Conclusion

Un monde s’effondre avec la Première Guerre mondiale et le papier peint reflète naturellement ce changement. D’un côté, on peut s’interroger sur le maintien, de collection en collection, des motifs dits « de style » : toiles de Jouy, damas, indiennes… qui depuis le XVIIIe siècle, manifestent une continuité sur laquelle il n’est pas d’études. Mais d’un autre, il est évident que la période ouvre de nouveaux horizons liés à l’émergence de nouvelles esthétiques, à des possibilités techniques nouvelles. En guise de conclusion, nous présenterons ces nouvelles orientations avant de nous interroger sur ce qu’est devenu un des produits phares du papier peint du XIXe siècle, le panoramique.