CHAPITRE II. MÉTHODOLOGIE

Le travail autour des bases de données définies par le corpus portait sur trois points successifs. Bien évidemment, cette étude est ma vision personnelle des bases en fonction de ce que j’ai pu comprendre de leur utilisation, mon avis sur la présentation, les logiques de fonctionnements, … Cette vision ne peut que différer de celle des concepteurs mais surtout de celle des utilisateurs. D’ailleurs dans les différentes études, j’essaye de mettre l’accent sur ces divergences de points de vue. Cependant ces écarts n’ont aucune portée sur l’objectif fixé que j’étudie pour monter une base minimale. En effet le but de cette étude est de proposer un tronc commun permettant de pallier les problèmes majeurs que l’on rencontre aujourd’hui dans l’utilisation des bases de données. Ces problèmes sont d'une part l'impossibilité lors de recherches de faire des croisements de données pour une exploitation plus large, et d'autre part les pertes de données lorsqu’une base de données n’est plus exploitée. En fait ce tronc commun permettrait de répondre aux enjeux des bases de données que J.-C. Gardin mettait en avant en 1972 (voir Introduction, p. 13).