Je tiens à exprimer ma très grande reconnaissance et ma gratitude à André Gardies qui a permis que j’obtienne les moyens de mener cette recherche dans les meilleures conditions et n’a jamais cessé de me témoigner sa confiance et son soutien au cours de son élaboration, surtout dans les moments où le doute m’a gagné. Le souci de rigueur que l’on voudra bien trouver dans cette étude vient de l’influence que son travail a pu exercer sur moi.
La reconnaissance et l’amitié me font un devoir d’indiquer la dette particulière que j’ai envers Raphaëlle Moine. Sa chaleureuse mais ferme pression pour me pousser à finir, l’exemple de son travail acharné et sa « foi » dans l’importance de la recherche ont été pour moi les meilleurs des stimulants pour mener au bout cette étude. Je n’oublie pas non plus les coups de pouce…
Pour leur retranscription des textes en italien et en allemand et pour en avoir retrouvé les énigmatiques origines, je tiens à remercier vivement Laurence Schifano et Marie-Charlotte Dumont.
Je tiens à remercier pour leur « trafic » de bandes-vidéo Nicole Brenez, Fergus Daly, Daniel Riche, Yuko Tanaka et Muriel Tinel. Sans les copies de cassettes qu’ils m’ont fait parvenir, cette thèse n’aurait tout simplement pas pu voir le jour.
Cette thèse doit beaucoup aux divers responsables de l’Espace chercheurs et de l’Iconothèque de la BIFI à Paris et à leur fonds d’archives. Ils m’ont permis de compulser, aussi souvent que je le désirais, les documents sur Philippe Garrel qui y sont conservés. Je les en remercie.
Cette thèse doit aussi beaucoup à l’accueil de Sophie Onimus et à son grand appartement. Qu’elle soit remerciée pour sa générosité et sa gentillesse.
Je tiens à saluer l’ensemble de mes collègues du Département des Arts de la Scène, de l’Image et de l’Écran de l’Université Louis Lumière-Lyon II, du Département des Arts du Spectacle de l’Université de Paris X-Nanterre et tous ceux qui font le Conservatoire Européen d’Écriture Audiovisuelle dans lesquels j’ai eu ou ai encore le plaisir et le privilège d’enseigner.
Que tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, m’ont aidé – parfois sans le savoir – dans l’accomplissement de ma tâche reçoivent l’expression de ma considération.
Mes parents, Maryse et Jean Boully, et mon frère, Julien Boully, savent tout ce que je leur dois – pour ce travail comme pour le reste.
Enfin, il n’est pas une ligne de cette étude que Pauline n’ait lue. Cette thèse est pour elle et pour notre petit garçon, Antoine.
« Bref, il n’y a aucune raison d’accepter de vivre aujourd’hui, nous n’acceptons rien. Simplement nous sommes spectateurs et bon public d’une situation. »
Isaac Joseph.