III. Fraternité, parenté et le soin des morts

Nous avons déjà avancé l’hypothèse selon laquelle les obligations spirituelles des « bonnes femmes » des communautés parisiennes tenaient aux devoirs de la femme envers sa famille nucléaire et à l’ancienne notion selon laquelle le soin des morts était réservé à la famille.Ainsi, en assurant la commémoration et la perpétuité des fondations de leurs bienfaiteurs, elles exerçaient une fonction similaire à celle du lignage dans les milieux d’élites, aristocrates ou patriciennes. Néanmoins, à part les « Haudry », les bienfaiteurs de l’hôpital n’appartenaient pas à ces milieux, ce qui laisse supposer qu’ils n’adhéraient pas à la conception lignagère de la famille. La question se pose donc, de savoir sur quelle conception de la famille les devoirs spirituels des « bonnes femmes » reposaient.

La conception de la parenté qui amena la création de lignages remontait à la fin de l’époque carolingienne et était en rapport avec un changement de la manière dont le pouvoir était exercé au niveau local. 716 Avant cette transformation, le pouvoir d’une famille aristocratique s’appuyait sur son insertion dans un réseau d’alliances avec d’autres familles. Un tel réseau permettait au chef de famille de faire appel à l’aide de ses alliés pour protéger ou agrandir ses prérogatives. Ces alliances étaient conclues et entretenues grâce à divers liens : la parenté de sang plus ou moins distante, la parenté spirituelle, le voisinage et l’amitié, celle-ci conçue comme une relation assez formelle. Ainsi, la multiplication de ces rapports horizontaux était avantageuse, ce qui déterminait une conception de la famille comme une structure étendue.

Ensuite, les tentatives de centralisation du pouvoir lancées par la monarchie carolingienne modifièrent l’exercice du pouvoir local et amenèrent des changements dans la conception de la famille. Désormais, une structure verticale, le lignage, allait dominer. Comme nous l’avons expliqué ci-dessus, ces changements eurent aussi des retentissements sur les pratiques mortuaires. Le renforcement de la solidarité entre le couple marié et l’affaiblissement des liens horizontaux entraînaient les pratiques mortuaires aristocratiques que nous avons évoquées : la construction de tombes familiales et surtout la responsabilité des descendants de s’occuper du salut des aïeux. Cependant, comme ceux qui n’appartenaient pas aux élites ne pouvaient prétendre à exercer le pouvoir politique, on peut penser qu’ils auraient gardé certaines notions et pratiques relevant de la conception d’une parenté étendue.

Nous avons vu en effet que les solidarités telles que les confréries et les métiers, fondées sur le principe de l’entraide, jouaient un rôle important dans l’organisation de la vie sociale, économique et religieuse des bourgeois moyens. 717 Les relations entretenues au sein de ces groupes, ainsi que le voisinage, étaient aussi en rapport avec la constitution des patrimoines. C’est, en plus, une réputation d’honnêteté et de bonne vie qui unissait les personnes impliquées dans toutes ces relations sociales et économiques. 718 C’est aussi sur ces qualités que le recrutement des hôpitaux de bonnes femmes était fondé. Toutes ces formes de sociabilité complétaient donc la famille en structurant la vie sociale et économique des artisans et commerçants parisiens. Comme la constitution des communautés de bonnes femmes relevait de cette même sociabilité, il était naturel que le soin mortuaire fourni par les bonnes femmes complétât celui qui était fourni par la famille.

La prise en charge de cette responsabilité par les bonnes femmes devait être d’autant plus convenable que c’était l’épouse qui était chargée de s’occuper du salut du groupe conjugal, notamment en faisant des aumônes. De plus, depuis l’époque carolingienne, les veuves étaient vraisemblablement considérées comme des intermédiaires particulièrement efficaces entre leur famille et l’au-delà : en témoignent les nombreux chartes selon lesquels des veuves firent des donations aux communautés religieuses à l’intention de leur mari, de leurs enfants et de leurs parents. 719 Le soin des malades et des morts figurait également parmi les obligations principales des veuves selon les écrits de Jacques de Vitry et de Guibert de Tournai. 720 Puisque les bonnes femmes étaient veuves et qu’elles faisaient partie d’un réseau d’entraide fondé sur la famille et les liens confraternels et professionnels, elles s’appropriaient facilement la responsabilité d’agir pour assurer le salut des membres de cet entourage. La confiance, dont les bienfaiteurs des bonnes femmes témoignaient, en l’efficacité de leurs suffrages, dérivait donc d’une adaptation de l’enseignement ecclésiastique concernant les devoirs de la femme à la sociabilité particulière aux commerçants et artisans. Il fallait donc connaître les bonnes femmes pour qu’il semblât naturel de demander leurs suffrages.

Cette hypothèse, selon laquelle le soin mortuaire fourni par les bonnes femmes procédait de la sociabilité sur laquelle ces réseaux d’entraide s’appuyaient, est confortée par les indices concernant la provenance des biens qui constituaient le patrimoine de l’hôpital. On s’aperçoit de l’importance de cette bienfaisance à travers le compte concernant les termes de Noël 1353 et de Pâques, Saint Jean et Saint Rémy de 1354. Les revenus perçus sur ces quatre termes représentent la valeur du patrimoine effectif de la communauté tel qu’il était constitué un demi-siècle après la fondation. Ainsi, il se trouve que les revenus de l’hôpital étaient constitués des éléments suivants :

Tableau 16 : Revenus de l’hôpital Haudry, pour les termes de Noël 1353, et de Pâques, de la Saint Jean et de la Saint Rémy, 1354
Arrérages 99 £, 4 s, 2 d
Cens, rentes et loyers 530 £, 4 s, 10 d
Legs testamentaires (en espèces) 11 £, 9 d
Ventes de produits agricoles et de couture ;
revenus variés, non-immobiliers
100 £, 10 s, 4 d
Total 742 £, 4 s

Etant donné que les arrérages étaient des sommes versées à l’hôpital par ses débiteurs sur des loyers et des rentes qu’ils auraient du payer dans les années précédentes, on constate que la plus grande part des revenus de l’hôpital provenait de son patrimoine immobilier parisien. Ce que l’on sait de la provenance de ces revenus, grâce au compte et aux actes de donation, démontre que ce patrimoine était constitué majoritairement de biens accordés par un nombre assez restreint des proches de l’hôpital. Le tableau suivant recense donc les donateurs ayant contribué à l’acquisition des cens, rentes et loyers reçus par l’hôpital en 1353-1354, avec la somme attribuable à chaque individu. 722

Tableau 17 : La provenance du patrimoine urbain, 1353-1354 :
  Donateur Somme donnée
1 Etienne Haudry I et Jehanne Haudry 91 £ 10 s
2 Bernard de Pailly 20 £, 15 s, 8 d
3 Guillaume le Béguin 70 £, 4 s
4 Isabelle de la Mare 42 £, 13 s, 8 d
5 Erembourg de Reims 10 £, 2 s
6 Marie la Maquerelle 10 £, 12 s
7 Marie la Gossequine 46 £, 18 s 6 d
8 Etienne Haudry II 99 £, 2 s 6 d 723
9 Autres donateurs 724 14 £ 15 s
10 Total (rentes attribuables à des donateurs connus) 406 £, 13 s 4 d
11 Rentes/loyers non-attribuables 725 115 £, 13 s, 2 d
12 Total (revenus immobiliers parisiens) 522 £, 6 s 6 d

L’hôpital possédait aussi un patrimoine rural, composé de terres agricoles et de vignobles. Pourtant, il est plus difficile de déterminer quels bienfaiteurs donnèrent les biens en question parce que l’hôpital les exploitait directement, de sorte que les revenus résultaient de la vente de produits agricoles au lieu de la perception de cens. Ainsi, le compte énumère les revenus agricoles suivants :

Tableau 18 : Ventes de produits agricoles, 1353-1354 :
« Premierement..de la vente de xi sextiers et iiii minos d’avoine, pour chascun setier xi s. valeur » 6 £ 9 s 3 d
« Item de Pierre Charmoy pour sa despensse d’un an, iiii sextiers de blez » 20 £
« Item de la tonture du pré de Charronne » 32 s
« Item de louage de terre à Charrone » 7 s
« Item de la vente du chaume des terres devers S Antoine » 20 s
« Item de fouarre et paille qui vint des dictes terres vendu » 12 £ 2 s 4 d
Total 41 £ 10 s 7 d

Bien que le gouverneur ne précise pas toujours l’emplacement des terres où ces produits furent récoltés, on peut dans certains cas identifier les donateurs des biens en question parce qu’il n’existe qu’un nombre restreint d’actes de donation en terres agricoles qui soient antérieurs au compte. Le tableau suivant résume les informations tirées de ces titres :

Tableau 19 : Dons en terre agricole, depuis la fondation jusqu’en 1350
Donateur Superficie, terroir
Guillaume des Mailles 727 10 arpents, Rungis
Marie la Gossequine 728 5 arpents, Clichy/Charronne
Julianne, femme de Raoul Ridiau 729 3,5 arpents, 1,5 quartiers, Charronne
Etienne Haudry, fils 730 12 arpents, entre Paris et Charenton
1,5 arpents, prairie de Charronne

En étudiant les tableaux 18 et 19, on constate d’emblée que les 32 sous provenant de la tonture du pré de Charronne doivent être mis en relation avec la donation d’Etienne Haudry II. De plus, ce dernier fut probablement le donateur des terres situées vers Saint Antoine, dont la récolte de chaume, de « fouarre » (fourrage) et de paille apporta les sommes de 20 sous et de 12 livres, 2 sous, 4 deniers.

L’abbaye de Saint Antoine se trouvait à l’est sud-est de la ville. Cet établissement prêta son nom à la bastide qui protégeait l’Est parisien à partir du règne de Charles V, et au faubourg qui s’étendait au-delà de la bastide dans la direction de l’abbaye. 731 D’après l’exécution de son testament, les 12 arpents donnés par Etienne Haudry le fils étaient situés « entre Paris et l’ostel qui fu Monseigneur de Noiers aboutissant au chemin de Charenton, à la rivière de Saine, tenans au par devans au pré de Monseigneur de Bourbon et aus terres de Maheut de Dampmartin et aux terres de Monseigneur l’arcevecques de Rams. » Le chemin cité conduisait vraisemblablement au village de Charenton-Le-Pont 732 , où la Marne se jette dans la Seine, encore au Sud-Est de Paris. L’emplacement de ces 12 arpents correspondrait donc à celui des terres situées « vers Saint Antoine » où se fit la récolte de chaume, de paille et de « fouarre ».

Il est plus difficile de déterminer à quels donateurs on devrait créditer les autres revenus agricoles. Comme les exploitations céréalières étaient plus nombreuses au Sud de la ville, 733 où était situé Rungis, 734 il semblerait que le blé et l’avoine vendus aient été récoltés sur les terres situées près de ce dernier village. Quant aux terres situées à Charonne 735 , ce village se trouvait dans la vaste étendue de campagne au nord de la capitale qui était consacrée à la viticulture. 736 Pourtant, les termes des donations faites par Marie la Gossequine et par Julianne, femme de Raoul Ridiau, affirment que l’on cultivait aussi des céréales près du village. Il est donc vraisemblable que ces donations fournissaient une part des ventes de céréales comptabilisées.

Les vignobles provenant des donations de Marie et de Julianne auraient aussi fourni un élément important de l’alimentation des bonnes femmes. Si le rendement des vignobles de l’hôpital est difficile à mesurer précisément, il devait être considérable : tandis que le gouverneur achetait céréales, légumes, poisson et porc au marché, les comptes ne signalent aucun achat de vin en taverne. En revanche, le compte signale de nombreuses dépenses relatives au paiement des ouvriers ayant fait la vendange des vignobles à Charonne et au transport des tonneaux depuis les berges de la Seine jusqu’au cellier de l’hôpital. Ces indices laissent penser que l’hôpital était autosuffisant en matière de vin.

Il s’avère donc que 78% au moins du patrimoine urbain de l’hôpital provenait des donations faites par des individus dont nous avons démontré qu’ils avaient des rapports proches avec les bonnes femmes. Les revenus agricoles que l’hôpital percevait dérivaient aussi d’exploitations acquises grâce aux donations de ces mêmes bienfaiteurs. Ce constat conforte notre hypothèse selon lequel le soin mortuaire fourni par la communauté, moyennant ces donations, procédait des relations qui existaient entre les femmes et leurs donateurs, relations qui tenaient de la notion de parenté étendue.

Notes
716.

Sur les rapports entre cette transformation des structures de parenté et l’exercise du pouvoir, voir Régine LE JAN, Famille et pouvoir dans le monde franc (VII e -X e siècle). Essai d’anthropologie sociale, Paris, 1995.

717.

Sur les confréries, voir supra, ce chapitre, p. 203 ; chapitre 3, p. 91 et chapitre 1 ; sur les métiers, voir supra, chapitre 3 et chapitre 1.

718.

Voir supra, chapitre 1.

719.

LAUWERS, La mémoire des ancêtres…op. cit., p. 438-39 ;SANTINELLI, op. cit., p. 352-54.

720.

La piété funéraire de Marie d’Oignies est un thème de prédiliction dans la vita de la sainte, écrite par Jacques de Vitry (LAUWERS, La mémoire…op. cit., p. 441-42). Dans leurs sermons ad status, Jacques et Guibert affirment que les obligations de soigner les malades et les morts sont des thèmes à souligner en s’adressant aux veuves ; voir BN ms. lat. 17509, fol. 140v-145 et BN ms. lat. 15943, fol. 147-149.

721.

Tous les chiffres énumérés dans la deuxième colonne de ce tableau ont été relevés du rôle de compte de 1353-1354 (AN S 4633B no 7). Le gouverneur fournit lui-même la valeur totale des arrérages sur rentes et loyers. Il indique également la somme d’une liste de rentes, sans indiquer les donateurs (voir supra, p. 214), ainsi que les sommes des rentes donnés par des bienfaiteurs particuliers : Isabelle de La Mare, Belon de Bourrery, Erembourg de Reims, Marie la Gossequine et Etienne Haudry II. Ces revenus sont suivis d’une liste de loyers, dont la valeur totale est indiquée en fin de liste. Le chiffre correspondant à la valeur des cens, rentes et loyers, fourni dans le présent tableau, représente notre calcul de la somme de tous ces revenus immobiliers. La somme des legs testamentaires recus et celle des revenus divers (vente de produits agricoles et de couture, etc.) fut également calculée par le gouverneur et notée dans le rôle de compte. La somme de tous les revenus, qui figure dans notre tableau, est également fournie dans le compte, à la fin de la section consacrée à la comptabilisation des revenus.

722.

Comme nous l’avons déjà précisé (voir supra, p. 215, concernant le tableau 15), les revenus tirés des biens donnés par certains bienfaiteurs sont facilement repérables dans le compte car le gouverneur en traite dans des listes séparées, dressées sous un titre portant le nom du bienfaiteur. Ces bienfaiteurs sont Isabelle de la Mare, Erembourg de Reims, Marie la Gossequine, Etienne Haudry II. Comme les revenus attribuables aux dons de ces bienfaiteurs sont énumérés séparément, le calcul des sommes figurant dans la deuxième colonne du tableau 17 a été facile. En revanche, les biens tirés des dons faits par Etienne Haudry I, Jeanne Haudry, Guillaume le Béguin et Bernard de Pailly sont fondus dans la liste générale de rentes et de loyers (voir supra, p. 215) Cependant, nous avons pu calculer la valeur des revenus tirés de leurs dons en consultant les actes de dontation et en faisant des recoupements, ainsi que nous l’avons déjà expliqué. Ces recoupements sont expliqués dans les annexes 5 et 6.

723.

Cette somme correspond à la valeur totale des rentes données par Etienne, revenus qui, comme nous l’avons déjà remarqué sont énumérés par le gouverneur dans une liste spéciale, sous un titre où Etienne est désigné comme donateur. A ces rentes s’ajoutent le loyer perçu sur une maison provenant du don d’Etienne (voir l’Annexe 5, dans la deuxième rubrique, consacrée aux loyers comptabilisés) et 20 £ de rente dont le gouverneur précise qu’elles furent obtenus par Etienne grâce à un échange avec Renaud Dacy. Ces mêmes rentes font l’objet d’un acte passé entre Renaud et les « bonnes femmes » en 1368 (AN S *4634, fol. 97 (hhhhh). Selon les termes de cet acte, Renaud donne ces rentes à l’hôpital et reçoit en récompense une rente de 16 sous et une maison située dans la ville de Vitry. Cet acte semblerait être une confirmation de l’échange fait par Etienne Haudry II avec Renaud parce que sa datation est postérieur à celle du compte et que celui-ci atteste que les « bonnes femmes » touchaient déjà ces rentes en 1353-1354.

724.

Pour simplifier la présentation de ce tableau, nous avons décidé de traiter les revenus attribuables aux petits donateurs dans une seule ligne. Les biens donnés par la plupart de ces donateurs figurent dans la liste générale. Leurs noms sont : Jeanne la Douce de Hedin, Marguerite de Grisy, Clémence la Buissonne et Pierre Vincent, Ermengon la Chapelière et Pernelle Maujour. Jeanne et Marguerite ne nous sont pas connus, mais il est possible qu’elles aient été des « bonnes femmes. » Sur Clémence, Pierre, Ermengon et Pernelle, voir l’Annexe 3, dans les rubriques LA BUISSONNE, LA CHAPELIÈRE et MAUJOUR. Les 40 sous de rente attribués à une autre donatrice, Belon de Bourrery font sont énumérés séparément plutôt que dans la liste générale. Il se peut que cette bienfaitrice soit en réalité Belon de Borrane, une chambrière qui se rendit à l’hôpital grâce à l’intervention de sa maîtresse, Agnès la Harchière (voir supra, le chapitre 3, p. 105 et l’Annexe 3, DE BORRANE, I-II).

725.

Il s’agit de revenus perçus par l’hôpital dont nous ne pouvons pas déterminer qui en était le donateur..

726.

Les données présentées dans ce tableau sont tirées directement du compte (AN S 4633B, no 7).

727.

AN *4634, fol. 46-46v (1335). Voir aussi le traitement de cette donation qui se trouve à la page 214-15, ci-dessus.

728.

Ibid., fol. 32-32v (1350).

729.

Ibid., fol. 56v, n (26 avril 1344).La donatrice était probablement une proche de Raoul Le Peure, gouverneur de l’hôpital au moment où elle fit son don ; voir supra, chapitre 3, p. 138.

730.

AN L 1043, no 31 (1350)

731.

Constance BERMAN, « Cistercian Nuns and the Development of the Order : The Abbey of Saint-Antoine-des-Champs outside Paris,” The Joy of Learning and the Love of God: Studies in Honour of Jean Leclerc, Kalamazoo, MI, 1995, p. 121-47 ; Jean FAVIER, Nouvelle Histoire de Paris, 1380-1500, Paris, 1974, p. 24.

732.

Val-de-Marne, ar. Créteil, ch.-l. de c.

733.

Guy FOURQUIN, Les campagnes de la région parisienne à la fin du Moyen-Âge, Paris, 1964, p. 73.

734.

Val-de-Marne, ar. L’Haÿ-les-Roses, c. Chevilly-Larue.

735.

Dans l’actuel 11e arrondissement de Paris.

736.

FOURQUIN, Les campagnes…op. cit., p. 68.