A propos du paradigme de la certitude du doute de l’existence de l’idée du vrai.

La mort du Cercle de Vienne en 1931 entérina le fait que l’incertitude existait aussi en sciences (et en mathématiques plus spécifiquement).La notion de vrai s’ébranla alors de plus en plus puisque l’unité de la science mathématique était un leurre. Du côté de la philosophie, la croyance que la vérité était liée aux sciences s’écorna sérieusement et la notion de vérité se tourna vers des objets différents tels que la vérité de l’Etre et la vérité du Temps.

Gödel porta le coup de grâce et c’est pour cela que nous avançons que la paradigme de la certitude du doute de l’existence de l’idée du vrai au sein même des mathématiques hypothétiquement unifiées naquit. L’idée du vrai en fonction de, n’en prenant que plus de résonance en mathématiques comme en philosophie (avec la succession des courants tels que la phénoménologie, l’humanisme et le structuralisme par exemple).