Virgil Thomson, « Prefacio » à Música en Buenos Aires de Jorge d’Urbano : pour un ami

Jorge d’Urbano, un des amis d’enfance de Cortázar, publie en 1966 à Buenos Aires un recueil des articles de critique musicale qu’il a écrits entre 1950 et 1965 dans Crítica et El Mundo. Le livre est édité par Sudamericana. Il y a une préface de deux pages, signée de Virgil Thomson, et qui apparaît comme traduite par Julio Cortázar. La langue originale n’est pas notifiée.

L’intérêt de cette traduction n’est certainement que d’ordre biographique : Cortázar a dû être sollicité soit par d’Urbano soit par Sudamericana pour ce petit travail. Il faut pourtant peut-être mettre ceci en relation avec la publication deux ans plus tôt par Sudamericana du Diccionario Oxford de la música de Percy Scholes, où Cortázar avait mené à bien une partie de la traduction.