I. Bonnes femmes
Marguerite, servante de Denisot Haudry
Bien que le compte ne précise pas que Marguerite était une « bonne femme », la vente de sa garde-robe le confirme. Le compte atteste en effet qu’une autre « bonne femme », nommée Jeanne de La Ferte, meurt la même année que Marguerite : l’hôpital perçoit une somme de 65 sous dérivée de la vente ses vêtements et débourse 2 sous 2 deniers pour les frais de son enterrement. Il est certain que Jeanne appartenait à la communauté car son nom figure sur la liste de la « plus grande et saine partie des bonnes femmes » de 1349. 910 La vente des vêtements d’une « bonne femme » décédée semble donc avoir été dans les usages de la communauté. De ce fait, il est fort probable que Marguerite était une « bonne femme. »
II. Proches et parents
HAUDRY, Denis, fils de Jean HAUDRY
L’employeur de la bonne femme nommée Marguerite était vraisemblablement Denis Haudry, petit-fils d’Etienne Haudry, le fondateur. 911
AN S 68 no 9, le 25 mai 1349.
Sur Denis Haudry, voir supra, chapitre 4.