Université Lumière – Lyon 2
Ecole doctorale : Sciences humaines et sociales
Géographie historique et urbanisation en Birmanie et ses pays voisins, des origines (IIe siècle avant J.-C.) à la fin du XIIIe siècle
Thèse de doctorat (nouveau régime) en Langues, histoire et civilisations des mondes anciens
sous la direction de Jean-François SALLES
soutenue le 7 décembre 2004
devant un jury composé de :
Jean-Pierre PAUTREAU (Président)
Jean-François SALLES
Bruno DAGENS
Marie-Françoise BOUSSAC
Roland MOURIER

Remerciements

Il m’est impossible de dresser une liste exhaustive de toutes les personnes qui m’ont apporté leur aide ou qui ont participé de près ou de loin à ce travail tant elles sont nombreuses. Cette étude, que je porte seule la responsabilité, résulte en fait d’innombrables collaborations européennes et asiatiques.

Je tiens d’abord à remercier mes professeurs, Jean-François Salles et Bruno Dagens pour la confiance qu’ils m’ont chacun accordée depuis plusieurs années et sans laquelle ce travail n’aurait pu voir le jour. Je leur suis infiniment reconnaissante de leur soutien, de leurs conseils, de leurs encouragements et de leur patience à mon égard.

Je remercie également l’École Française d’Extrême Orient et le Ministère des Affaires Étrangères pour leur soutien financier sans lequel je n’aurais pu travailler sur le terrain et mener à bien mes prospections qui constituent le cœur et les fondements de cette recherche. L’École Française d’Extrême Orient m’a alloué deux bourses de voyage au cours de cette étude : une première de quatre mois au printemps 2002, puis une seconde de six mois durant le premier semestre de l’année 2003. Le Ministère des Affaires Étrangères m’a accordé une bourse Lavoisier de douze mois, de l’automne 2003 à l’automne 2004.

J’exprime mes remerciements à Jean Hourcade et Ma Shwe Zin du Service Culturel de l’Ambassade de France, qui m’ont assistée dans mes démarches administratives au cours de mes divers séjours. Je remercie également U Nyunt Han, directeur du Département d’Archéologie de Rangoun, dont le soutien à mon projet de recherche a facilité mes déplacements en Birmanie.

Nombreux sont ceux qui m’ont soutenue de diverses manières dans l’accomplissement de ce travail, qui ont fait preuve d’amitié et de patience à lire et à relire ces chapitres. Qu’ils soient à leur tour chaleureusement remerciés.

Parmi les chercheurs qui m’ont fait don de nombreux conseils et qui ont été longuement à l’écoute, je tiens tout particulièrement à remercier Pierre Pichard pour ses encouragements dès la première heure, Marie-Françoise Boussac, Alexandrine Guérin, Jacques Ivanoff et Bob Hudson.

Remerciements aussi à toutes les personnes qui m’ont guidée à travers le pays, qui m’ont consacré leur temps avec beaucoup d’indulgence et qui m’ont fait partager leur histoire. Parmi ceux qui m’ont été les plus proches en Birmanie et qui m’ont aidée avec tant de dévouement et d’amitié, je tiens particulièrement à témoigner ma gratitude et mon affection à Ma Maybelle, Ma Ni Ni Khet, Ma Kyi Kyi, U More Sun, et U Shwe Maung Tha.

Tous les remerciements du monde ne peuvent être à la hauteur de la générosité que j’ai rencontré dans ce pays, et ce travail de thèse restera avant tout une aventure humaine qui m’a comblée.