Université Lumière Lyon 2
Ecole doctorale Sciences des sociétés et du droit
Faculté de Géographie, Histoire, Histoire de l’art, Tourisme
Département de Géographie
Environnement naturel et occupation du sol dans le bassin-versant du lac Jabbûl (Syrie du Nord) à l’Holocène
Thèse de doctorat de Géographie, aménagement et urbanisme
Mention Géographie-Géoarchéologie
Dirigée par Rémi DALONGEVILLE
Présentée et soutenue publiquement le 31 octobre 2003
Membres du Jury :
Rémi DALONGEVILLE, Directeur de Recherche CNRS à Lyon, directeur de thèse
Jean-Louis BALLAIS, Professeur à l’Université d’Aix en Provence, rapporteur
Frank BRAEMER, Directeur de Recherche CNRS à Nice, rapporteur
Yann CALLOT, Professeur à l’Université Lumière Lyon 2
Bernard GEYER, Directeur de Recherche CNRS à Lyon

Cécile, pour son écoute, sa confiance et sa patience surtout !
à Claudine, Gérard et à mes frères et sœurs

Remerciements

Au moment où ce travail prend fin, je souhaite adresser mes remerciements les plus chaleureux à M. Rémi Dalongeville qui a accepté de diriger cette thèse bien que le sujet ai été en dehors de sa spécialité. Ses conseils avisés m’ont été d’un grand secours. J’adresse des remerciements également très chaleureux à M. Bernard Geyer qui m’a proposé ce travail dès mon DEA et dont le soutient, autant scientifique, dans la co-direction active de ma thèse, que matériel, n’a jamais failli au cours de ces années.

Je suis également très reconnaissant à la Maison de l’Orient et de la Méditerranée et plus particulièrement à ARCHÉORIENT (ancien GREMMO) et à ses directeurs successifs, M.M. Olivier Aurenche et Pierre Lombard, qui m’ont donné les moyens de réaliser ce travail dans les meilleures conditions possibles.

Mon travail s’est déroulé en partie en Syrie et je dois beaucoup à l’Institut Français du Proche-Orient (IFPO) et notamment à l’ancien IFAPO et à ses directeurs successifs, M.M. Jean-Marie Dentzer et Jean-Louis Huot, qui m’ont très cordialement accueilli et ont facilité mon travail de terrain. Une année passée en Syrie en 1999-2000, m’a permis de faire avancer mon travail de manière décisive. Je la dois au ministère des Affaires Étrangères Français qui m’a offert une bourse (bourse Lavoisier).

Mon travail en Syrie n’aurait pas été possible sans la confiance renouvelée du Directeur des Antiquités de Syrie de l’époque, M. Sultan Muhesen. Qu’il soit sincèrement remercié ici. De nombreuses autres personnes m’ont fréquemment aidé en Syrie. Je ne peux toutes les énumérer ici. Je souhaite cependant remercier particulièrement Nazir Awad, des antiquités de Damas, qui m’a régulièrement soutenu dans mes démarches administrative, Mohamed Ali, des antiquités d’Alep, qui m’a accompagné plusieurs fois sur le terrain et Abou Abdou, du village de Qli‘at, chez qui j’ai logé plusieurs fois et dont l’accueil a toujours été exceptionnel.

En France, de nombreuses personnes ont rendu ce travail possible, par leur aide, leur attention, leur confiance. Je souhaite spécialement remercier Thierry Boissière pour son soutien ainsi que pour la relecture de cette thèse ; je remercie également Frank Capisano, Agnès Piédimont, Olivier Barge, Jacqueline Argant, Jérôme Lejot.

J. Besançon s’est sincèrement investi dans ce travail en m’accompagnant sur le terrain, en corrigeant en détail mes premiers écrits et en me prodiguant ses conseils avisés dès qu’il le pouvait. Il n’a pas eu le temps de voir cette thèse achevée et de constater ce qu’elle lui doit. Je salue ici sa mémoire.

Mes ultimes remerciements vont aux fellah et aux bédouins rencontrés au cours de ces années de recherche sur le terrain, qui m’ont donné le goût de leur monde, celui des steppes arides.

Transcription des mots arabes

Pour la transcription des mots arabes nous nous sommes fondés sur un système très simple (C. Robin, com. pers.). Celui-ci n’est pas dénué d’ambiguïtés, en particulier parce qu’il ne fait pas de différence entre les consonnes emphatiques et non-enphatiques. Mais pour des raisons pratiques liées à l’utilisation de certains logiciels de cartographie et de SIG, nous avons été obligés d’adopter ce système.

Pour les noms d’agglomérations extérieures à la région d’étude, nous avons adopté la forme consacrée par l’usage (ex : Alep, Meskéné).

Epigraphe

« La géographie exige des uns toutes leurs journées
et toutes leurs peines, et c’est là qu’ils réalisent leur
être et se comprennent. Pour d’autres, le pays ce sont
des lignes et des teintes, mais aussi des chemins,
des maisons : un présent. Ce sont des arbres chargés
d’ans, des tombes : un passé. Ce sont des terres à
labourer, des champs à moissonner, des projets : un
avenir. En un mot, une continuité, une fidélité.
Un équilibre dans le flot tumultueux de la vie. »
E. Dardel, L’homme et la terre (nouv. éd. 1990, p. 130)

« Près d’Alep se trouve une vallée de sel où l’eau
qui s’écoule laisse un dépôt de sel en s’évaporant… »
(E. Kant, Géographie, traduction française de 1999, p. 313).