Remerciements

L’idée de ce projet de thèse sur la libéralisation économique et sur les limites d’un système d’économie à base de rente n’a pas cessé de nous tarauder depuis de nombreuses années. Nous devons à Monsieur le Professeur Mohammed Yacine Ferfera, qui s’est prêté à toutes nos sollicitations, de nous être jeté à l’eau pour le concrétiser. Sa formulation définitive a été un long processus semé d’embûches théoriques et de difficultés pratiques. Nous devons à l’attention bienveillante de Monsieur le Professeur Gérard Klotz de pouvoir présenter aujourd’hui les résultats de nos réflexions sur la question. Nous les prions tous les deux de trouver ici l’expression de notre profonde gratitude.

Nous tenons à dire combien nous sommes redevable à notre ami et collègue, Abdelmalek Boussaïd, d’avoir assumé sans complaisance le rôle de contradicteur que nous lui avons assigné. De nombreux passages lui doivent d’avoir été reformulés pour une plus grande clarté de l’exposé des résultats de nos investigations. L’aboutissement de ce travail est la meilleure preuve de notre reconnaissance envers lui.

Lahsen Abdelmalki a payé de sa personne pour nous rendre agréables les nombreux séjours que nous avons effectués à Lyon dans le cadre de cette recherche. Nous lui savons gré de sa disponibilité.

Madame Bernard-Barret s’est employée à aplanir toutes les difficultés matérielles qui pouvaient perturber notre sérénité au cours de ces séjours. Nous la remercions vivement pour sa sollicitude.

Nous voudrions remercier également pour leur compréhension Monsieur le Directeur Général de l’INPS et Monsieur le Directeur des Etudes pour nous avoir libéré de nos charges d’enseignement au cours des deux dernières années de façon à nous consacrer entièrement à la finalisation de ce travail.

Nos remerciements vont enfin à tous ceux qui ont manifesté de l’intérêt pour ce travail ou de la sympathie pour son auteur ; ce en quoi nous avons puisé des motifs d’encouragement et de réconfort.