2. Données à intégrer dans la base

Une fois que l’on en sait un peu plus sur le résultat final auquel on aspire, on peut commencer à définir les données et références dont on aura besoin. Quels sont les éléments que l’on doit archiver, intégrer, sauvegarder, étudier, associer, … ?

Dans une base de données de gestion de la documentation archéologique il sera à la fois important de prendre en compte le site, tous les découpages à l’intérieur de celui-ci puis les objets et les différents traitements s’ils sont en lot ou individualisés, les différentes catégories d’objets que l’on souhaite développer, les photos, les relevés, les dessins d’objets, les plans informatiques, l’archivage physique des plans, des objets, des rapports et études intermédiaires, … Cette liste n’est pas du tout exhaustive, elle est là simplement pour montrer que ces données de références dont je parle n’ont rien à voir avec les fichiers qui composeront la base mais sont tout simplement les éléments que l’on souhaite mettre dans la base et ceux qui sont indispensables.

C’est aussi à ce niveau que l’on pourra mettre en évidence l’unité documentaire, c’est à dire le plus petit élément d’étude auquel tout est lié et à partir duquel tout se regroupe.