin d’Archéologie Marocaine, t. IX, 1973-1975, p. 238.

Fig. 61 : éléments constitutifs de l’araire et de la charrue.
Fig. 61 : éléments constitutifs de l’araire et de la charrue.

D’après : G. Comet, Le paysan et son outil. Essai d’histoire technique des céréales (France, VIIIe-XVe siècle), Rome, 1992, p. 50.

Fig. 62 : Carte topographique de Rib Shkir (Zaouiya Sidi Chiker sur la carte)
Fig. 62 : Carte topographique de Rib Shkir (Zaouiya Sidi Chiker sur la carte)

D’après : La carte topographique de Sidi Chiker (1/50 000e).

Fig. 63 : La mosquée de Rib Shkir.
Fig. 63 : La mosquée de Rib Shkir. La baie géminée est encadrée par un arc polylobé, surmonté d’un arc festonné. Son décor, de facture simple, rappelle le décor des minarets almohades. A : Vue générale du minaret.
B : Détail de la façade ouest.
B : Détail de la façade ouest.
Fig. 64 : Carte de situation des différents sites archéologiques du secteur d’Agz.
Fig. 64 : Carte de situation des différents sites archéologiques du secteur d’Agz.

D’après : La carte topographique de Souira Qdima (1/50 000e).

Fig. 65 : Le site d’Agz
Fig. 65 : Le site d’Agz A : Les méandres que dessine le Tansift témoignent des changements répétés de son cours, alors que son ensablement est perceptible sur la photographie. Son faible débit actuel est représentatif de cette grande évolution du paysage : le cours desséché d’aujourd’hui était bel et bien navigable jadis.
B : Le site fortifié d’Agz. Traces de murs arasés en pierre : les vestiges dessinent un angle droit attestant la présence à l’intérieur de la première enceinte du site, d’un local rectangulaire. Sa fonction reste inconnue.
B : Le site fortifié d’Agz. Traces de murs arasés en pierre : les vestiges dessinent un angle droit attestant la présence à l’intérieur de la première enceinte du site, d’un local rectangulaire. Sa fonction reste inconnue.
Fig. 66 : Le site d’Agz
Fig. 66 : Le site d’Agz A : Le mur d’enceinte d’Agz, construit en pierre, n’est que très partiellement conservé, au côté méridional du site. Les parements sont constitués de moellons de dimensions moyennes disposés en assises régulières.
B : La masse du mur est formée d’un mélange de pierres brutes de taille moyenne, de terre, de pierraille et de chaux.
B : La masse du mur est formée d’un mélange de pierres brutes de taille moyenne, de terre, de pierraille et de chaux.
Fig. 67 : Plan du site de Dr Ya‘l.
Fig. 67 : Plan du site de Dr Ya‘l.
Fig. 68 : Dr Ya‘l.
Fig. 68 : Dr Ya‘l. A : Le site surplombe, du côté sud-est, une vallée encaissée par un cours d’eau temporaire.
B : Vestiges de la partie ouest de l’enceinte de Dr Ya‘l.
B : Vestiges de la partie ouest de l’enceinte de Dr Ya‘l.
Fig. 69 : Plan du rez-de-chaussée du Rib de Sousse.
Fig. 69 : Plan du rez-de-chaussée du Rib de Sousse. Les différentes cellules destinées à la résidence des murbin sont disposées autour d’une cour centrale. Le bâtiment fortifié est doté de plusieurs tours d’angle ou de flanquement.

D’après : A. Lézine, Deux villes d’Ifriqiya, Paris, 1972, p. 84.

Fig. 70 : Plan de la Rabita de Guardamar.
Fig. 70 : Plan de la Rabita de Guardamar. La présence d’une série de cellules accompagnée de mosquée sur un site côtier, permet d’identifier ce site comme un rib  .

D’après : R. Azua Ruiz, « Una rabita hispano-musulmana del siglo X (Guardamar des Segura, Alicante, Espaa) », Archéologie islamique, 1, 1990, p. 112.

Fig. 71 : Itinéraires de la région de Safi (Aghmt-Agz et Marrakech-Safi).
Fig. 71 : Itinéraires de la région de Safi (Aghmt-Agz et Marrakech-Safi).

D’après : Rosenberger, « Note sur Kouz, un ancien port à l’embouchure de l’oued Tensift », Hespéris-Tamuda, VIII, 1967, p. 49.

Fig. 72 : Vue de Safi au début du 16
Fig. 72 : Vue de Safi au début du 16e siècle, gravure de Civitates Orbis Terrarum.

D’après : P. De Cenival (éd.), Les Sources Inédites de l’Histoire du Maroc, archives et bibliothèques du Portugal, t.1, Paris, 1934, pl. III.

Fig. 73 : Tronçon de la muraille almohade de Safi.
Fig. 73 : Tronçon de la muraille almohade de Safi. A : Vue du tronçon situé dans le prolongement du côté nord-est de la citadelle portugaise.
B : Quelques caissons de
B : Quelques caissons de   biya de l’enceinte almohade. Des reprises en pierre ont été effectuées sur quelques parties du tronçon.
Fig. 74 : L’enceinte almohade de Safi.
Fig. 74 : L’enceinte almohade de Safi. A : Détail de la composition de la   biya du premier tronçon de l’enceinte almohade. Le mélange solide est riche en pierre et en chaux.
B : Vue générale d’un deuxième tronçon de l’enceinte almohade, réutilisé par les Portugais.
B : Vue générale d’un deuxième tronçon de l’enceinte almohade, réutilisé par les Portugais.
Fig. 75 : Tronçon du rempart almohade de Safi.
Fig. 75 : Tronçon du rempart almohade de Safi. A : Le mur était protégé par un enduit brunâtre, qui laisse apparaître parfois une   biya de texture hétérogène, riche en éléments d’une grande granulométrie.
B : Au sommet du mur, les banchées de
B : Au sommet du mur, les banchées de  biya servent de base à quelques reprises en pierre datant de l’époque portugaise. Des assises en moellons ou en pierre de taille se prolongent sur les deux parois du mur, pour former un parapet rythmé par une série d’ouvertures de tir équidistantes.
Fig. 76 : Deuxième tronçon de l’enceinte almohade de Safi. Traces d’un décor géométrique gravé sur l’enduit de chaux recouvrant le mur.
Fig. 76 : Deuxième tronçon de l’enceinte almohade de Safi. Traces d’un décor géométrique gravé sur l’enduit de chaux recouvrant le mur.
Fig. 77 : Décor incisé sur la porte almohade de Bb al-Rw à Rabat.
Fig. 77 : Décor incisé sur la porte almohade de Bb al-Rw à Rabat.

D’après : B. Pavon-Maldonado, Tratado de arquitectura hispano-musulmana. II : Ciudades y fortalezas, Madrid, 1999, p. 641.

Fig. 78 : Tracé hypothétique de l’enceinte almohade de Safi.
Fig. 78 : Tracé hypothétique de l’enceinte almohade de Safi.
Fig. 79 : Le minaret almohade de Safi.
Fig. 79 : Le minaret almohade de Safi. A : Vue de la façade nord, décorée d’une série de trois arcatures polylobées. Ces motifs ressemblent aux décors des grands minarets almohades.
B : Vue du minaret almohade, façades nord et ouest.
B : Vue du minaret almohade, façades nord et ouest.
Fig. 80 : Décor des minarets almohades : Koutoubiya (Marrakech), Giralda (Séville) et Hassan (Rabat).
Fig. 80 : Décor des minarets almohades : Koutoubiya (Marrakech), Giralda (Séville) et Hassan (Rabat).

D’après : L. Golvin, Essai sur l’architecture religieuse musulmane, t. 4 : l’art hispano-musulman, Paris, 1979.

Fig. 81 : Carte des principaux sites côtiers de la région de Safi.
Fig. 81 : Carte des principaux sites côtiers de la région de Safi. La plupart des mouillages sont localisés. La Casa do Cavalleiro, située au nord de la région de Safi, n’est pas encore identifiée.
Fig. 82 : Carte topographique de Qabat Ayyr (Qaçbat Hal Ayyir sur la carte).
Fig. 82 : Carte topographique de Qabat Ayyr (Qaçbat Hal Ayyir sur la carte).

D’après : La carte topographique de Cap Cantin Walidia (1/50 000e).

Fig. 83 : Photo aérienne du site d’Ayyr.
Fig. 83 : Photo aérienne du site d’Ayyr. À côté du site fortifié, qui épouse la forme de la table rocheuse sur laquelle il est établi, on aperçoit sur cette photo ancienne (années 60) la trace d’un enclos actuellement disparu.
Fig. 84 : Plan schématique de la Qaba d’Ayyr. (D’après la photo aérienne).
Fig. 84 : Plan schématique de la Qaba d’Ayyr. (D’après la photo aérienne).
Fig. 85 : Le site d’Ayyr.
Fig. 85 : Le site d’Ayyr. Plan et coupe de la porte sud et de la tour qui lui est adjacente.
Fig. 86 : La Qaba d’Ayyr
Fig. 86 : La Qaba d’Ayyr A : Vue depuis l’extérieur de la porte d’entrée méridionale.
B : Vue de la tour qui défend l’entrée sud.
B : Vue de la tour qui défend l’entrée sud.
Fig. 87 : La Qaba d’Ayyr
Fig. 87 : La Qaba d’Ayyr A : L’accès au local situé au premier étage de la tour
B : Le local du premier étage est délimité par un mur construit avec de très gros blocs.
B : Le local du premier étage est délimité par un mur construit avec de très gros blocs.
Fig. 88 : Plan bas de l’entrée ouest de la fortification d’Ayyr.
Fig. 88 : Plan bas de l’entrée ouest de la fortification d’Ayyr. Les deux baies et le petit vestibule qui les sépare sont à moitié taillés dans le roc. Des grands paliers successifs permettent de compenser la pente du terrain.
Fig. 89 : La Qaba d’Ayyr
Fig. 89 : La Qaba d’Ayyr A : Vue d’en haut d’un petit vestibule séparant les deux accès de la porte de la mer.
B : Vue de la porte extérieure. Sa partie inférieure est creusée dans la roche.
B : Vue de la porte extérieure. Sa partie inférieure est creusée dans la roche.
Fig. 90 : La Qaba d’Ayyr
Fig. 90 : La Qaba d’Ayyr A : à droite, le linteau monolithique de la porte d’accès ; à gauche, en haut, une baie située au premier étage de la tour.
B : La tour surmontant la porte de la mer : vue du premier étage et de la terrasse, protégée par un épais parapet.
B : La tour surmontant la porte de la mer : vue du premier étage et de la terrasse, protégée par un épais parapet.
Fig. 91 : La Qaba d’Ayyr
Fig. 91 : La Qaba d’Ayyr A : Vue de la tour, située sur la courtine est de la fortification.
B : Vue de la mosquée, implantée à l’extérieur de l’enceinte. La salle de prière est couverte par une série de voûtes en berceau.
B : Vue de la mosquée, implantée à l’extérieur de l’enceinte. La salle de prière est couverte par une série de voûtes en berceau.
Fig. 92 : La Qaba d’Ayyr
Fig. 92 : La Qaba d’Ayyr A : Vue de la partie nord de l’enceinte. La courtine s’élève au-dessus de la falaise.
B : Chemin creusé dans le roc, au nord de la fortification.
B : Chemin creusé dans le roc, au nord de la fortification.
Fig. 93. Le site d’Ayyr
Fig. 93. Le site d’Ayyr A : Vue générale de la falaise, où existent plusieurs cavités naturelles.
B : Vue d’une grotte utilisée comme habitat troglodytique, probablement temporaire.
B : Vue d’une grotte utilisée comme habitat troglodytique, probablement temporaire.
A : Vue depuis l’intérieur de l’entrée d’un habitat troglodytique
A : Vue depuis l’intérieur de l’entrée d’un habitat troglodytique
B : Traces de creusement des parois et du plafond de la cavité.
B : Traces de creusement des parois et du plafond de la cavité.
Fig. 95 : Bur al-Nr.
Fig. 95 : Bur al-Nr. A : Le bâtiment de Bur al-Nr offre un aspect robuste, conséquence des restaurations fâcheuses qui ont complètement altéré sa forme extérieure. La vue de la façade ouest de la tour atteste bien ces changements, avec l’ajout d’un parapet en briques industrielles. Initialement, le bâtiment devait s’élever sur deux niveaux, dont le second serait matérialisé par les meurtrières visibles sur la photo et qui sont accessibles dans la terrasse du bâtiment.
B : La médiocrité des travaux entrepris et les lourdes interventions inappropriés ont fini par accélérer la dégradation du site au lieu de le protéger. La façade s’est écroulée au début de l’année 2003 suite à des intempéries, emportant la voûte qui couvrait la pièce du rez-de-chaussée.
B : La médiocrité des travaux entrepris et les lourdes interventions inappropriés ont fini par accélérer la dégradation du site au lieu de le protéger. La façade s’est écroulée au début de l’année 2003 suite à des intempéries, emportant la voûte qui couvrait la pièce du rez-de-chaussée.
Fig. 96 : Plan de Bur al-Nr.
Fig. 96 : Plan de Bur al-Nr.
Fig. 97 : Bur al-Nr.
Fig. 97 : Bur al-Nr. A : Vue de l’arcade gauche du côté ouest de la pièce. L’arc brisé outrepassé s’appuie contre le mur extérieur de la tour. Ce dernier était percé d’une baie de forme quadrangulaire, encadrée de piédroits, dont un seul est encore perceptible, et d’un linteau monolithe en calcaire. La fonction de cette baie bouchée donnant sur l’océan, nous est inconnue. Étant dépourvue d’ébrasement, il semble peu probable qu’elle soit une archère ou une meurtrière. Il pourrait alors s’agir d’une bouche à canon.
B : Vue du mur du côté nord de la pièce du rez-de-chaussée de la tour. à gauche, l’on distingue le jambage gauche de la porte initiale qui perçait le mur en son milieu. Outre le coup de sabre bien visible, la maçonnerie du mur accuse une grande différence entre le piédroit bâtis en pierre de taille et le reste du mur caractérisé par une construction en moellons beaucoup moins soignée. Son obturation serait contemporaine à l’aménagement de la nouvelle porte, encadrée par un arc en plein cintre non outrepassé. Ce changement a permis également l’aménagement de l’escalier actuel, qui prend départ derrière le mur.
B : Vue du mur du côté nord de la pièce du rez-de-chaussée de la tour. à gauche, l’on distingue le jambage gauche de la porte initiale qui perçait le mur en son milieu. Outre le coup de sabre bien visible, la maçonnerie du mur accuse une grande différence entre le piédroit bâtis en pierre de taille et le reste du mur caractérisé par une construction en moellons beaucoup moins soignée. Son obturation serait contemporaine à l’aménagement de la nouvelle porte, encadrée par un arc en plein cintre non outrepassé. Ce changement a permis également l’aménagement de l’escalier actuel, qui prend départ derrière le mur.
Fig. 98 : Bur al-Nr
Fig. 98 : Bur al-Nr Vue de la voûte en berceau qui constitue la toiture de la pièce du rez-de-chaussée de la tour. Elle repose conjointement sur les murs est et ouest, et semble située dans le prolongement de la maçonnerie des arcades et semble appartenir à la même phase de construction. Elle est composée d’assises relativement régulières de pierres grossièrement taillées et liées à l’aide d’un mortier de chaux. La disposition de l’intrados de la voûte atteste l’emploi très probable d’un cintrage en bois pour son montage.
Fig. 99 : Carte de répartition des tours rondes sur la côte méditerranéenne du Maroc.
Fig. 99 : Carte de répartition des tours rondes sur la côte méditerranéenne du Maroc.

D’après : P. Cressier, « Structures fortifiées et défensives du Rif (II). La tour de vigie de Massa », Bulletin d’archéologie marocaine, XV, 1983-1984, p. 458.

Fig. 100 : Carte de situation de quelques sites des Dukkla, mentionnés par le recueil du
Fig. 100 : Carte de situation de quelques sites des Dukkla, mentionnés par le recueil du Tashawwuf.

D’après : Ibn al-Zayyt al-Tdil, Al-Tashawwuf il ril al-taawwuf, éd. A. Toufiq, Rabat, 1984.

Fig. 101 : Carte de situation des principaux sites étudiés. (Différents points de peuplement mentionnés par les sources ne sont pas identifiés ou localisés avec précision).
Fig. 101 : Carte de situation des principaux sites étudiés. (Différents points de peuplement mentionnés par les sources ne sont pas identifiés ou localisés avec précision).
Fig. 102 : Al-Madna : Carte topographique.
Fig. 102 : Al-Madna : Carte topographique. Al-Madna (douar al-gharbiya) ; Sr Ms (douar al Hrairiyine).

D’après la carte topographique de Tnine al-Gharbiya (1/50 000e).

Fig. 103 : Al-Madna
Fig. 103 : Al-Madna A : Vue du côté nord-ouest de l’enceinte, qui offre une forme quadrilatérale
B : Côté ouest de la muraille d’al-Madna. Les deux parois du mur sont montées séparément.
B : Côté ouest de la muraille d’al-Madna. Les deux parois du mur sont montées séparément.
Fig. 104 Al-Madna
Fig. 104 Al-Madna A : Vue du côté est de la muraille. La   biya est protégée par un enduit.
B : Détail de l’enduit, côté ouest de la muraille
B : Détail de l’enduit, côté ouest de la muraille
Fig. 105 : Al-Madna
Fig. 105 : Al-Madna A : Les tours saillantes sont adossées à la muraille de   biya. (côté ouest de l’enceinte)
B : Côté ouest : vestiges de la base massive d’une tour.
B : Côté ouest : vestiges de la base massive d’une tour.
Fig. 106 : Al-Madna
Fig. 106 : Al-Madna A : L’emplacement présumé de la grande mosquée, suggéré par le micro-toponyme Sdmi‘ um‘a. Il aurait servi de lieu d’inhumation, matérialisé par la présence de stèles anépigraphes.
B : De nombreux vestiges de construction sont encore visibles sur le site d’al-Madna. Ici les restes d’un local rectangulaire, apparemment une partie d’une habitation.
B : De nombreux vestiges de construction sont encore visibles sur le site d’al-Madna. Ici les restes d’un local rectangulaire, apparemment une partie d’une habitation.
Fig. 107 : Céramique culinaire d’al-Madna.
Fig. 107 : Céramique culinaire d’al-Madna. A : Tesson d’un couscoussier.
B : Fragments de céramiques à pâte grossière, riche en dégraissants.
B : Fragments de céramiques à pâte grossière, riche en dégraissants.
Fig. 108 : Croquis à l’échelle du site de Sr Ms
Fig. 108 : Croquis à l’échelle du site de Sr Ms L’enceinte délimite un quadrilatère quasiment vide. Elle est prolongée du côté sud-est par une petite tour extérieure.
Fig. 109 : Sr Ms
Fig. 109 : Sr Ms A : Les éboulis des soubassements de pierre, côté ouest de la muraille.
B : Restes d’un mur en
B : Restes d’un mur en   biya, côté de la muraille. La qualité médiocre de la construction, constatée déjà au 14e siècle par Ibn al-Khab, serait à l’origine de la disparition de la grande partie de l’enceinte.
Fig. 110 : Sr Ms.
Fig. 110 : Sr Ms. A : Vestiges d’un espace de plan rectangulaire, situé à l’intérieur de l’enceinte.
B : Traces de la tour extérieure qui était reliée au mur est de l’enceinte.
B : Traces de la tour extérieure qui était reliée au mur est de l’enceinte.
Fig. 111 : Le site de Grnd. Plans de la fortification et des souterrains.
Fig. 111 : Le site de Grnd. Plans de la fortification et des souterrains.

D’après : Capitaine Maitrot, « Les ruines dites portugaises des Dukkla », Archives Berbères, 1915-1916, p. 385.

Fig. 112 : Le site de Mtal. Croquis de la fortification.
Fig. 112 : Le site de Mtal. Croquis de la fortification.

D’après : Capitaine Maitrot, « Les ruines dites portugaises des Dukkla », Archives Berbères, 1915-1916, p. 385.

Fig. 113 : Carte topographique du site de Ban Mguir (Sidi az Zammuri sur la carte).
Fig. 113 : Carte topographique du site de Ban Mguir (Sidi az Zammuri sur la carte).

D’après la carte topographique de Sabt Gzoula (1/50 000e).

Fig. 114 : Le site de Ban Mguir. Plan de la fortification.
Fig. 114 : Le site de Ban Mguir. Plan de la fortification.
Fig. 115 : Sr Ban Mguir
Fig. 115 : Sr Ban Mguir A : Vue du côté ouest de l’enceinte. Le mur de   biya s’appuie sur un soubassement de pierre.
B : Vue d’une banchée de
B : Vue d’une banchée de   biya, dans les vestiges du mur est, récemment écroulé. Les deux rangées de pierre visibles indiqueraient l’emplacement d’éventuels trous de boulin.
Fig. 116 : Sr Ban Mguir
Fig. 116 : Sr Ban Mguir A : Une partie du mur ouest de l’enceinte, qui s’est écroulée au milieu des années 90. Constituée d’au moins six banchées, elle atteignait une hauteur d’environ quatre mètres.
B : La tour de l’angle nord-est de l’enceinte.
B : La tour de l’angle nord-est de l’enceinte.
Fig. 117 : Sr Ban Mguir
Fig. 117 : Sr Ban Mguir A : Au contrebas de l’enceinte de pierre, un mur en moellons peut révéler l’existence d’un premier état de l’occupation du site.
B : Le mur de pierre, d’une très grande épaisseur, accuse un léger fruit.
B : Le mur de pierre, d’une très grande épaisseur, accuse un léger fruit.
Fig. 118 : Sr Ban Mguir : exemples de silos.
Fig. 118 : Sr Ban Mguir : exemples de silos. A : Bouche d’un silo couverte d’un enduit lissé relativement solide.
B : L’ouverture d’un silo taillé dans la roche, délimitée par des blocs de pierre.
B : L’ouverture d’un silo taillé dans la roche, délimitée par des blocs de pierre.
Fig. 119 : Le site de Ban Mguir.
Fig. 119 : Le site de Ban Mguir. A : Vestiges de murs en pierre dessinant un plan quadrangulaire, sur le flanc sud de la colline.
B : Bancs calcaires affleurant au pied du flanc sud de la colline. Ils auraient servi de carrière.
B : Bancs calcaires affleurant au pied du flanc sud de la colline. Ils auraient servi de carrière.
Fig. 120 : Situation du site de Sarn
Fig. 120 : Situation du site de Sarn

D’après la carte topographique de Safi (1/50 000e).

Fig. 121 : Le site de Sarn.
Fig. 121 : Le site de Sarn. A : Vestiges d’un mur construit en blocage, appartenant probablement à l’enceinte.
B : Les restes d’un épais mur bâtis selon la technique du blocage sont réutilisés dans des enclos modernes.
B : Les restes d’un épais mur bâtis selon la technique du blocage sont réutilisés dans des enclos modernes.
Fig. 122 : Situation du site fortifié de Wrs.
Fig. 122 : Situation du site fortifié de Wrs.

D’après la carte topographique de Safi (1/50 000e).

Fig. 123 : Le site de Wrs.
Fig. 123 : Le site de Wrs. A : Les traces du solin d’une ancienne muraille de   biya est réutilisées dans des structures récentes.
B : L’un des rares vestiges de l’enceinte de
B : L’un des rares vestiges de l’enceinte de   biya de Wrs.
Fig. 124 : Le site de Wrs.
Fig. 124 : Le site de Wrs. A : Un mausolée construit en pierre de taille, probablement postérieur à l’abandon du site.
B : Plusieurs dizaines de tambours de colonnes gisent sur le site. Elle indiquerait l’emplacement d’une ancienne mosquée.
B : Plusieurs dizaines de tambours de colonnes gisent sur le site. Elle indiquerait l’emplacement d’une ancienne mosquée.
Fig. 125 : Le site de Wrs.
Fig. 125 : Le site de Wrs. A : Vue d’une stèle anépigraphe sculptée dans le cimetière de Wrs.
B : Bancs calcaires repérés dans la proximité du site.
B : Bancs calcaires repérés dans la proximité du site.
Fig. 126 : Les stèles des ‘Abda.
Fig. 126 : Les stèles des ‘Abda. Deux exemples de stèles avec incisions faîtales, ressemblant à la stèle découverte à Wrs.

D’après : A. Denis, « Stèles et pétroglyphes des Abda-Doukkala », Bulletin d’archéologie marocaine, t. VII, 1967, pl. III.

Fig. 127 : Une tour de hameau en al-Andalus. Croquis en élévation de la tour de Bufilla. (a, tour en maçonnerie ; b,plate-forme jouxtant la tour ; c, enclos).
Fig. 127 : Une tour de hameau en al-Andalus. Croquis en élévation de la tour de Bufilla. (a, tour en maçonnerie ; b,plate-forme jouxtant la tour ; c, enclos).

D’après : A. Bazzana, Maisons d’Al-Andalus. Habitat médiéval et structures du peuplement dans l’Espagne orientale, Madrid, 1992, t. II, pl. CCXVII (314).

Fig. 128 : Des tours de village au Maroc ?
Fig. 128 : Des tours de village au Maroc ? A : Vue d’ensemble (photo prise dans la région d’Essaouira).

Source : Photothèque de la direction du patrimoine à Rabat.

B : Vue de l’intérieur de la tour après l’écroulement d’une partie du bâtiment.
B : Vue de l’intérieur de la tour après l’écroulement d’une partie du bâtiment.

Source : Photothèque de la direction du patrimoine à Rabat.

Fig. 129 : Refuges et structures fortifiées de la région de Tekna.
Fig. 129 : Refuges et structures fortifiées de la région de Tekna.

D’après : Y. Bokbot, P. Cressier, M.-Ch. Delaigue, R. Izquierdo Benito, S. Mabrouk et J. Onrubia Pintado, « Enceintes refuges, greniers fortifiés et qaaba-s : fonctions, périodisation et interprétation de la fortification en milieu rural pré-saharien », Mil anos de fortificaçoes na peninsula ibérica e no Magreb (500-1500), Lisbonne, 2001, p. 218.

Fig. 130 : Coupe d’un silo creusé à Mezquita, Valence.
Fig. 130 : Coupe d’un silo creusé à Mezquita, Valence.

D’après : A. Bazzana, Maisons d’Al-Andalus. Habitat médiéval et structures du peuplement dans l’Espagne orientale, Madrid, 1992, pl. XLIV (67).

Fig. 131 : Céramique médiévale de Safi.
Fig. 131 : Céramique médiévale de Safi. A : Trois tessons à décors géométriques incisés, établis parfois sur plusieurs registres.
B : Fond d’une forme ouverte, orné de décors incisés.
B : Fond d’une forme ouverte, orné de décors incisés.
Fig. 132 : Céramique peinte de la région de Safi.
Fig. 132 : Céramique peinte de la région de Safi. A : Décor losangé de couleur brunâtre, fragment de panse provenant de Sr Ms.
B : Tessons à décor peint recueillis sur le site de Ban Mguir.
B : Tessons à décor peint recueillis sur le site de Ban Mguir.
Fig. 133 : Céramiques glaçurées de la région de Safi.
Fig. 133 : Céramiques glaçurées de la région de Safi. A : Tessons glaçurés de Sr Ban Mguir.
B : Tesson glaçuré et estampé d’une rosace, provenant de Sr Ban Mguir.
B : Tesson glaçuré et estampé d’une rosace, provenant de Sr Ban Mguir.
C : Tesson glaçuré et estampé de rosaces. Matériel de surface de Llla Hniya al-amriya.
C : Tesson glaçuré et estampé de rosaces. Matériel de surface de Llla Hniya al-amriya.
D : Tesson estampé d’Agz.
D : Tesson estampé d’Agz.
Fig. 134 : les rosettes dans la céramique estampée mérinide d’Algésiras.
Fig. 134 : les rosettes dans la céramique estampée mérinide d’Algésiras.

D’après : A. Torremocha Silva et Y. Oliva Cozar, La ceramica musulmana de Algeciras, Algésiras, 2002, p. 68.

Fig. 135 : Plan des fortifications portugaises de Safi.
Fig. 135 : Plan des fortifications portugaises de Safi.
Fig. 136 : Photo aérienne de la Médina de Safi.
Fig. 136 : Photo aérienne de la Médina de Safi.
Fig. 137 : La muraille portugaise de Safi.
Fig. 137 : La muraille portugaise de Safi. A : Détail de l’appareil : des petites dalles composent des assises de régulation alternant avec des lits de moellons.
B : Vue d’une tour ronde située à l’angle nord-est de la muraille. Cette forme massive privilégie l’utilisation de pièces d’artillerie.
B : Vue d’une tour ronde située à l’angle nord-est de la muraille. Cette forme massive privilégie l’utilisation de pièces d’artillerie.
Fig. 138 : La citadelle portugaise de Safi.
Fig. 138 : La citadelle portugaise de Safi. A : Vue de Bur al-Dr, grand bastion circulaire situé à l’entrée de la citadelle. La terrasse de la tour était disposée pour accueillir plusieurs pièces d’artillerie.
B : Détail d’une échauguette du grand bastion de Bur al-Dr.
B : Détail d’une échauguette du grand bastion de Bur al-Dr.
Fig. 139 : Vue aérienne du château de mer. Photo des années 1920.
Fig. 139 : Vue aérienne du château de mer. Photo des années 1920.

Source : Photothèque de la direction du patrimoine à Rabat.

Fig. 140 : Plan du château de mer à Safi. Vue axonométrique
Fig. 140 : Plan du château de mer à Safi. Vue axonométrique

D’après : S. Chemsi, Castello Novo de Safi dit Château de mer portugais. Étude archéologique et perspective de sauvetage, Safi, 2002, fig. 9.

Fig. 141 : Vue du château de mer.
Fig. 141 : Vue du château de mer. La place centrale de la fortification était occupée par des constructions marocaines détruites au début du 20e siècle.

Source : Photothèque de la direction du patrimoine à Rabat.

Fig. 142 : Le château de mer à Safi.
Fig. 142 : Le château de mer à Safi. A : Vue de l’esplanade : au fond, des casernements ou des dépôts d’armes ; à droite, la rampe d’accès à la batterie qui fait face à la mer.
B : Vue de la tour carrée du château de mer.
B : Vue de la tour carrée du château de mer. Longtemps appelée, improprement donjon, elle aurait servi de résidence à des responsables de l’occupation portugaise.
Fig. 143 : La tour carrée du château de mer.
Fig. 143 : La tour carrée du château de mer. A : Coupe longitudinale.

D’après : S. Chemsi, Castello Novo de Safi dit Château de mer portugais. Étude archéologique et perspective de sauvetage, Safi, 2002, p. 72.

B : Coupe transversale.
B : Coupe transversale.

D’après : S. Chemsi, Castello Novo de Safi dit Château de mer portugais. Étude archéologique et perspective de sauvetage, Safi, 2002, p. 73.

Fig. 144 : La cathédrale portugaise de Safi. Plan et coupe du chœur.
Fig. 144 : La cathédrale portugaise de Safi. Plan et coupe du chœur.

D’après, P. de Cénival, « La cathédrale portugaise de Safi », Hespéris, IX, 1929, p. 2.

Fig. 145 : Détails architectoniques de la cathédrale portugaise de Safi. 1 et 2 détails de l’arc ; 3 et 4 moulures de la voûte.
Fig. 145 : Détails architectoniques de la cathédrale portugaise de Safi. 1 et 2 détails de l’arc ; 3 et 4 moulures de la voûte.

D’après : P. de Cénival, « La cathédrale portugaise de Safi », Hespéris, IX, 1929, p. 5.

Fig. 146 : La cathédrale portugaise de Safi.
Fig. 146 : La cathédrale portugaise de Safi. A : Départ de la voûte de la chapelle latérale.
B : Détail de la voûte en ogives de la cathédrale. La clef de voûte est frappée des armes de la couronne portugaise.
B : Détail de la voûte en ogives de la cathédrale. La clef de voûte est frappée des armes de la couronne portugaise.
Fig. 147 : Les bâtiments résidentiels et artisanaux de Qsar ghr sont organisés autour d’une petite place (
Fig. 147 : Les bâtiments résidentiels et artisanaux de Qsar ghr sont organisés autour d’une petite place (plaza).

D’après : Ch. L. Redman, Qsar es-Seghir, an archaeological view of medieval life, Orlando, 1986, p. 173.

Fig. 148 : Plan de Dr Balkhiya à Safi.
Fig. 148 : Plan de Dr Balkhiya à Safi. Les pièces de l’aile B, de dimensions différentes et de construction vraisemblablement tardive, sont séparées par une cour centrale de l’aile A, d’origine portugaise, réhabilitée dans cette maison.
Fig. 149 : Dr Balkhiya à Safi.
Fig. 149 : Dr Balkhiya à Safi. A : Chapiteau portugais conservé à l’étage
B : Vue d’une chambre couverte d’une voûte sur nervures, de style portugais.
B : Vue d’une chambre couverte d’une voûte sur nervures, de style portugais.
Fig. 150 : Plan du château portugais d’Agz.
Fig. 150 : Plan du château portugais d’Agz.
Fig. 151 : Le château portugais d’Agz
Fig. 151 : Le château portugais d’Agz A : Vue de la tour nord-est.
B : Vue de l’intérieur de la fortification. Le pillage continu des matériaux menace la stabilité de la structure.
B : Vue de l’intérieur de la fortification. Le pillage continu des matériaux menace la stabilité de la structure.
Fig. 152 : Le château portugais d’Agz.
Fig. 152 : Le château portugais d’Agz. A : Vue de l’angle sud-ouest. Les murs sont protégés sur deux côtés par un talus composé de gros blocs taillés.
B : Détail de l’appareil du talus, côté sud-ouest. Des lamelles métalliques, probablement de plomb, renforcent le jointoiement des blocs de pierre de taille.
B : Détail de l’appareil du talus, côté sud-ouest. Des lamelles métalliques, probablement de plomb, renforcent le jointoiement des blocs de pierre de taille.
Fig. 153 : La construction en briques crues
Fig. 153 : La construction en briques crues A : Vestiges de constructions traditionnelles en briques crues près de lac Zma. Seule la base de pierre annonce l’existence de murs dont la superstructure en terre a complètement disparu.
B : Rangées de briques crues séchées au soleil, prêtes à l’emploi dans les constructions domestiques de Rib Shkir.
B : Rangées de briques crues séchées au soleil, prêtes à l’emploi dans les constructions domestiques de Rib Shkir.
Fig. 154 : Terre cuite architecturale.
Fig. 154 : Terre cuite architecturale. A : Tuile de grande dimension recueillie parmi le matériel de surface du site de Llla Hniyya al-amriya à Safi.
B : Pavements de
B : Pavements de zill   -s dans une maison traditionnelle de Safi (19e siècle).
Fig. 155 : Murs en pierre.
Fig. 155 : Murs en pierre. A : Mur en pierre sèche, légèrement incliné (sur le site d’al-Madna).
B : Gros blocs de pierre de taille utilisés dans un chaînage d’angle. Tronçon d’un mur situé à l’intérieur d’une maison de Sq al-Ghzal, à Safi.
B : Gros blocs de pierre de taille utilisés dans un chaînage d’angle. Tronçon d’un mur situé à l’intérieur d’une maison de Sq al-Ghzal, à Safi.
Fig. 156 : Murs en briques crues.
Fig. 156 : Murs en briques crues. A : Un mur en briques crues d’une maison traditionnelle de Rib Shkir. La superstructure en terre repose sur un solin constitué de galets liés à un mortier de terre.
B : Le mur est couvert d’un enduit de terre et de paille hachée.
B : Le mur est couvert d’un enduit de terre et de paille hachée.
Fig. 157 : Le montage d’un mur en
Fig. 157 : Le montage d’un mur en   biya. Coffrage (l  ) en bois utilisé pour la construction d’un mur en   biya.

D’après : A. Bazzana, Maisons d’Al-Andalus. Habitat médiéval et structures du peuplement dans l’Espagne orientale, Madrid, 1992, t. II, pl. XXX.

Fig. 158 : Murs en
Fig. 158 : Murs en   biya. A : La base d’un mur de la qaba ‘alawite de mdsh, au sud du Tansift. Un socle d’une   biya fortement dosée en pierrailles donne une bonne assise à la structure.
B : Détail de l’enduit qui couvre les murs en
B : Détail de l’enduit qui couvre les murs en   biya de Sr Ban Mguir.
Fig. 159 : Toiture en
Fig. 159 : Toiture en tisw  t. A : Vue de plafonds de tisw  t, Dr al- (au sud du Tansift - 19e siècle).
B : Coupe d’une toiture de
B : Coupe d’une toiture de tisw  t (Safi). Les poutres reçoivent des petites solives en rang serré, avant la mise en ouvre de la toiture.
Fig. 160 : Coupe d’une toiture à Ski (sud de Tansift).
Fig. 160 : Coupe d’une toiture à Ski (sud de Tansift). D’épaisses couches de terre et de chaux sont disposées au-dessus des solives. Elles reçoivent le sol du niveau supérieur aménagé en  a .
Fig. 161 : Salles de prières couvertes de voûtes en berceau
Fig. 161 : Salles de prières couvertes de voûtes en berceau A : Travée de la mosquée d’Ayyr.
B : Travée couverte d’une voûte en berceau, dans une mosquée abandonnée dans la région de Cap Cantin.
B : Travée couverte d’une voûte en berceau, dans une mosquée abandonnée dans la région de Cap Cantin.
Fig. 162 : Voûtes en berceau.
Fig. 162 : Voûtes en berceau. A : Mirb d’une mosquée dont les supports massifs soutiennent une voûte en berceau (région de Cap Cantin).
B : Traces du couchis d’un cintrage en matériaux végétaux. (Galerie souterraine du palais al-Bad‘, Marrakech).
B : Traces du couchis d’un cintrage en matériaux végétaux. (Galerie souterraine du palais al-Bad‘, Marrakech).
Fig. 163 : Plan du site de bal Lakhar.
Fig. 163 : Plan du site de bal Lakhar. La forme circulaire et l’étroitesse des bâtiments ont facilité leur couverture par des voûtes en encorbellement.

D’après : Ch. Allain, « Reconnaissances archéologiques dans le massif des Rehamna et la Bahira. I », fig. 3.

Fig. 164 : Porte portugaise à Safi.
Fig. 164 : Porte portugaise à Safi. A : Porte à jambage de pierre de taille, surmontée d’un linteau monolithe décoré. (Darb al-am‘a).
B : Détail de la décoration : un arc en accolade encadrant trois rosaces sculptées.
B : Détail de la décoration : un arc en accolade encadrant trois rosaces sculptées.
Fig. 165 : Porte portugaise dans une maison traditionnelle de Safi.
Fig. 165 : Porte portugaise dans une maison traditionnelle de Safi. A : L’encadrement de la porte est surmonté d’un panneau décoratif orné de rinceaux.
B : Détail du motif.
B : Détail du motif.
Fig. 166 : Arcs de l’architecture locale.
Fig. 166 : Arcs de l’architecture locale. A : Arcs brisés dans les galeries latérales bordant le patio de Dr Benhima (Safi).
B : Arc en plein cintre non outrepassé d’une porte d’entrée à une mosquée abandonnée, (région de Cap Cantin).
B : Arc en plein cintre non outrepassé d’une porte d’entrée à une mosquée abandonnée, (région de Cap Cantin).
Fig. 167 : Arc en plein cintre non outrepassé dans l’architecture locale.
Fig. 167 : Arc en plein cintre non outrepassé dans l’architecture locale. A : Porte d’entrée de Dr Balkhiya (Safi).
B : Porte d’entrée, de type morisque (Dr Benhima, Safi).
B : Porte d’entrée, de type morisque (Dr Benhima, Safi).
Fig. 168 : Exemple d’une porte dite de style morisque.
Fig. 168 : Exemple d’une porte dite de style morisque.

Source :Photothèque de la direction du patrimoine à Rabat.

Fig. 169 : Arc en accolade dans l’architecture de Safi.
Fig. 169 : Arc en accolade dans l’architecture de Safi. A et B : Portes d’entrées de maisons traditionnelles de Safi. L’arc en accolade est l’une des rares survivances de la tradition architecturale portugaise dans les bâtiments domestiques de la région.