Rhétorique et homilétique anglicane

À ces considérations théoriques générales s’ajoutent des facteurs conjoncturels. La rhétorique homilétique anglicane du dix-huitième siècle se définit d’abord et avant tout en réaction à celle du siècle précédent. Elle s’inscrit en outre dans le cadre plus vaste de la stylistique du siècle, caractérisée avant tout par une recherche de la simplicité, comme le souligne Liliane Gallet-Blanchard :

Après une longue période durant laquelle l’érudition est indissociablement liée à l’homilétique, celle‑ci connaît dans les trois dernières décennies du dix-septième siècle une véritable révolution, sous l’influence essentiellement de l’archevêque Tillotson, mais aussi de deux évêques, Lloyd (1627‑1717) et Wilkins (1614-1672). Le titre du traité d’homilétique d’un autre évêque, Joseph Glanvill, A Seasonable Defence of Preaching: And the Plain Way of It, énonce une programmatique que confirme l’extrait suivant :

Réaction contre les excès baroques du siècle précédent et recherche d’une précision scientifique semblable à celle qui a cours à la Royal Society (nous y reviendrons) se conjuguent pour conférer à l’homilétique du dix-huitième siècle sa marque propre. L’homilétique nouvelle se caractérise par sa plainness, simplicité ostentatoire et dépouillement affiché qui concernent à la fois la forme et le fond. Cette simplicité militante correspond d’abord à un rejet des excès des prédicateurs métaphysiques, mais surtout des Puritains, ces « enthousiastes » dont les excès vont pendant plus d’un siècle servir de repoussoir à la nouvelle homilétique. Tout enthousiasme excessif est désormais associé à un fanatisme dont il faut se garder, car, selon la formule d’un prédicateur de l’époque, « l’éloquence n’est pas un délire » 292 . Dans son sermon sur le verset « But wisdom is justified of all her children », Stillingfleet affirme ainsi : « The precepts of our Religion are plain and easy to be known » (in Sisson, 1976, p. 163), tandis que Tillotson, dans sa prédication « The Advantages of Religion to particular Persons », introduit l’exégèse d’un passage biblique qu’il vient de citer par la formule suivante : « The plain sense of which Text is, that pleasure and peace do naturally result from a holy and good life » (ibid., p. 195). La cinquième section du traité d’homilétique de Wilkins est consacrée à l’expression, et le maître‑mot en la matière est là encore plainness :

Quant à Joseph Glanvill, il définit de manière synthétique les règles de la prédication dans son autre traité d’homilétique, An Essay Concerning Preaching : « I shall handle the Rules of Preaching under these four Heads. It ought to be plain, practical, methodical, affectionate » (Glanvill, 1678, p. 11). La « simplicité » chère aux prédicateurs de l’époque, dont on notera qu’elle apparaît en première position, est rendue indispensable par la fonction d’édification du sermon – « He that affects hard [words], speaks in an unknown tongue, and is a Barbarian to his Auditors; they hear the sound, but are not edified » – et est définie de la sorte : « Plainness is a Character of great latitude, and stands in opposition, First to hard words. Secondly, to deep and mysterious notions. Thirdly, to affected Rhetorications, and Fourthly, to Phantastical Phrases » (ibid., p. 12). Les « hard words » sont définis comme « outlandish words that have not yet receiv’d the publick stamp » (ibid., p. 15) ; quant aux « deepand mysterious notions », c’est-à-dire « Hypotheses of Philosophy or the heights of speculative Theology », elles doivent être bannies car inaccessibles au peuple, qu’elles peuvent même induire en erreur :

L’« éloquence » de la chaire se distingue en outre de la « rhétorique » antique, en ceci qu’elle n’est pas destinée uniquement aux hommes, mais à Dieu :

Il s’agit enfin d’éviter les « Phantastical Phrases » car le but est d’être un prédicateur non pas « populaire », mais « solide et honnête » (ibid., p. 27), et de ne pas donner à l’assemblée l’illusion d’un savoir qu’elle ne possède pas. Une éloquence simple accessible à des gens simples, tel est l’idéal homilétique du dix-huitième siècle 293 .

Cette simplicité n’est pas seulement réactionnelle, mais a également des fondements philosophiques et théologiques, et correspond à l’évolution du goût néo‑classique : « Here [in homiletics] an English literary prose has developed in accordance with the literary taste of the period » (Lessenich, 1942, p. 13). Il est difficile de sous-estimer l’importance à cet égard de l’œuvre de John Locke sur la philosophie du langage, déjà abordée dans une autre perspective, et ce à deux titres. C’est d’abord une philosophie du langage radicalement nouvelle qu’inaugure Locke en faisant reposer le besoin de clarté sur l’expérience : bien employés, les noms ne sont jamais en eux-mêmes causes de malentendu – et c’est en ce sens que la rhétorique mène à la Vérité – car ils correspondent très exactement à une expérience dans le monde phénoménal, ne font que représenter des « idées simples » et uniques dont tout individu a fait l’expérience par la sensation. C’est le sens du célèbre passage de l’Essay sur l’aveugle :

D’où le second aspect central du travail de Locke, la scrupuleuse attention portée au travail de définition ; la rhétorique n’est pas artifice, mais souci du mot juste :

Cette notion de « propriety » est, l’on s’en souvient, au cœur de la définition swiftienne du style comme « Proper words in proper places » (PW IX, 65), un style qui ne soit pas vaine ornementation, et l’on peut penser que là encore, l’influence de la définition lockienne de la rhétorique comme « that powerful instrument of error and deceit » (Essay III, 10, 34, p. 452) a été prépondérante 295 . Par ailleurs, l’indignation swiftienne dans A Proposal for Correcting, Improving and Ascertaining the English Tongue quant aux « abus de langage » n’est pas sans rappeler le chapitre de l’Essay sur le même thème :

Une telle clarté du langage est particulièrement importante dans le domaine de la religion, affirme Locke, faute de quoi la Vérité divine sera obscurcie :

L’influence de Locke sur ses contemporains est considérable et son travail est à l’origine de l’intérêt du dix-huitième siècle pour la philologie, la sémantique et la grammaire, comme en atteste par exemple la quantité considérable de grammaires qui paraissent alors 296 , comme le montrent aussi les nombreuses références, directes ou indirectes, à la définition lockienne du style 297 .

Par ailleurs, l’influence de la Royal Society s’avère prépondérante sur la rhétorique homilétique, et ce, d’autant que Wilkins en fait partie. En effet, si la recherche scientifique constitue la principale préoccupation de la Royal Society, la rigueur est de mise dans tous les domaines et si l’on veut démêler le vrai du faux – « to separate the Knowledge of Nature, from the colours of Rhetorick, the devices of Fancy, or the delightful deceit of Fables » –, il convient de définir précisément les règles du discours :

La démarche de Sprat se situe clairement dans une perspective, non d’innovation, mais de restoration, de retour à une pureté adamique et pré‑lapsarienne du langage (to return back to the primitive purity and shortness). La simplicité se justifie également d’un point de vue théologique, en ceci qu’elle reflète la simplicité sacrée du message divin, qui se dispense d’ornementations. En outre, seul l’effacement de la parole propre devant la parole divine permet de retrouver une simplicitas evangelica de bon aloi, témoin de la volonté de l’homme de respecter le caractère originel du message divin :

Sous l’influence du courant majoritaire de l’Anglicanisme qu’est le latitudinarisme, le projet anglican est donc précisément de rendre le sermon stylistiquement ordinaire.

Ce rejet de l’originalité est également à replacer dans le contexte général de l’idéologie et de l’esthétique néo‑classique. Le néo‑classicisme refuse en effet d’accorder crédit à la subjectivité et à l’inspiration comme fondements de l’autorité, car elle attribue à une telle attitude les débordements et excès qui ont marqué le dix-septième siècle. Elle affirme au contraire la nécessité de s’appuyer sur des sources extérieures et établies de l’autorité : il s’agit en somme de faire confiance non pas à sa « lanterne » intérieure, selon l’expression du Hack dans A Tale, à ses propres lumières, mais aux lumières de l’institution. En outre, l’homilétique du dix-huitième siècle en général et celle de Swift en particulier s’inscrivent dans le cadre plus large d’une esthétique caractérisée par la mesure. Ce topos de la simplicité est courant chez les sermonnaires de l’époque ; plus que d’une esthétique, il s’agit véritablement d’une idéologie de l’équilibre, de la « modération », comme on l’a vu précédemment, et dont l’harmonie stylistique n’est qu’une manifestation. En effet, l’harmonie sociale n’est autre que l’accomplissement de l’intention divine, perspective qui permet aussi de mesurer toute la portée de la suggestion en 1670 par Samuel Parker de l’instauration d’une loi contre la présence dans les sermons de métaphores excessives (fulsome), génératrices selon lui de désordre et d’agitation, distemper (in Ford, 1991, p. 5), suggestion qui dépasse de loin le simple cadre de la rhétorique et de l’homilétique. À cela s’ajoutent des considérations philosophiques et théologiques, tel le désir de se rapprocher de la prose philosophique en lui empruntant ses meilleurs éléments, c’est‑à‑dire « a Language perfectly free from all manner of ambiguity » 300 . L’intelligibilité étant l’un des buts avoués de l’art néo-classique, le sermon doit être compréhensible par tous, « even to the crudest of men » (PW IX, 65), car l’éloquence de la chaire est un art populaire, au meilleur sens du terme :

Le passage du dix-septième au dix-huitième siècles correspond non à un abandon de toute rhétorique, mais à un changement de paradigme rhétorique, passage d’une conception à une autre recouvrant deux définitions différentes, qui parfois se rejoignent et se mêlent chez un même orateur mais sont cependant d’origine distincte.

La définition d’origine stoïcienne fait de la rhétorique l’art de bien dire, mettant ainsi l’accent sur le discours lui-même et donc sur les techniques d’expression et autres figures de style. Mais au-delà du discours, c’est la morale elle-même qui est en jeu en la personne de l’orateur : bien parler implique la parfaite maîtrise des règles de l’expression, mais aussi de celles de la pensée, car on ne saurait bien dire ce que l’on n’a d’abord correctement pensé. Or, selon les stoïciens, seul un homme de bien est à même de bien penser. C’est là tout le sens de la célèbre formule de Caton (234-149 avant J.-C.) reprise par Cicéron : l’orateur est vir bonus, dicendi peritus, homme de bien, habile à parler. Dans cette perspective, la rhétorique est indissociable de la sagesse et donc de la philosophie. Il n’en reste pas moins que l’attention portée au discours lui-même dans une rhétorique envisagée en ces termes-là fait peser sur elle le danger d’un souci excessif de la langue au détriment de la situation. La définition d’origine sophiste lie quant à elle la rhétorique à la persuasion : pour reprendre l’expression de Gorgias, la rhétorique est ouvrière de persuasion. Quant à Aristote, il la définit ainsi : « La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut être propre à persuader » (Rhétorique, I, 2, 1355b, p. 12). L’accent est donc mis non plus tant sur le discours que sur le lien entre ce discours et l’auditoire.

Les prédicateurs anglais du dix-huitième siècle sont tout à fait conscients de cette double définition, qui distinguent explicitement les deux formes de rhétorique ; ainsi Sterne affirme‑t‑il dans l’un de ses sermons :

Ce que Hugh Blair exprime également sous une forme légèrement différente :

L’importance des artes praedicandi est toujours aussi grande au dix-huitième siècle – « It was by preaching, not writing, that our blessed saviour propagated his doctrines […]. It was the gift of the tongues, not the pen, which was miraculously bestowed on the apostles » 303  –, mais selon des critères différents de ceuxde l’époque précédente. Si Robert South et Isaac Barrow sont les deux principaux acteurs du retour à la simplicitas evangelica après la rhétorique baroque qui caractérise l’homilétique de Donne, Andrewes et Taylor, c’est à l’évêque John Wilkins que l’on doit la théorisation la plus importante de la rhétorique homilétique au dix-huitième siècle, théorisation formulée dans An Essay towards a Real Character and a Philosophical Language (1668) et son traité Ecclesiastes, or a Discourse concerning the Gift of Preaching as it falls under the Rules of Art (1646) et que résume sa célèbre formule : « the principal Scope of a Divine Orator is to teach clearly, convince strongly, and persuade powerfully » 304 . Il faut souligner que le prédicateur le plus célèbre de l’époque, Tillotson – « He was not only the best Preacher of the age, but seemed to have brought preaching to Perfection; His sermons were so well heard and liked, and so much read, that all the Nation proposed him as a Pattern, and studied to copy after him » 305 –, qui avait avec Wilkins des relations aussi bien familiales que professionnelles, travailla de concert avec ce dernier à l’élaboration de ce traité qui, mutatis mutandis, exerça une influence sur le style de ses prédications dans le sens d’une simplicité croissante : « Tillotson was in fact doing for pulpit oratory what Dryden was doing for prose in general; pruning, selecting, refining, creating an architectonic design, imbuing it with clarity and directness. In a word, he was evolving a more efficient vehicle of communication » (Downey, 1969, p. 10). Si l’affectation et l’ostentation sont à éviter – « STUDY more Clearness, than Quaintness of Expression, and strive rather to be Understood, than Admir’d by the unthinking Multitude » 306 –, la platitude et la familiarité (meanness and rusticity) sont tout aussi condamnables : « THOUGH your Style should be plain, yet it ought not to be flat and dull, like two Country People talking one to the other » 307 . Le sermon doit certes être intelligible de tous, comme on l’a souligné, mais dans certaines limites : « If peoples palates are so deprav’d that they like nothing but chalk, and lime, and mushrooms, we must do them all the good we can, but not be concern’d to please them in their own way. God must be pleased, not men » (Glanvill, 1678, p. 57). Il s’agit simplement pour le prédicateur de ne pas mettre sa culture en avant : « He was never ambitious of being thought a great Scholar: His Learning was for Use, not for Ostentation » 308 .

C’est bien du rejet d’une rhétorique ornementale au profit d’une vision purement instrumentale de la rhétorique qu’il s’agit, et non d’un abandon complet de toute rhétorique. La plainness chère aux prédicateurs anglais du dix-huitième siècle n’est pas synonyme d’absence de style, mais le style ne vaut qu’asservi à la fonction didactique et suasive de la prédication, et à cet égard le Common Prayer Book est selon Swift un modèle, « a Kind of Standard for Language » (PW IV, 15). Les prédicateurs contemporains de Swift reprennent ainsi implicitement la distinction antique entre les trois styles : si l’éloquence chrétienne du siècle précédent se rattache au style élevé ou sublime, celle du dix-huitième s’inscrit dans la filiation du style moyen ou « médiocre », en tant que style bas et vulgaire. Cette distinction, qui remonte sans doute à Antisthène ou Théophraste, n’est formulée clairement qu’au premier siècle avant Jésus-Christ, vraisemblablement pour la première fois dans la Rhétorique à Herennius :

C’est bien dans cette lignée du style moyen que s’inscrit Swift lorsqu’à la séduction d’une rhétorique ornementale il oppose la rigoureuse austérité d’un style défini, assez tautologiquement, il faut en convenir, comme « Proper Words in proper Places » (PW IX, 65). Il est frappant de constater à quel point la définition swiftienne du style se rapproche de celle de Saint Augustin : si Swift rejette la dimension ornementale de la rhétorique, il condamne également un style négligé (« careless, incorrect and improper », Corres. IV, 274), condamnation qu’il réitère dans ce court traité d’homilétique qu’est la Letter to a Clergyman : « It would be endless to run over the several Defects of Style among us: I shall therefore say nothing of the mean and the paultry (which are usually attended by the fustian), much less of the slovenly or indecent » (PW IX, 68). De la nécessité d’une rhétorique qui ne soit pas vain ornement, tous les prédicateurs de l’époque conviennent, ainsi, plus tard dans le siècle, le très influent Hugh Blair, professeur de rhétorique et prédicateur fameux :

L’art est défini non comme ostentation mais, selon le précepte horacien, comme dissimulation de ses artifices constitutifs : « It is allowed, I think, that the Perfection of Art in general, lies in concealing Art, and making the whole appear the pure Expression, as well as Effort of Nature » 311 . Malgré qu’elle en ait, la prédication ne saurait se passer de la rhétorique. Fraser Mitchell résume ainsi les liens qu’entretient l’homilétique anglaise avec la tradition rhétorique :

La Parole divine peut certes se dispenser de tout artifice, mais non les hommes, dont l’entendement limité rend nécessaire le recours à des moyens de communication qui soient à leur portée.

Notes
292.

Maury, Essai sur l’éloquence de la chaire (1777), in Lessenich, 1972, p. 33.

293.

Disons ici quelques mots des autres règles définies par Glanvill : un sermon se doit également d’être « practical » puisque « The main business of Religion is a good and holy life; and our main design should be to promote that » (ibid., p. 28) ; il faut en outre être méthodique : « Method is necessary both for the understandings, and memories of the hearers » (ibid., p. 38). L’« affection » est quant à elle nécessaire en raison de l’importance du message à transmettre : « The work is the greatest, and the concernment of it, to our selves, and to our hearers, infinite; so that it requires the flower and the vigour of our affections, and endeavours; and for us to be cold, and heartless, in declaring things of so vast a moment, suggests that we believe not what we say: and it cannot be expected, that others should be much mov’d by the preaching, when the Preacher himself seems unconcern’d » (ibid., p. 54).

295.

La correspondance de Swift révèle cette parenté de manière plus directe encore, puisque Locke s’y trouve cité dans une lettre adressée par Swift à Thomas Sheridan : « I begin with the lady; and because the judicious Mr. Locke says it is necessary to settle terms before we write on any subject, I describe a certain female of your acquaintance, whose name shall be Dorothy », in The Complete Works of Jonathan Swift, London, ed. by F. Ezlerington Ball, 1913, vol. V, The Correspondence of Jonathan Swift, p. 241. Cela étant, il est plus que probable que la référence ait été ironique, en raison de l’ambivalence des sentiments que Swift entretient à l’égard de Locke : si Locke est certes l’un des théoriciens du compromis de 1688, il est aussi l’un des inspirateurs d’Anthony Collins en tant qu’auteur des Letters on Toleration (1689-1692) et du traité intitulé The Reasonableness of Christianity (1695), aux effets potentiellement néfastes pour l’orthodoxie anglicane.

296.

Pour une étude détaillée de ces grammaires, voir Jean Rousse, Description et analyse de la langue dans les grammaires anglaises de 1750 à 1800, Thèse de Doctorat d’État, Université de Paris VII, 1975, et surtout, Linda C. Mitchell, Grammar Wars: Language as Culture Battlefield in Seventeenth and Eighteenth‑Century England, Aldershot, Ashgate, 2001.

297.

Voir ainsi la référence dans la correspondence swiftienne citée ci‑dessus ; voir aussi Lawrence Sterne, The Life and Opinions of Tristram Shandy, Gentleman (1760), ed. by Melvyn New, Gainesville, UP of Florida 1978, Tome I, vol. III, ch. xxxi, pp. 256-257 et Tome II, vol. VI, ch. xxxvii, pp. 564-565.

300.
Robert Hooke, A Description of Helioscopes, and Some Other Instruments (1676), in Lessenich, 1972, p. 31.
303.

Thomas Sheridan, British Education, London, 1756, p. 66.

304.

John Wilkins, Ecclesiastes, or a Discourse concerning the Gift of Preaching as it falls under the Rules of Art, London, 1704, p. 2.

305.

Burnet, History of His Own Time, London, 1724, II, p. 135.

306.

Barecroft, Ars Concionandi (1715), in Lessenich, 1972, p. 30.

307.

Ibid., p. 36.

308.

John Burton’s Biography of John Rogers, Chaplain in Ordinary to George II (1735), in Lessenich, 1972, p. 27.

311.

James Fordyce, An Essay on the Action Proper for the Pulpit, London, 1755 [1752], pp. 178‑179.