REMERCIEMENTS

Le travail aura été long et ardu. Merci aussi à ceux qui se sont intéressés à ce travail, pour leurs conseils, leurs encouragements et leur curiosité. Pardon à tous ceux à qui j’ai imposé le récit de mes progrès et difficultés…

Cette étude n’aurait pu être réalisée sans l’aide efficace et généreuse des responsables des bibliothèques et instituts de Paris, Stuttgart, Göttingen, Berlin, Moscou et d’ailleurs. Merci aux amis moscovites qui sont ponctuellement devenus chercheurs et ont représenté des vecteurs de communication sans pareil. Je remercie très respectueusement le Dr A. Eisfeld pour son concours. Je remercie également MM. A. Blum, D. Eckert, V. Kolossov et V. Krindatch, chercheurs au CNRS, dont les conseils m’ont été fort utiles pour le démarrage de mes recherches, pour mes démarches en Russie et au Kazakhstan. Je salue cordialement M. M. Miller du centre du Nebraska Germans from Russia pour sa disponibilité sans failles et sa sympathie, ainsi que Mme H. Cook pour ses conseils judicieux. Je remercie également Mme I. Wagner du Vatter Bildungszentrum de Meßkirch pour l’aide qu’elle m’a proposée lors de la réalisation d’une étude sur les Spätaussiedler sans laquelle je ne pourrais bénéficier de riches témoignages. L’occasion m’est donc donnée de remercier toutes les personnes qui ont accepté de me livrer une partie de leur vie en Union soviétique et au Kazakhstan, nourrissant ainsi le discours de détails.

J’ai également une pensée pour Mmes Pizot et Floquet, respectivement professeurs de russe et d’histoire, qui ont toujours manifesté un intérêt pour mes recherches, qui ont généré des rencontres et m’ont aidée à organiser des séjours de recherches.

Je n’oublierai naturellement pas M. Bourret, qui est mon professeur depuis ma toute première année d’université, et qui a su m’encourager pour ce travail et m’enseigner les méthodes qui mènent au succès. J’ai pu bénéficier grâce à lui d’un fonds journalistique immense sur lequel repose une majeure partie de ce travail. Lui seul sait combien son concours, sa patience, sa persévérance et surtout son exigence m’ont été précieux tout au long de ces cinq années de doctorat… Merci de m’avoir transmis votre passion dont j’espère être digne.

Ma tâche ne saurait être complète si je n’évoquais pas les pensées que j’adresse à tous les Allemands de Russie, d’U.R.S.S. et du Kazakhstan dont je me suis appropriée l’histoire…

Je voudrais enfin et surtout remercier ma famille sans le soutien de laquelle je n’aurais pu achever ce projet. Un merci tout particulier à mes parents et frères à qui j’ai imposé des relectures souvent fastidieuses… Merci de vos critiques ô combien constructives. Merci à mon compagnon, Laurent Romain, pour son soutien quotidien et sa patience infinie, lui qui sera devenu, bien malgré lui, un spécialiste de la cartographie kazakhe… Il sait ce que ce « merci » signifie.

Enfin, puisque l’occasion m’est permise, je dédie ce travail à mon grand-père, Jacques Dorlin, qui aurait été, je crois, fier de voir ce travail enfin achevé…