Relations catégorielles

Les représentations catégorielles assignent un rang de positions à une classe d’équivalence (en termes de « connecté à ”, « non connecté à ”, « à gauche de ”, « à droite de ”, « au-dessus de ”, « au-dessous de ”, etc.). Pour de nombreux objets, les parties conservent les mêmes relations spatiales catégorielles. Ainsi, la spécification des relations spatiales catégorielles est un aspect critique d’une représentation robuste de la forme d’un objet (voir Marr, 1982). Par exemple, quelle que soit la position d’un avion dans l’espace, c’est-à-dire lorsqu’il se trouve au sol ou lorsque le pilote lui fait faire des acrobaties, la position des ailes de l’avion par rapport à son fuselage est invariante. Dans de nombreux cas, il est utile de décrire les relations entre les parties dans des termes abstraits, en utilisant des relations plus restrictives que celles qui sont spécifiées par des descriptions topologiques. Ces représentations catégorielles prennent des propriétés générales de la structure spatiale sans tenir compte des propriétés topographiques spécifiques qui sont susceptibles de changer d’exemple en exemple. Ces relations sont catégorielles dans la mesure où elles assignent une configuration à des classes qui ont des frontières assez proches dont les membres partagent seulement des caractéristiques générales. Par exemple, deux objets peuvent se situer à la gauche d’un autre objet même s’ils diffèrent largement dans leurs localisations axiales verticales et horizontales.