3.5.2.6. L’imitation des tapisseries

La première tentative de tapisserie en papier peint est la création du décor Gobelins (ill° 44. 3) de Pierre Adrien Chabal-Dussurgey pour l’Exposition de Paris en 1867. Pour la réalisation de ce décor, Chabal-Dussurgey se souvient avec précision de la fameuse Tenture des Dieux de Boucher aux Gobelins de 17622096, un des grands succès de la manufacture, qui fut souvent retissée jusqu’en 1806. Cependant, cette réalisation tient davantage du décor et c’est dans ce cadre que nous l’étudions.

En fait, un nouveau type de motif s’impose peu après 1870 , l’imitation de tapisserie, mais non comme dans le cas de Zuber, des modèles des Gobelins mais plutôt de la production des centres mineurs comme Aubusson : on y retrouve généralement un décor naturel, des personnages en costume à références historiques, enfin un traitement de matière qui rappelle les effets du tissage. Fauconnier les date chez Desfossé de 1874 ; on les retrouve pratiquement en même temps chez Zuber puis chez d’autres fabricants2097. Le rapporteur du Jury de l’Exposition de 1878 signale d’ailleurs « la tendance générale de la fabrication moderne à l’imitation des étoffes et des tapisseries jadis employées à la tenture des appartements. Les effets les plus heureux ont été réalisés dans cette voie2098 ». Cette tendance s’exprime, comme toujours lors des Expositions par de grands panneaux.

En 1878, Desfossé présente sa Tapisserie genre Téniers en 16 lés2099 dessinée par Tétrel, puis la complète en 1883 par une Tapisserie genre Boucher  (ill° 43. 1) en 16 lés aussi, du même Tétrel2100. Ce dernier est un dessinateur qui a fréquemment travaillé pour le papier peint, on le retrouve en particulier comme créateur du décor les Saisons des Fleurs des Anciens établissements Desfossé & Karth en 1900 ; son style y est cependant difficile à reconnaître car l’œuvre est d’esprit totalement Art nouveau2101.

Ces deux « tapisseries » sont assez proches : dans le cas de la première, des personnages dans l’esprit des scènes de genre à sujets populaires de David Téniers (1610-1690) se livrent à leurs activités dans un cadre naturel : repas, beuverie, danse ; dans la seconde, le décor tient davantage du parc et les personnages populaires sont remplacés par des scènes galantes fort décentes, telles que la production des arts décoratifs du XIXe siècle les a popularisées : Boucher y est naturellement plus une référence historique qu’une référence iconographique. Une large bordure fleurie encadre l’ensemble ou, si le client le souhaite, telle ou telle partie. Tout cela n’est pas sans rappeler la production d’Aubusson et se révèle mieux adapté à une clientèle bourgeoise qu’une tapisserie des Gobelins qui nécessite à la fois plus d’espace et un tout autre regard.

Techniquement, l’effet de tapisserie est donné par une double intervention : un contrefond de fines lignes horizontales imprimées à l’aide d’un rouleau de cuivre gravé en taille-douce et un « cylindrage » du rouleau de papier en fines rayures verticales, ce qui, visuellement et surtout à distance, donne l’illusion de la matière d’un tissage de laine.

La Tapisserie genre Téniers a été conçue en deux étapes, huit lés d’abord, six ensuite : mais, en fait, le même fond est utilisé à deux reprises pour des scènes différentes sur trois lés alors que les autres restent semblables, ce qui permet d’abaisser le prix : dans un cas, devant l’auberge se déroule un repas et une beuverie sous le regard d’un violoneux ; dans le second cas, le même violoneux fait danser les paysans. Quant à la Tapisserie genre Boucher , Desfossé en produit une variante où deux lés sans personnages, imprimés avec des planches du paysage des lés 1 et 9, permettent de compléter si nécessaire le décor, puisqu’il n’a qu’un développement de 16 lés, soit seulement quelque huit mètres.

Ces deux tapisseries rencontrent le succès : de nombreux exemplaires en place sont parvenus jusqu’à nous, sept pour la Tapisserie genre Téniers , ce qui est exceptionnel. Ceci n’est pas étonnant vu d’abord le bas prix de ce décor : 96 francs, d’après Fauconnier, à mettre en rapport avec l’illusion d’un décor infiniment plus précieux, réputé aristocratique2102. Cette tapisserie aurait donné lieu à « une dizaine de tirages par 200 collections » ; quant à la  Tapisserie genre Boucher, elle aurait été réimprimée à deux reprises2103.

A regarder ces décors posés, on peut se demander dans quelle mesure ces tapisseries ne sont pas une formule renouvelée du panoramique, alors que celui-ci a pratiquement disparu. On y retrouve la notion de paysage, un paysage rythmé par des arbres qui découpent l’espace et se détachent sur le ciel. Des scènes variées scandent le déroulement du décor. Mais, par-delà ces ressemblances, des différences apparaissent évidentes. Tout d’abord, la coloration, sombre, ne donne aucunement une idée d’ampleur comparable à celle des panoramiques traditionnels avec leurs ciels immenses. Ensuite, ces tapisseries sont de petites dimensions et le système de répétition les rétrécit encore puisque des scènes différentes se déroulent devant des paysages semblables. Plus qu’une continuation, il faut y voir, tout comme pour les tableaux, la recherche par Desfossé d’un produit porteur en terme de publicité et, devant le succès commercial, le manufacturier l’a prolongé par une seconde tentative.

Sur le mur, tous les exemplaires se présentent de la même manière : ils sont posés au-dessus d’un lambris généralement de bois ou traité faux bois. Le décor est collé sur le mur avec une bordure plus ou moins large, coordonnée au papier par ses coloris et son traitement tapisserie2104 : à partir du moment où des motifs répétitifs façon tapisserie apparaissent sur le mur, les fabricants ont proposé des bordures et il suffisait alors de choisir la bonne coloration et la bonne largeur ; d’ailleurs les lithographies montrent des panneaux encadrés de la sorte. Dans le salon de la Villa St Pierre de St Maximin-la-Ste Baume (Var), la Tapisserie genre Téniers est encadrée d’une fine bordure mais, de part et d’autre de la cheminée, pour donner davantage de monumentalité à l’ensemble, le poseur a ajouté une bordure large à motif de torsades, traitée façon tapisserie. Dans la vaste salle de billard du château de Terral à St Jean-de-Védas (Hérault), ce sont les deux Tapisseries qui ont été posées ensemble, leur coloration, à défaut d’un style semblable, facilite le mariage des motifs ; comme la pièce est haute sous plafond, au-dessus d’un lambris sombre de la même couleur noyer que les huisseries, le poseur a ajouté un large lambris à motif de balustres se détachant sur un fond proche de celui des deux « Tapisseries » : nous ignorons s’il a été fabriqué en coordonné par Desfossé, mais du moins en donne-t-il l’impression2105.

D’après les Rapports d’expositions, en sus de ces deux essais réussis de Desfossé (qui n’ont pas été présentés officiellement à l’Exposition, mais sans doute dans un autre lieu à Paris), on peut citer, rien que pour 1878, une Tapisserie Louis XIV chez Bezault & Pattey :  

‘Tirée de la collection des douze châteaux royaux (…) cette composition qui ne mesurait pas moins de 8 mètres de long sur plus de 4 mètres de haut, fait honneur au collaborateur intelligent qui a su si bien rendre les tons presque uniformes et pourtant variés à l’infini des arbres et du paysage.’

Chez Hoock frères, successeurs de Délicourt, ce sont des Fables de la Fontaine dont

‘les animaux comme les arbres (…) étaient traités avec une harmonie de tons verts et bistres tout à fait remarquable (…) cette remarquable décoration ne mesurait pas moins de 6 m de longueur ’

et les couleurs décrites comme le traitement de détail sont ceux d’une tapisserie ; chez Bourgeois-Daniel à Paris est aussi imprimée « une imitation de tapisserie ». En 1889, toujours à Paris, on relève une « imitation de tapisserie du XVIe siècle avec personnages, composée de 7 lés différents » mais sans en indiquer le manufacturier (il s’agit du Jugement de Salomon de Leroy & Fils, mais à la machine, ill° 43. 2). La mode va certes perdurer, mais l’évolution du goût tend à la remettre en cause : Félix Follot, rapporteur du Jury de 1889, constate que les  

‘grands décors à effet qui attiraient le regard, (…ne conviennent) plus à la décoration actuelle de nos intérieurs (…) le goût des objets d’art s’étant développé, il devenait difficile de placer, comme jadis, (ces) compositions.’

Puisqu’elle n’a pas été présentée dans un cadre officiel, nous ignorons de quand date de façon précise une intéressante tapisserie à personnages, sans doute contemporaine des précédentes, de Danois, dont les planches ont été utilisées encore après 1900 par Hans. Son concept, particulièrement intéressant, apparaissait clairement dans l’intérieur d’une villa bourgeoise de Fontaine-St-Martin dans la banlieue lyonnaise ; ce décor est désormais conservé au MPP2106. Elle se compose de quatre personnages Renaissance censés représenter les Âges de la vie. Chaque personnage est imprimé sur un lé de 0,57 m de large ; il repose sur une terrasse en mille-fleurs et se détache sur un fond uni ocre rose où apparaissent en semis des fleurs stylisées ; le fabricant complète ces quatre lés par des lés complémentaires de même composition mais sans personnages ; de larges bordures à rinceaux et des coins permettent de poser ces lés sous forme de panneaux en s’adaptant avec souplesse à la structure de la pièce ; à Fontaine, par exemple, des panneaux de 3 ou 5 lés encadrés ont été formés autour de chaque personnage. Comme la hauteur sous plafond n’était pas très importante, la bordure supérieure n’a pas été collée sur le mur, mais sur le plafond. Pour obtenir le rendu de la tapisserie, la surface a été cylindrée, mais surtout l’impression à la planche, relativement grossière (il n’y a que dix couleurs), est traitée en hachures qui, à distance, plus que dans les exemples précédents, produit un effet de tissage donnant l’illusion de celui des tapisseries du XVe siècle.

Ces tapisseries ont leur équivalent en papier répétitif : les motifs de tapisserie reviennent régulièrement des années 1870 au début du XXe siècle, le plus souvent dans des rapports courts2107, de façon à se répéter à l’infini ; on y trouve aussi bien des verdures que des scènes à personnages d’esprit troubadour ou Renaissance. Mais, pour donner davantage d’ampleur au motif, les fabricants le traitent sur deux lés ; Fauconnier note à ce propos : « il y en avait de fort beaux, dont trois à deux planches de haut et deux rouleaux variés »; il ajoute que « l’un de ces dessins représentait un tir aux pigeons et les deux autres des scènes flamandes ». En 1882, Tétrel dessine une Tapisserie du XV e siècle  qui se présente en « deux rouleaux variés » dont le motif a un rapport de 1,30 de haut sur 0,50 m de large2108. On retrouve l’équivalent chez Zuber avec en 1898 les Belles Chasses de Guise (ill° 43. 3). Inspirées plutôt pauvrement des Belles Chasses de Maximilien de Van Orley conservées au Louvre, elles ont été dessinées par A. Reger ; le travail du dessinateur a coûté 1400 francs et la gravure des 89 planches 1936 francs. Elles se composent de deux lés fonctionnant de pair ; sur le premier, deux scènes superposées dans un décor forestier : un cerf et un groupe de chasseurs aristocratiques, sur l’autre, la forêt et au-dessus un enfant tenant un chien en laisse. Le système de composition permet d’avoir un motif de grande taille. Une bordure avec un motif de fleurs et de fruits traité façon tapisserie donne sur le mur un effet de tapisserie intégrée à une boiserie. Enfin, le traitement de surface joue l’illusion du grain de la tapisserie.

A côté des tapisseries à personnages, les fabricants ont aussi mis sur le marché des tapisseries à verdure. Certaines sont fondées sur un motif à rapport, qu’il était possible de combiner avec une bordure coordonnée : le Musée du papier peint en conserve un exemplaire2109 de fabrication inconnue provenant de l’ancienne collection Follot. Le motif lui-même se répète sur le mur avec un rapport important qui donne l’ampleur nécessaire au motif ; la bordure est plus originale : dans la partie basse, on a fait appel à un premier motif puis, à gauche et à droite et dans la partie haute, un second motif de même largeur a été utilisé ; de part et d’autre, en guise de base, a été découpé un vase qui « l’assoit ». Il s’agit là d’un bon exemple d’utilisation d’un simple motif répétitif par un poseur intelligent.

En 1907, Zuber propose une formule plus élaborée : la Forêt des Ardennes 2110 dessinée par le principal dessinateur de la maison, Stutz « d’après (une) vieille tapisserie » précise le livre de gravure2111.

Tous les exemplaires de tapisserie analysés jusqu’à présent, à l’exception du Jugement de Salomon, ont été imprimés à la planche : or l’Exposition de 1878 voit apparaître des très grands motifs (jusqu’à 1,50 m de haut) imprimés à la machine. Désormais, il est possible d’imprimer 24 couleurs différentes pour une hauteur de 1 m2112. C’est ainsi que chez J. Roger à Mouy (Oise), le jury a « remarqué une imitation de tapisserie ancienne bien traitée pour être vue à distance ». Le panneau, imprimé à douze couleurs, mesurait 2,40 m de largeur et était composé de cinq lés d’impression ; la hauteur des motifs était de 1,50 m. Ces tentatives, d’autres les reprendront : lors de l’Exposition de 1889, F. Follot relève chez I. Leroy

‘un panneau composé de sept lés différents, représentant une tapisserie du XVIe siècle encadrée d’une superbe bordure de fruits. Étant donné le résultat obtenu de cette importante composition et le nombre restreint de couleurs employées, c’est évidemment l’œuvre la plus capitale de la mécanique que l’on ait vu jusqu’à nos jours.’

Malheureusement, cette œuvre nous fait jusqu’à présent défaut. « Malheureusement » n’est peut-être pas le bon qualificatif car un regard contemporain a du mal à discerner dans ces équivalents autre chose qu’une prouesse technique  et les exemplaires similaires parvenus jusqu’à nous ont du mal à convaincre sur le plan esthétique.

Or, il est intéressant de constater que le rapport d’Isidore Leroy de 1878, non sans ambiguïté, se permet de critiquer ce type de produits (qu’il fabrique lui-même…) au nom d’une esthétique à rapprocher de « l’honnêteté » des Arts & Crafts :

‘La simplicité de (…) la manière de vivre du petit bourgeois, ainsi que la physionomie intérieure de son appartement, ne sont pas d’accord avec le papier peint qui reproduit (…) l’aspect (…) des tapisseries de Beauvais et de Flandres (…) Nous ne pouvons concevoir cette forme particulière de la démocratie contemporaine qui exige l’ombre de la richesse (…) N’est-il pas plus vrai et plus sain de confier à cet agent modeste, le papier, une décoration qu’il puisse supporter sans sortir de son rôle ? Et celui-ci n’est-il pas assez varié pour suffire à tous les besoins sans qu’il lui soit nécessaire de dépasser les limites de l’honnêteté décorative 2113 ? Le papier peint ne peut pas se donner des airs de fresque ou de tapisserie sans qu’un sourire de pitié ne vienne bien vite corriger l’expression du sentiment admiratif que l’on manifeste en constatant les progrès étonnants qui ont été accomplis dans cette fabrication où la France se montre supérieure à toutes les nations. (…) Les œuvres d’art exécutées magnifiquement sur papier de tenture ne nous semblent offrir d’autre intérêt que celui d’un tour de force ou d’adresse (…) elles ne sauraient constituer un progrès véritable car l’avantage pratique (…) nous échappe absolument. Ces efforts excessifs pour atteindre la perfection (…) font dépasser le but assigné par le bon sens à l’ambition des fabricants.’

Le genre semble désormais condamné par l’évolution esthétique : les Français ne sont pas totalement insensibles au refus de l’imitation que dénoncent les Arts & Crafts et que l’Art nouveau va répéter dans les années 1890-1900. Il est d’ailleurs l’une ou l’autre tentative Art nouveau, comme la Cueillette des oranges de la manufacture Leroy en 1900, d’après une composition de Louis Rigaux (ill° 43. 3). Quoi qu’il en soit, reconnaissons cependant l’efficacité des manufactures à trouver un substitut efficace aux panoramiques de façon à mettre sur la marché des articles « fins » d’un bon rapport, leur permettant aussi de continuer à briller aux Expositions, de façon à emporter des récompenses fort utiles sur le plan commercial, tout en conservant dans leurs ateliers leurs compétences professionnelles.

Une semblable démarche se retrouve avec le « décor ».

Notes
2096.

L’exemplaire le plus connu décore depuis 1775 la Tapestry Room d’Osterley Park près de Londres.

2097.

L’Histoire documentaire constate dans son Index chronologique des principaux articles, genres et procédés d’impression, p. 401, qu’en 1870-72 apparaissent des « articles meubles riches sur gobelins (personnages Watteau, etc. (…) à la planche et au rouleau (par Thierry-Mieg & Cie) » puis, en 1874, des « créations diverses pour meuble à la planche (…) gobelins coton et laine ; genre verdure ; forêts et paysages, sujets Moyen-Age, à la main et au rouleau. » Dans le Fonds Claude frères du MPP qui rassemble des échantillons de l’ensemble de la production à l’intention des dessinateurs, les exemples les plus anciens apparaissent en 1876, mais il n’est pas possible d’identifier leur origine. Le MISE possède une série de tapisseries imprimées sur toile à la même époque, cf. Histoire singulière de l’impression textile, Aix en Provence, 2000, n° 28, p. 119-122.

2098.

Exposition universelle internationale à Paris, Rapports du Jury international, groupe III., classe 22 (…) par M. Isidore Leroy, Paris 1880, p. 6.

2099.

N° 7297-7302 et 7230-7237, 750 planches, 96 francs d’après Fauconnier.

2100.

N° 7774-7789, 850 planches, 96 francs d’après Fauconnier.

2101.

Bieri & Jacqué, 1997.

2102.

Ce que rappelle à la même époque Havard à l’article « tapisserie » de son Dictionnaire, , tome IV, col. 1231.

2103.

Fauconnier, p. 2 et 9.

2104.

Dans les deux cas sont prévues des bordures assorties : deux de largeurs différentes pour la Tapisserie genre Téniers (n° 7289 et 7371) et une pour la Tapisserie genre Boucher, n° 7845.

2105.

Doc° MPP.

2106.

MPP, inv. 987PP9, don Tenant. Cf. catalogue Le mirage du luxe, MPP, Rixheim, 1988-89, n° 34.

2107.

Un document anglais de la fin du siècle représentant peut-être le Cervin dans un paysage traité en tapisserie a cependant un rapport de 1 m de haut sur 0,70 m de large.

2108.

Desfossé, n° 7734, 47 planches, d’après le livre de gravure de Desfossé conservé au MAD, département papiers peints.

2109.

Jacqué, 1987, planche 32. Inv. MPP 985PP 3-3.

2110.

N° 1451-1455, 239 planches, 1000 francs de dessin, 4740 francs de gravure ; h. 2,05 m, l. 2,70 m.

2111.

MPP, Z 182.

2112.

Exposition de 1878, Rapport, p. 7-8.

2113.

C’est nous qui soulignons.