Jeanne-Marie Etcheverry abandonne à son fils la jouissance de la moitié des biens de son mari "pour et moyennant 24 décalitres de mays ou millocq et 16 décalitres de froment [...] chaque année pendant sa vie [...] Il sera permis à la même Etcheverry de prendre dans le jardin de son fils toutes les légumes qu'elle aura besoin, de mettre son pot à son feu, de boire de son cidre, de se servir de tous les ustensiles de cuisine, d'exploiter la chambre qu'elle occupe présentement avec son lit, de tenir un cochon à la porte et six poules." Arch. dép. Pyrénées Atlantiques III-E 8874 : contrat de mariage du 24 juillet 1815.