8.4.6. Synthèse

Dans le cas de l’archivage des photographies, les principes utilisés par les différentes bases de données étudiées sont assez semblables, seuls diffèrent les codes d'inventaires.

Deux types de photographies sont à traiter : les photographies classiques — noir et blanc, couleur papier, diapositives — et les photographies numériques. Le plus souvent ces types sont gérés dans le même fichier.

Les rubriques de description de la photo sont communes : auteur, date de prise de vue, genre (fouille, ambiance, …), direction de la prise de vue, type (diapo, couleur, …), numéros des composants (objets, US, …), légende de la photo, référence sur CD (si elle est conservée aussi sur CD) et enfin pour la plupart un scan avec sa résolution.

La présence physique de la photo dans la base de données est une des grandes questions aujourd’hui. Faut-il ou non intégrer des scans dans la base de données. Beaucoup le font et on peut se dire que visualiser la photo avant de la chercher dans les archives pour voir si elle correspond bien à ce que l’on souhaite et pour pouvoir interroger les bases à distance, c’est-à-dire sans être dans l’organisme de gestion (via internet par exemple) est une possibilité très confortable. Mais comment le gérer facilement dans une base comme bdB qui contenait déjà 46500 fiches photo en avril 2002. Un travail énorme de passif à récupérer mais pourquoi pas avec l'aide de techniciens pour définir avant tout l'usage qui serait fait de ces scans et pour en gérer “intelligemment” la taille évitant ainis d'alourdir le temps de présentation de la fiche.