Sans la compétence en matière d’interculturalité et la coopération d’un ensemble d’intervenants, ce travail n’aurait pu prendre corps. Qu’ils en soient ici remerciés. Ma reconnaissance va particulièrement à monsieur Claude JOURNÈS, Professeur de science politique à l’Université Lumière Lyon 2 et Doyen de la Faculté des Sciences Juridiques. Malgré toutes les difficutés de communication entre Maputo et Lyon, j’ai bénéficié de monsieur le Professeur C. JOURNÈS un suivi et des conseils très encourageants, dans le cadre de la direction de cette thèse.
Je remercie également monsieur le Professeur E. M’BOKOLO, qui, à titre de Directeur de l’Ecole d’Hautes Etudes, à Paris, et de chercheur des problématiques africaines, a accepté de me recevoir en 1999. Tout en consacrant son temps rare à une conversation sur l’approche des faits sociaux en termes de réseaux en Afrique, il m’a fait voir les enjeux de ce mode de raisonnement. Monsieur M. CAHEN, enseignant et chercheur à l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux, m’a gentiment fourni des publications au sujet du Mozambique et d’autres pays africains. A propos de ce geste, je tiens à lui exprimer ma gratitude.
Je dois à l’EGIDE l’appui pour mes séjours en France, tant pour mes études que pour des recherches concernant cette thèse. De ce fait, j’exprime ma reconnaissance à cette Institution. Ce geste s’adresse également à madame JOUVENET, à messieurs F. NAZARIO et A. DESMAZIERES, pour m’avoir aidé à renouveller mes inscriptions, à l’Université.
Pour mener à terme cette ambitieuse étude, nous avons bénéficié de la collaboration de nombreux chefs de familles, domiciliés à Manjacaze et à Maputo. Nous remercions messieurs D. MATSINHE, J. MATSINHE, F. MONDLANE, A. SITOE, M. MACACHENE, J. JÚLIO, R. CHILUMBINE et F. QUISSIMUSSE, pour avoir accepté de partager des connaissances sur l’histoire politique de leurs espaces sociaux.
La collaboration du monsieur A. SOPA, directeur pour la division de documentation aux AHM1, et du monsieur Antonio DOMINGOS, directeur de l’ARPAC2, a été importante. A tous les deux, je leur dois le témoignage de mes remerciements. Une mention sépeciale doit être faite pour Quintin LAMBERT, qui a contribué de toute son énergie à la relecture de notre texte.
Enfin, rien de tout cela n’aurait eu de sens sans le soutien affectueux et tolérant que mon épouse, Inês, m’a toujours apporté.
José MAGODE
Archives Historiques du Mozambique
Archives du Patrimoine Culturel, à Maputo.