Université Lumière Lyon II
Faculté de Géographie, Histoire, Histoire de l'art, Archéologie et Tourisme
Thèse Nouveau Régime
en archéologie médiévale
Étude archéologique de l'armement de trait au Moyen Âge (XIe - XVe siècle)
sous la direction de
Françoise PIPONNIER,
Directeur d'Études à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales
Le 06 Janvier 2003

à Dominique

REMERCIEMENTS

Notre première pensée de reconnaissance s'adresse à Jean-Marie Pesez. Nos remerciements vont dans un même temps à Françoise Piponnier qui a bien voulu accorder à la présente thèse son bienveillant patronage, ainsi qu'à Jean-Michel Poisson et Philippe Fluzin qui ont contribué au suivi scientifique et à la relecture de ce mémoire. Qu'ils reçoivent ici le témoignage de notre gratitude. Nous voulons aussi témoigner notre reconnaissance à Danielle Alexandre-Bidon pour l'aide qu'elle nous a apportée au cours de l'élaboration du présent volume, en particulier pour la recherche de documents relatifs à l'iconographie ainsi qu'à Frédéric Chartrain, pour la partie consacrée aux sources écrites.

Nous tenons également à associer à ces remerciements Pierre Guichard et Marie-Françoise Boussac pour l'intérêt qu'ils ont manifesté à l'égard de nos recherches. Nous avons ainsi largement bénéficié des facilités qu'offraient leurs laboratoires. De même, nous avons une dette de reconnaissance envers Pierre-Marie Blanc et Jean-Louis Huot pour leur accueil et pour les moyens techniques qu'ils ont bien voulu mettre à notre disposition à l'Institut Français d'Archéologie du Proche-Orient lors de notre séjour damascène. Une pensée de gratitude s'adresse aussi à Tadeusz Poklewski et sa famille pour son hospitalité lors de notre stage à l'Académie des Sciences de Lódz ainsi qu'à François Bougard à l'École Française de Rome.

Une multitude d'autres personnes nous ont assisté de différentes façons. Parmi elles, Jacques Cochin, Serge Robert, Marianne Grivel pour leur soutien amical et avisé, Nicole Garnier qui nous a largement fait bénéficier des facilités d'accès à la bibliothèque du musée Condé à Chantilly, André Pelle, pour son amitié et ses précieux conseils en matière photographique, Alphonse Bellonte, pour son enthousiasme et son constant soutien, Sandrine pour sa clairvoyance grammaticale, ainsi que Dominique à qui ce mémoire est dédié, Joanna pour ses traductions du polonais au français, mes parents, Thierry, Odette, Sandra, Mourida, Michèle, Olivier et Stéphanie, Louise et Raymond, Annie et Christophe, Maurice et Christine, Antigone et Dominique, Nathalie et Simon, Fabrice et Caroline pour leurs précieux encouragements.

Quant aux archéologues qui nous ont permis d'accéder aux collections et aux personnes innombrables qui nous ont aidé ou communiqué de la documentation, il est impossible ici de les remercier tous. Parmi eux, nous retiendrons : Serge Adrover, Michel Aubert (Laboratoire de Belfort), Jean-Claude Béal, Paul Benoît, Laurent Beuchet, Gille Blieck, Annie Bolle, Luc Bourgeois, Patrice Conte, Christophe Cousin (musée historique de Belfort), Lionel Dieu, Nadine Dieudonné-Glad, Monique Fuchs, Sébastien Gaime, Marian Glosek, Serge Grappin, Christian Guilleré, René Kill, Jean-Michel Lassure, Jean-Claude Jeanjacquot, Jacky Koch, Jean-Pierre Lémant, Amaury Masquilier, Dominique Pitte, Jacques Thiriot, Brigitte Véquaut, Pierre Walter…

« Le fer est le meilleur et le pire serviteur de l'humanité, puisque c'est avec lui que nous ouvrons la terre, que nous plantons les arbres, que nous taillons les hautains, que nous forçons la vigne à rajeunir chaque année en retranchant ses rameaux morts, avec lui que nous bâtissons les maisons, que nous taillons les pierres, puisque c'est lui qui nous sert à toutes sortes d'autres usages ; mais c'est le fer aussi qui est l'instrument de la guerre, du meurtre, du brigandage, non seulement dans le corps à corps, mais même sous forme de projectiles volants que lancent tantôt les machines, tantôt le bras de l'homme ; nous l'avons même empenné, ce qui est, à mon sens, le crime le plus détestable de l'esprit humain, puisque, pour que la mort parvint plus vite à l'homme, nous lui avons donné des ailes et nous avons fait voler le fer ».
Pline l'Ancien, Histoire Naturelle, XXXIV, 138, Texte établi et traduit par H. le Bonniec, Paris, Les Belles Lettres, 1983.