II . Les « bonnes femmes » et la spiritualité féminine

La similitude entre les fonctions sociales et spirituelles des « bonnes femmes » parisiennes et de toutes les femmes religieuses constitue un autre élément de réflexion permettant d’avancer notre compréhension de la spiritualité du bas Moyen-Age. « Bonnes femmes », béguines et moniales semblent en effet avoir rempli des obligations similaires vis-à-vis de leur monde social, monde qui leur imposait aussi des contraintes semblables. Nous nous emploierons, dans les pages suivantes, à exposer ces points communs.