La structure de la base minimale se compose selon le schéma présenté page suivante.
Cette structure présente le tronc commun nécessaire à chaque base de données pour que l’on puisse envisager de régler les problèmes liés à l’usage de l’informatique en archéologie : unicité, pérennité, recherche croisée, …
Au fur et à mesure de l’avancement des recherches dans une base et de la définition des besoins, de nouveaux fichiers pourront venir se greffer à cette structure. Je pense en particulier aux fichiers d’études spécialisées du mobilier. Ces fichiers pourront faire partie intégrante de la base au même titre que les fichiers du tronc commun si une ou plusieurs personnes composant l’équipe de fouille a une formation adéquate. Sinon cette étude se fera par un spécialiste extérieur à l’équipe, ayant ses propres méthodes de travail et ses instruments personnels (base de données, logiciels de calcul, …) et dans ce cas il faudra veiller à ce que le spécialiste intègre dans ses propres fichiers les codes d’inventaires et les rubriques minimales spécifiques au type d’objet traité. C’est à cette seule condition (intégration des codes d’inventaires et des rubriques) que ces fichiers pourront être mis en relation avec la base de données utilisée sur le site de provenance de l’objet.
L'icône signale la présence de deux liens multiples reliant deux mêmes fichiers. Cela implique dans certains logiciels de création de bases de données l'obligation de créer un fichier suplémentaire pour rendre les liens multiples uniques.