Un deuxième obstacle.

Il s’agit de la liaison tenace qu’entretiennent les programmes entre vrai et preuve : cela contribue à renforcer que le vrai est toujours accessible puisqu’au bout de la preuve. Donc cela favorise l’idée de l’existence du vrai (toujours ; en soi ; malgré tout) en même temps que cela évite de penser la notion de preuve sous l’angle épistémologique en particulier (un incontournable d’après E. Barbin). L’idée du vrai est associée à l’illusion du possible accès à la cohérence.