Université Lumière Lyon2
Institut de la Communication
Ecole doctorale ECLIPs (Education, Cognition, Langage, Interactions, Psychologie)
Doctorat en Sciences de l'Information et de la Communication
LA PRESSE SATIRIQUE EN AFRIQUE :
Un discours politique et une médiation culturelle pour la construction d’une identité
Décembre 2004
Sous la direction de Bernard LAMIZET

A vous, soutiens de mes rêves, de mes caprices…

A mon père et mes deux mamans…Que les valeurs que vous m’avez inculquées, trouvent un écho de lumière dans ces lignes… A mes frères et sœurs… Par-delà les terres et les mers, dans mon cœur. le souffle de vos voix accompagne chacun de mes pas.

A ma Guinée, patrie saignée…

A toute ma famille, éparpillée, de Conakry à Lyon, en passant par Lille : Koto Sadio, Tonton Siradiou, Tantie Taïbou, Tante Jouve et Bappa Saliou… Vos regards d’amour et vos mots de soutien, votre présence, ont contribué à me rendre plus sûr ce chemin …Que ces mots tracés dans mes ultimes moments de force soient le lit de reconnaissance que je vous offre…

Enfin, à Marie Perrin, une thèse portée… Du doute et de l’assurance croisés… Dans les douleurs de la grossesse et des contractions, l’accouchement, fondu dans le creux de ma fierté de guinéen…Des frais de mes caprices, tu en as fait… A cette naissance, je t’associe…

Merci pour tout et à tous !

« Nul autre continent n’a été plus divisé, réduit, oblitéré, exploité, ignoré et abandonné que le continent africain, par l’économie mondiale, la politique internationale, la recherche scientifique, les médias, l’enseignement occidental ».
Simon Battestini

« Entre le sentimentalisme des tiers-mondistes, l’arrogance ou l’ignorance de la majorité silencieuse et l’afro centrisme béat des jeunes intellectuels tout contents d’annoncer que les pharaons avaient la peau noire, on n’a que l’embarras du choix. Alors que l’on sait tout de la civilisation chinoise ou maya, les seules études concernant la culture africaine sont anthropologiques. On a volé les langues, la religion, les frontières, la mémoire des Africains en toute impunité ».
Van Dis

Remerciements

Je voudrais, tout d’abord, remercier l’ensemble des journalistes des rédactions pour leur disponibilité, leur écoute et leur professionalisme.

Merci à B. Lamizet : sa réactivité, son écoute et son sens de la pédagogie furent les clefs majeures pour mieux avancer dans ma réflexion.

Une thèse a pour point de départ une première confrontation à la recherche qui se fait en année de maîtrise : D. Bourgain fut la main qui me guida dans ce sentier. Qu’elle reçoive ici ma sincère reconnaissance, à laquelle j’associe C. Jamet, pour ses encouragements.

Ma gratitude va aussi Jean-François Tétu et à l’ensemble de l’équipe « Médias et Identités », en pensant en particulier à F. Rebillard, S. Olivési, A. Touboul et V. Lépine : des conseils, des remarques, au détour d’un couloir de l’IEP ou de l’Icom, ont été des moments forts qui ont contribué à asseoir ma confiance en mes travaux.

Ma reconnaissance à D. Allaix : une Tata Franco-Française pour un Négro-Guinéen, qui l’eût cru ?

Enfin, à tous les amis, croisés au gré des projets, de la Guinée à la France : mes pensées vont à mes deux-tiers, M. M’Béchézi, à H. Adane (que l’informaticien du lot soit remercié pour son accompagnement technique), à tous les étudiants guinéens (une pensée particulière pour mon cousin Tidiane et mon neveu Alhadji Mahmoudou) et à l’ensemble des membres de l’AECAL et de la Compagnie Grain de Sable. Chaque rencontre, chaque discussion, ces moments souvent empreints de subjectivité furent des fenêtres ouvertes sur des avancées plus objectives.

Merci à tous et à chacun.