DE SAINT BENOÎT

Bonnes femmes

Guillaumette, chambrière de Thomas de Saint-Benoît

S*4634 f. 9r (mm) Vers 1326 Don, par Thomas de Saint Benoit, d’une rente de 60 sous, fait au profit des « bonnes femmes », avec réserve d’usufruit à Guillaumette, sa chambrière

Cet acte est identique à celui selon lequel Belon DE BORRANE, la chambrière d’Agnès La Harchière, fut reçue dans l’hôpital : il s’agit d’un don à l’hôpital, avec réserve d’usufruit à la servante du bienfaiteur. Nous en déduisons donc que la chambrière de Thomas se rendit aussi aux « bonnes femmes » grâce à l’intervention de son employeur.