ANNEXES

PARTIE A : Liste complémentaire des nouvelles réactualisant l’architexte du conte populaire (complément de la sous-partie 1.1.1.) 

  1. Die Reisenden / Les Voyageurs (1823)
  2. Die Verlobung / Les Fiançailles (1823)
  3. Musikalische Leiden und Freuden / Souffrances et Joies musicales (1824)
  4. Pietro von Abano. Eine Zaubergeschichte / Pietro d’Abano ou Petrus Apone. Histoire d’ensorcellement (1825)
  5. Der fünfzehnte November / Le Quinze novembre (1827)
  6. Das Fest zu Kenelworth. Prolog zum Dichterleben / La Fête de Kenelworth. Prologue à La Vie de Poète (1828)
  7. Der Alte vom Berge / Le Vieillard de la montagne (1828)
  8. Das Zauberschloss / Le Château hanté (1830)
  9. Die Wundersüchtigen / Sujets au Surnaturel (1831)
  10. Der wiederkehrende griechische Kaiser / Le Retour de l’Empereur grec (1831)
  11. Der Jahrmarkt / La Foire (1832)
  12. Der Mondsüchtige / L’Adorateur de la Lune (1832)
  13. Eine Sommerreise / Un Voyage estival (1834)
  14. Tod des Dichters / La Mort du Poète (1834)
  15. Das alte Buch und die Reise in's Blaue hinein. Eine Märchen-Novelle / Le vieux Livre et le Voyage dans le Bleu. Nouvelle-conte (1835)
  16. Der Wassermensch / L’Homme-poisson (1835)
  17. Weihnacht-Abend / Veillée de Noël (1835)
  18. Der junge Tischlermeister. Novelle in sieben Abschnitten / Le jeune Menuisier. Nouvelle en sept épisodes (1836)
  19. Wunderlichkeiten / Des Choses étranges (1837)
  20. Die Klausenburg. Eine Gespenstergeschichte / Le Château du Klausenbourg. Une histoire de fantômes (1837)
  21. Des Lebens Überfluß / Les Choses superflues de la Vie (1839)
  22. Liebeswerben / Le Soupirant (1839)
  23. Der Schutzgeist / L’Ange-gardien (1839)
  24. Die Glocke von Aragon / La Cloche d’Aragon (1839)
  25. Waldeinsamkeit / Solitude de la Forêt (1841).

Titres auxquels nous pourrions ajouter Der Hexensabbath / Le Sabbat des sorcières (1832) et Eigensinn und Laune / Caprices et Lubies (1836) en tant que contes tragiques (Max Lüthi, 1975, p. 67), id est articulant une progression inverse, de l’abondance à la souffrance, voire la mort.

Notons que nous ne faisons pas figurer l’analyse de L’Épouvantail dans les rapprochements détaillés qui suivent, puisque cette nouvelle fait l’objet d’une étude approfondie dans la troisième partie de notre travail.