D'emblée, le groupe des élites du Second Empire et des débuts de la République ne déroge pas au portrait de groupe dressé plus haut. Aucun des maires nommés entre 1853 et 1876 n'est noble ; aucun de ces individus n'appartient à ceux que l'on classe dans la très grande bourgeoisie, disposant de revenus très semblables à ceux de la noblesse, parfois même supérieurs, membres des conseils d'administration des grandes entreprises industrielles françaises, appartenant à la Haute Banque et la Haute Finance : cette élite supérieure n'est absolument pas présente dans cette partie de la banlieue parisienne, soit qu'elle ne fût pas suffisamment éloignée de Paris pour permettre l'achat d'un petit manoir ou château – l'un des rares châteaux princiers existant sur le territoire, celui de Vanves, ayant appartenu à la famille des Condé, est devenu dès le Premier Empire un lycée, d'abord annexe champêtre du Lycée Louis-le-Grand, puis Lycée du Prince Impérial sous le Second Empire -, soit que son industrialisation déjà importante et son urbanisation en forte croissance ne permette pas la création de lieux de villégiature ; l'absence de paysages bucoliques ou d'attraits particuliers peut aussi expliquer le désintérêt de la haute bourgeoisie pour cette partie de la banlieue pour, alors qu'à la même époque, Gustave Caillebotte lançait la mode des villas en bord de Seine à Gennevilliers pour permettre la pratique de la régate, ou que les communes du Vésinet et surtout de Maisons-Laffitte connaissent un essor considérable.
Le second trait étonnant réside dans la faible représentation de la bourgeoisie oisive, celle des propriétaires et rentiers. Seuls 3 individus se désignent par le statut de propriétaire, mais il a parfois été possible de retrouver le métier exercé avant leur accession à la première magistrature communale. Leur statut de bourgeois oisif est relativement récent, puisque leurs pères sont connus par leur profession : Charles Dépinoy, 499 très probablement marchand de vin, est fils d'un négociant de Lille ; Jean-Baptiste Dupont est fils et petit-fils de charpentiers, frère d'un entrepreneur en charpentes, lui-même entrepreneur en charpente au décès prématuré de sa première épouse en 1865 500 ; enfin, le père de Philippe Leviaux était Lieutenant dans la Grande Armée 501 . De fait, ces rentiers, forme par excellence de la notabilité traditionnelle, n'appartiennent pas à des familles anciennement installées dans ce statut : leur oisiveté, visible au travers des divers actes d'état civil où ils revendiquent un état, est partagée entre la tradition et la nouveauté de ce statut familial. Il est donc pertinent de s'interroger sur le rôle de l'ascension sociale au sein de ces édiles, y compris chez ceux qui représentent, par leur portrait social, l'archétype de ces notables traditionnels, ce qui peut aller à l'encontre d'un portrait galvaudé du maire d'avant l'ère démocratique.
Les maires de ces communes proches de Paris sont en majorité des actifs. Peu de bourgeois oisifs dans ce groupe, même si le tableau est biaisé par la recherche systématique de la profession, quelque soit le statut déclaré par les individus. De fait, avant ce correctif, les maires propriétaires, vivant des rentes accumulées durant leur vie active, mais ayant soit vendu leur affaire, soit organisé leur succession, sont les plus nombreux parmi les individus de cette première période. Cette surreprésentation des notables traditionnels parmi les maires nommés semble en partie confirmée à l'étude des types de professions exercées par les maires actifs.
Cette affirmation n'est valable qu'en partie. A côté de notabilités traditionnellement appelées au pouvoir mayorale (un notaire, des entrepreneurs locaux ayant fait fortune dans des affaires liées aux métiers traditionnels de la région), on voit déjà apparaître de nouvelles formes de notabilités. L'uniformité n'est pas de mise, et c'est bien plus la diversité qui caractérise cet échantillon.
Parmi les nouveaux métiers exercés par les maires, ce sont les domaines d'activité des négociants et industriels qui témoignent le plus de cette évolution. Si numériquement il y a autant de maires entrepreneurs dans la dernière décennie de l'Empire que dans la première de la République, le pouvoir semble privilégier durant la première période les hommes aux métiers traditionnels, enrichis dans des domaines proches de l'artisanat, alors que la période républicaine voit s'imposer des nouveaux venus, entrepreneurs dans des activités industrielles en évolution, liées à la chimie et à l'essor de la médecine moderne.
Parmi les entrepreneurs traditionnels, faisant évoluer son métier du petit patronat artisanal pour atteindre une entreprise de taille plus importante, Barthélemy Noël Perier semble révélateur. Maire de Montrouge de 1859 à 1871, il déclare la profession d'ouvrier charron carrossier lors de son mariage avec une couturière en mai 1836, puis très vite devient marchand de bois et exploitant de carrières. Les époux établissent certes un contrat de mariage devant le notaire d'Arcueil, mais ce dernier révèle des niveaux encore peu élevés de fortune 502 , et ne fait aucune référence ni à un fonds de commerce, ni à des terres entrées dans la communauté. B. Périer est toujours charron carrossier à la naissance de ses fils, entre 1836 et 1845 503 . En 1850, à la naissance de son unique fille, il est marchand de bois, profession qui apparaît dans la liste du dernier conseil municipal de Montrouge avant l'annexion, en 1858. Barthélemy Périer est alors 1er adjoint 504 . Quatorze ans plus tard, il marie son fils Henry : il est alors exploitant de carrières 505 . D'après l'enregistrement de la succession et surtout l'inventaire après décès, détaillant les dates d'achat de terres constituant la base de son exploitation de carrières, il acquiert différentes parcelles afin de pouvoir en exploiter le sous-sol à partir de 1859. Jusqu'en 1865, cette exploitation de carrière se fait en commun avec un associé, du nom de Letellier. Ils achètent et exploitent ensemble la carrière de la Plaine, constituée des terrains situés pour partie à proximité de Montrouge, sur les communes de Bagneux, Châtillon et Gentilly, ainsi qu'une seconde série de terrains situés dans l'Oise, à l'est de Creil, à proximité de la ligne de chemin de fer reliant la Gare du Nord et Beauvais. A la liquidation de la société commune, Letellier et Périer se partagent les carrières : le premier conserve la carrière dite de Saint-Maximin, près de Creil, et Barthélemy Périer conserve les autres carrières, celles de la Plaine ainsi que celle de Saint-Vaast-les-Mello dans l'Oise 506 . Toutefois, la famille reste présente sur le territoire de Saint-Maximin, puisque le fils aîné épouse la fille d'un exploitant de carrières de l'Oise, maire de Saint-Leu d'Esserent, toujours près de Creil, qui apporte en dot la carrière Dona Maria située à Saint-Maximin, ainsi que tout le matériel se rapportant à son exploitation 507 . A partir de 1867, Barthélemy Périer entreprend l'achat de nouvelles terres, avec un autre associé, en vue d'exploiter la carrière de Rousseloy, toujours près de Creil, et, seul cette fois, les carrières de Bury-Saint-Claude dans le même canton de Creil, ainsi qu'une autre, plus éloignée, à Violaine, commune située près de Longpont dans l'Aisne, distante d'une dizaine de kilomètres de Soissons et elle aussi à proximité de la ligne reliant Soisson et Paris. Les achats de terres continuent pour étendre les carrières, jusqu'en 1869 à Saint-Vaast, jusqu'en 1870 à Rousseloy et jusqu'en 1872 pour les carrières de la Plaine. L'estimation de la valeur de ces carrières, tant pour les terres que pour les droits d'exploitation s'y afférant, ainsi que celle du matériel nécessaire à leur exploitation, s'élève à un peu plus de 62 000 francs au décès de Barthélemy Périer en 1874, et compose près de 55% du total de l'actif mobilier et immobilier du défunt. Ce parcours témoigne d'une ascension sociale importante. Il montre aussi la concomitance entre le moment où les individus quittent le domaine de l'artisanat pour entrer dans celui des entrepreneurs, et l'installation à la tête de la commune : hasard ou non, c'est en 1859, date de ses premières acquisition, que Barthélemy Périer devient Maire de la commune de Montrouge aux contours transformés, et il sera nommé à ce poste jusqu'en 1871.
Jean-Baptiste Dupont connaît, avec des nuances de fortune non négligeables, un parcours semblable. La première différence vient de l'installation plus ancienne dans la notabilité traditionnelle de la famille de ce maire, fils de conseiller municipal, il est entrepreneur de travaux publics au décès de sa première épouse en 1865 508 . Il apparaît avec la mention de "propriétaire" sur la liste électorale de 1871. Devenu entre temps maire de Vanves, il est aussi retourné dans la commune de son père après son second mariage, qui a eu lieu en 1866. Il ne sera plus alors fait mention de son activité professionnelle ; l'inventaire après le décès de sa première épouse fait apparaître non seulement un terrain servant d'atelier, mais aussi toute une série de matériels et pièces servant à la construction de bâtiments. Pourtant, lors de son propre décès en 1895, toute trace de ce passé entrepreneurial aura disparu, pour laisser place à diverses créances et une fortune investie en valeurs boursières 509 .
A l'inverse, la période républicaine voit poindre de nouvelles professions parmi les candidats à la fonction mayorale. Deux d'entre eux sont à la tête de fabriques industrielles , Pierre Leplanquais, fabricant d'instruments de chirurgie 510 , et Louis Rolland, fabricant de produits chimiques, cristaux de soude et potasse 511 , installé à Montrouge dès 1865 et dont l'entreprise perdure, sous la direction de son fils, au moins jusqu'en 1901 512 .
A côté de ces entrepreneurs qui sont surreprésentés par rapport aux autres périodes (62 % des entrepreneurs sont maires entre 1860 et 1871 513 ), les autres maires appartiennent à la fonction publique et aux professions intellectuelles. On retrouve ici sans surprise l'importance de la "notabilité de robe", même si elle se diversifie dans les années 1870. François Huillier, notaire parisien 514 , dispose à Bagneux d'une maison de villégiature, commune dont il est nommé maire de 1865 à 1869. En mai 1870, son petit-fils naît à Bagneux 515 , et en 1892 encore, une décision de voirie fait apparaître sa famille au cours d'une délibération 516 . Pourtant, aucune trace de la présence de ce notaire n'est retrouvée dans les listes électorales à partir de 1871 517 . Ce notaire, fortuné, héritier d'une famille de notables de l'Allier, épouse la fille d'un notaire parisien 518 , marie son fils dans la bourgeoisie anoblie sous la Restauration 519 , tandis que sa première fille épouse un sous-préfet et la seconde un notaire parisien 520 : c'est l'une des personnalités aux liens sociaux les plus élevés de l'échantillon 521 . Claude Micard, pharmacien à Vanves, est maire de sa commune à la même période. Il est issu d'une famille de Saône-et-Loire, riches négociants et constructeurs des quais de Châlons-sur-Saône, dont l'un des ancêtre a très certainement été le premier maire d'Allerey en 1789 522 . Cette filiation lointaine ne fait pas de lui l'un des notables les plus fortunés de la commune, puisqu'il est simplement crédité d'un revenu de 4000 francs en 1865 523 . La bourgeoisie de robe, titulaire d'offices notariaux ou exerçant des professions organisées en ordre, est donc bien représentée dans cette dernière décennie de l'Empire ; sa présence ne sera jamais totalement démentie par la suite.
Les professions de la fonction publique oscillent entre la bourgeoisie d'Etat et les "nouvelles couches". Parmi les premières, Jean-Baptiste Jullien, Proviseur du Lycée de Vanves, ancien recteur démis de ses fonctions en 1850 524 , est issu d'un milieu relativement modeste puisqu'il devient maître d'étude avant d'obtenir son baccalauréat et passe sa Licence de Lettres tout en enseignant au Collège Royal de Tournon, en Ardèche, puis à celui d'Avignon 525 . Les "nouvelles couches" sont surtout représentées par des fonctionnaires d'administration centrale, classes moyennes ayant acquis une relative aisance par ce statut. C'est le cas pour Jean-François Raveret, commis principal au Ministère de la Guerre 526 .
L'ensemble des professions exercées par ces édiles locales actives souligne, durant cette période, l'importance de certains secteurs dans la définition des notables locaux. Le poids des notables traditionnels semble aller dans le sens d'une édilité réservée aux individus ayant acquis une position sociale appréciée par le pouvoir politique et traditionnellement reconnue comme faisant de "bons maires". Tel pourrait être le cas de François Huillier, notaire parisien. Né à Souvigny dans l'Allier, il est le fils d'un notable local, premier adjoint au maire de Souvigny en 1803. Devenu avocat à Paris, il achète une charge de notaire grâce à son mariage dans ce milieu. A son décès en 1873, la succession s'élève en valeurs mobilières à près de 400 000 francs, auxquels il faut ajouter différentes propriétés, trois immeubles à Paris et le Château des Marronniers à Bagneux 527 . A ses côtés, on peut classer Jean-Baptiste Dupont, ancien entrepreneur de travaux publics, héritier d'une famille de conseillers municipaux et de maires, et dont le montant des avoirs lors de la succession enregistrée en 1896 s'élève à plus de 1,3 millions de francs 528 .
Dans un autre registre de fortune, - près de 10 fois moindre - on peut classer les deux entrepreneurs traditionnels, Louis Surivet, marchand plâtrier 529 , et surtout Barthélemy Périer, qui, par le montant de sa succession, évalué à 114 000 francs, peut se classer dans une bourgeoisie de bonne aisance. On peut ajouter à ce groupe le Proviseur retraité, Jean Baptiste Jullien, qui a acquis une double reconnaissance, locale de part ses fonctions, et administrative de part son parcours exemplaire dans la fonction publique 530 .
Si ces professions classent indéniablement les édiles nommés pendant cette période au sein d'une bourgeoisie, de petite ou moyenne aisance le plus souvent, ayant parfois accès à un niveau élevé dans la hiérarchie sociale, et faisant clairement partie des "notables locaux" au regard du profil sociologique de ces communes, il est intéressant de voir qu'aucun de ces maires ne semblent appartenir directement aux propriétaires ruraux, riches horticulteurs de la région, ni même au monde de la blanchisserie dont on a vu l'importance pour le développement économique d'une commune telle que Vanves. Certes, on retrouve au sein des différents conseils municipaux le nom de ces notabilités locales, ancrées dans cette terre de banlieue depuis plusieurs générations. Mais le choix du maire semble se faire à l'extérieur de cette petite bourgeoisie artisanale et paysanne locale, pour préférer des individus extérieurs, première génération de migrants provinciaux venus s'installer soit à Paris, soit directement en banlieue parisienne.
Didot Bottin, 1865. Dépinoy, vins en gros, 7 rue Corneille.
Cote minutier central liquidation Dupont 1866.
LH, 1627062, dossier Ph. Leviaux.
AD Hauts-de-Seine, 3E/MON_113. Minutes de l'étude de M° Dargère, notaire à Arcueil, 4 mai 1836.
AD Hauts-de-Seine, actes d'état civils de Montrouge, série 4E, microfilmée.
AD Hauts-de-Seine, délibérations du conseil municipal de Montrouge, microfilmées.
AD Oise, contrat de mariage Périer-Borde, 11 août 1864. Minutes de l'étude de M° Budin, notaire à Précy-sur-Oise, en cours de classement.
AN, Minutier central, Etude LXXVI/967, inventaire après décès Périer, passé devant M° Frémyn, notaire à Paris.
AD Oise, contrat de mariage Périer-Borde, déjà cité.
AN, Minutier central étude CIII/962, liquidation Dupont, 9 mars 1866.
AD Hauts-de-Seine. 3Q SCE_MD 135, succession de Jean-Baptiste Edouard Dupont, 25 janvier 1896.
Il n'y a pas de trace dans le bottin du commerce d'une fabrique d'instruments de chirurgie avant la fin du siècle. Cette dernière est alors dirigée par J. Grégory.
Bottin du Commerce, Montrouge. Archives de Paris, Per 192, 2mi3/42.
AD Paris, Bottin du commerce, 1901, fabrique de produits chimique reprise en 1891 par Victor Rolland, notable commerçant. Par contre, l'entreprise n'est pas signalée en 1906 dans l'Etat des communes, Montrouge.
Cf. tableau complet en annexe.
Il est titulaire de l'étude VI de 1831 à 1863. AN, Minutier central, instruments de recherche. AN, BB10 1525, 1863, cession d'études notariales de la Seine.
Seule trace de ce domicile, la naissance du petit-fils de François Huillier au 2, rue des Marçais à Bagneux en mai 1870. AD Hauts-de-Seine, actes d'état civil, naissances, Bagneux.
AM Bagneux, délibérations ; le procès verbal indique M. Huillier, il s'agit vraisemblablement de son fils, Paul Huillier, qui lui a succédé comme notaire à Paris. Au décès de l'ancien maire, la maison a été donnée en nue propriété à sa veuve. AD Paris, DQ7 12349, succession Huillier, août 1873.
Les listes électorales ne sont conservées qu'à partir de cette date aux Archives départementales.
AD de Paris, reconstitution de l'état civil. Acte de mariage entre François Huillier et Anne Desprez, 16 janvier 1833, mairie du 11e arrondissement ancien.
Hippolyte Lejeune, dont le grand-père, Pierre Lejeune, a acheté le château de Bellecour à Pithiviers dans le Loiret, et dont le père, Hippolyte Lejeune, ancien député, obtient le droit d'ajouter à son nom "de Bellecour" sous la Restauration.
AD Paris, DQ7 12349, succession Huillier. A la génération suivante, tous les membres de cette famille seront inscrits au Bottin Mondain. (renvoi à arbre généalogique)
LH 1323056, François Huillier, chevalier en août 1864 ; LH 1323059, Paul Augustin Huillier, notaire, chevalier en janv. 1871, officier en août 1894 ; Bottin Mondain, 1908, 1912, 1913, 1935 (adresses parisiennes et alliances).
AM d'Allerey, acte de naissance de Claude Micard, né le 25 floréal an IV (15 mai 1796). Le lien avec les Machureau (nom de la grand-mère paternelle de Claude Micard) m'a été signalé par le maire d'Allerey.
AM Vanves, proposition pour le conseil municipal de Vanves, 1865.
AN, F17 21019; dossier de fonctionnaire de Jullien, Jean-Baptiste.
Idem. Lors des différentes notations annuelles contenues dans son dossier, le recteur signale qu'en dehors de son traitement de 10 000 francs par an, il ne dispose pas d'autres revenus.
LH 02272/27, Jean François Raveret, 1875.
AD Paris, DQ7 12349, succession Huillier, août 1873.
AD Hauts-de-Seine, 3Q SCE_MD 135, succession Dupont, 25 janvier 1896.
Il est impossible de consulter la succession de Louis Surivet, (registre incommunicable aux Archives des Hauts-de-Seine) et de ce fait, impossible de connaître la date de l'inventaire après décès.
LH 1389/48, promotion au grade de Commandeur de la LH en 1864. dossier quasi vide.