L'essentiel de ses investissements est tourné vers la terre. Il laisse à son décès un cheptel agrandi de deux vaches, un veau et trente brebis (500 francs), ainsi qu'une belle charrette (200 francs) et des économies placées en créances (2 050 francs). Mais la moitié de sa succession, d'une valeur de 20 000 francs, est constituée par les 20 hectares acquis de 1821 à 1856588.

Notes
588.

Arch. dép. Pyrénées Atlantiques 269-Q-1 à 46 : mutation par décès du 1er mai 1857.