Septième interrogation : Singulier enseignement ?

1 Le combat du dialogue au coeur de l’enseignement

Dialogue, prière et combat

La Bible, si elle contribue donc à donner un enseignement aux hommes, ne contribue pas directement à associer la quête de Dieu à un rapport théorisable de façon abstraite et purement spéculative, tout au contraire, et cela dès l’origine de son message : Dieu vivant se rencontre dans le dialogue, dans le don gratuit de la prière et de l’action. Aucune théorie, pas plus qu’aucune image ne peuvent rendre compte de Dieu vivant. Autrement dit : rien de ce que l’homme spécule ou bâtit ne saurait contenir Dieu.

La question principale n’est pas d’abord celle de l’explication rationnelle, de la construction systémique, de la définition de Dieu ou de l’homme. La question primordiale qui conditionne toutes les autres qui en découlent pratiquement, devient celle de l’autre et de l’altérité.

Dieu est Tout Autre avant de se faire tout proche. Il se révèle dans une parole, dans un acte de langage qui met l’homme en route, en marche et qui parle à l’homme et s’adresse à lui, au cours de sa marche.

Notons au passage, qu’au contraire, l’Islam, qui situe Allah plus loin de l’homme, et qui donc refuse de penser que Dieu ait pu s’incarner, va développer, dès l’origine, et dans ses premiers siècles, comme directement lié au développement de la religion musulmane, un mouvement certes contesté et discuté à l’intérieur même de l’Islam, mais néanmoins puissant, qui associe développement religieux et développement scientifique, mouvement initiateur même de bien des sciences contemporaines. 1472

C’est que l’ensemble du texte biblique, dès son origine, nous l’avons dit et redit, et y reviendrons encore, est en rupture avec ce que les Pères de l’église ont appelé la gnose, ou, le gnosticisme, c’est à dire l’idée qu’un savoir abstrait pouvait contenir Dieu, et donc le maîtriser, voire même le dominer.

La Bible se refuse vraiment obstinément, comme sur deux versants, à tout ce qui privilégierait le savoir abstrait de toute recherche humaine sur la rencontre personnelle avec Dieu :

  • Sur le premier versant, la Bible ne permet pas de penser que Dieu puisse se concevoir, en tout état e cause, pour les juifs, et, en dehors de la personne du Christ, 1473 pour les chrétiens. Que Dieu ne puisse se concevoir, certes, l’Islam dans son fondement coranique, le partage ... mais à cet ordre semble également limiter là son injonction. Il nous faut passer sur le second versant pour comprendre ce qui singularise la Bible par rapport à la culture coranique.
  • Sur le second versant, la Bible ne permet pas de penser que l’on puisse se passer, pour rencontrer sa volonté, l’épouser, se convertir, de par le fait de l’incarnation, d’une relation personnelle dialoguée, avec Dieu ... au fil d’une marche quotidienne, dont l’histoire d’Abraham ou d’Israël, l’histoire de l’église naissante relatée dans les actes et les lettres, et jusqu’aux évangiles relatant la vie du Christ et non les théories sur le Christ, sont des figures. Autrement dit, si Dieu ne se conçoit pas abstraitement, il ne cesse cependant de bousculer nos représentations humaines, les visiter, les renverser, les féconder.

Autrement dit, l’essentiel, pour la Bible, et il suffit d’en parcourir les récits, pour s’en convaincre, est dans la vie, non dans la religion qui, dès l’Ancien Testament est suspectée de sacrifier à l’apparence, car l’essentiel est dans le coeur de l’homme qui seul importe, en bout de compte, et que traverse une confiance appelée la foi. La vie appelle la foi, comme la religion appelle la croyance.

La croyance suppose une référence suprême à une valeur, une entité, un savoir, de natures statiques ou figées dans une représentation abstraite, suivant les constructions plus ou moins conscientes ou explicites de la spéculation humaine. La croyance trouve donc référence et appui dans les systèmes théologiques ou philosophiques, des monismes aux dualismes, jusqu’aux plus complexes d’entre eux. En tout les cas la croyance privilégie donc pratiquement par définition l’explicitation théorique et abstraite de ses fondements eux mêmes de l’ordre du discours et de l’abstraction. La foi, pratiquement en opposition à la croyance sur ce point au moins, engage autant qu’elle questionne comme par surprise l’homme au coeur même de ses gestes et de ses pensées.

La croyance peut se parer de science, elle peut se reporter sur la science ; la foi ne peut se parer de science en dehors de ce quotidien avec ce Tout Autre qui l’interpelle au coeur même du discours qui veut la légitimer pour lui poser la question de la parole concrète, incarnée, effective de ce discours. La foi ne peut se reporter qu’envers une personne vivante, la personne vivante, le Vivant, ce Tout Autre, devenu Tout proche qui se fait l’époux en Christ, et que la Bible nous révèle.

La foi est vitale, l’enfant la connaît déjà, lui qui ne peut se passer de confiance pour grandir. Un enfant, qui ne pourrait se reposer sur l’amour d’adultes l’entourant ne pourrait grandir ni s’instruire. C’est sans doute pourquoi la place de l’enfant, tout au long du récit biblique, est si grande. La foi naturelle de l’enfant, foi vitale qu’il ne choisit pas mais qui l’habite, comme malgré lui, est une figure de la foi de l’homme adulte, foi non plus naturelle mais volontaire et qui l’engage dans un combat, un corps à corps avec Dieu, tel Jacob sur les rives du Yabbok (Yabboq, Jabboq, Jabbok). 1474 Cette foi vitale, tout le message biblique ne fait qu’en révéler, d’une part, la nature profonde, et, d’autre part, son accomplissement comme transfiguré, en Christ. La foi replace alors l’homme dans un état d’innocence proche de celui de l’enfance : il suffit de lire les nombreuses fois où ce terme d’enfant est employé dans le Nouveau Testament pour désigner les membres de la communauté naissante. 1475

Cependant encore, ce qui est en rupture avec la Bible, davantage, nous semble-t-il, qu’en rupture avec le Coran, n’est pas tant la science que l’idéologie de la science : le scientisme ou tous les néo-scientismes. L’exigence de la compréhension, nous l’avons déjà bien souligné dans notre écrit, est très présente tout au long du récit biblique : Israël de l’ancienne alliance se distingue des peuples environnants par la place accordée à l’étude de la Torah, à la lecture. 1476 C’est que la recherche profonde, est première et essentielle et prime ici sur le dogme qui préside aux résultats théoriques, aux savoirs savants. Certes, si Dieu cherche l’homme dans la Bible, il reste que cette recherche de Dieu n’anéantit pas, mais appelle même la quête de l’homme, l’enseigne et la fonde, l’institue en quelque sorte, nous en avons déjà largement mentionné le fait. 1477 Dès le livre du Deutéronome, dans la Torah, un passage en est l’illustration prophétique qui marque au delà de l’irruption de l’église chrétienne toute la condition juive de la Diaspora et l’espérance qui a permis la survie, après vingt siècles, de l’espérance messianique d’Israël :

‘L’Éternel vous dispersera parmi les peuples et vous ne resterez qu’un petit nombre au milieu des nations où l’Éternel vous emmènera. Et là, vous servirez des dieux, ouvrage de mains d’homme, du bois et de la pierre qui ne peuvent ni voir ni entendre, ni manger ni sentir. C’est là aussi que tu chercheras l’Éternel ton Dieu, et tu le trouveras si tu le cherches de tout ton coeur de toute ton âme. Au sein de ta détresse, toutes ces choses t’arriveront. Alors, dans la suite des temps tu retourneras à l’Éternel ton Dieu, et tu écouteras sa voix ; car l’Éternel ton Dieu, est un Dieu de miséricorde, qui ne t’abandonnera point et ne te détruira point: il n’oubliera pas l’alliance de tes pères qu’il leur a jurée. 1478

Le christianisme et l’évangile ouvrent et élargissent la perspective plus loin encore. Ils accomplissent, selon la lecture chrétienne, la prophétie d’Ésaïe

‘J’ai exaucé ceux qui ne demandaient rien. Je me suis laissé trouver par ceux qui ne me cherchaient pas. J’ai dit : Me voici, me voici! À une nation qui ne s’appelait pas par mon nom. 1479

Cependant, les exhortations de Jésus, à chercher, sont répercutées par les exhortations des apôtres et sont fort nombreuses . 1480 Elles s’accompagnent de la promesse donnée de trouver. 1481

“Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et sa justice et toutes choses vous seront données en plus.” 1482

Le don suprêmereste celui de l’Esprit-Saint qui est donné à celui qui le demande et qui est lui-même à la fois l’expression et la quête de la volonté de Dieu. 1483 L’herméneutique biblique se situera donc, pour prendre toute son ampleur, comme en amont de son investigation proprement dite, déjà, dans une disposition première, une quête de vérité, une quête d’entrée dans le sens de la parole. Comme en réponse déjà, à une pédagogie primordiale implicite de Dieu. Albert KUEN, à la suite de J. VEENHOF, parle alors de précompréhension, d’empathie, d’une quête, source d’un dialogue avec Dieu, pour comprendre l’esprit qui a guidé l’auteur du texte. Il s’agit donc d’une prière incessante qui guide et nourrit la recherche.

‘“La véritable compréhension dit Veenhof, se réalise dans la relation avec Dieu. D’un point de vue méthodologique, cette relation fait partie de la précompréhension “Vorverständnis” de l’interprète.” qui lui permet d’être sur la même longueur d’onde que l’auteur du texte d’avoir les même intérêts et les mêmes questions. Le même Esprit qui les a guidés dans leurs expériences et qui a inspiré leur rédaction agit en nous qui lisons ces textes et nous amène à être en empathie avec eux. L’action de l’Esprit se situe donc tout au début de notre lecture de la Bible. Il continue tout au long de notre étude utilisant notre intelligence, notre volonté et notre sensibilité. “L’Esprit, continue Veenhof, ne supprime pas notre humanité, il veut au contraire l’employer dans son oeuvre. De cette humanité font également partie les possibilités et les méthodes qui sont à notre disposition. Notre humanité n’est pas dévaluée mais honorée. L’action de l’Esprit en nous, avec nous et par nous, influencera la manière dont nous, en tant qu’interprètes, utiliseront les diverses méthodes.” N’oublions pas non plus que le processus herméneutique ne se limite pas à la compréhension intellectuelle d’un texte. Il comprend aussi l’application des vérités découvertes dans notre vie. Or, dans cette phase “application”, le secours du Saint -Esprit s’avère indispensable si nous voulons que le texte ait un impact spirituel sur nous. Le Saint-Esprit conduit “toute la vérité” (Jean XVI 13). Or,”toute la vérité” est plus qu’une information historique affectant uniquement notre connaissance intellectuelle; elle comprend la transformation de notre être à l’image de Celui qui a pu dire : “je suis la vérité “ (Jean XVI 6). Et cela n’est possible que par le ministère de l’Esprit de vérité. (Jean XVI 13). Trop souvent, dans l’histoire de l’Église, on a opposé l’Esprit à la Parole écrite de Dieu en s’appuyant sur une fausse interprétation de II Corinthiens III 6 “la lettre tue, l’Esprit vivifie. (...) Calvin appelait la Bible “l’école du Saint-Esprit “(Inst. III 21. 3 )” 1484

La vie par l’Esprit n’est donc pas morcelable. Intelligence et vie ne se séparent pas. Elle est soupir et prend tout l’être, elle exprime une quête profonde et sans cesse renouvelée de la volonté de Dieu. Intercession perpétuelle.

‘De même aussi l’Esprit, nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu’il convient de demander dans nos prières. Mais l’Esprit Lui-même intercède par des soupirs inexprimables ; et celui qui sonde les coeurs connaît quelle est la pensée de l’Esprit, parce que c’est selon Dieu qu’il intercède en faveur des saints. 1485
Notes
1472.

Nous songeons ici à la kyrielle d’auteurs musulmans des premiers siècles de l’Islam dont les travaux sont initiateurs de bien des sciences contemporaines et qui marquèrent les premiers siècles de l’Islam. Nous n’en citons que quelques uns.

AL-KINDI (803-873) (ABU-YUSUF YA'QUB’IBN ISHAQ) (803-873 )

Il s’intéressa à l’optique, la pharmacie, la théorie musicale et mathématiques, son influence tant sur l’Orient que sur l’Occident fut considérable jusqu’à Saint THOMAS D’AQUIN.

Le penseur turc AL FARABI (870 - 950)

Il est cité par le dictionnaire encyclopédique d’Oxford, comme un précurseur de diverses sciences modernes : pour la logique, rhétorique, géométrie, psychologie et politique.

AVICENNE ou ABU ‘ALI AL HUSSEIN, IBN ABDALLAH IBN-SINA (980-1037 )

-Poursuivant les travaux de AL FARABI, AVICENNE légua à la pensée humaine parmi d’autres termes et concepts l’intentio (ma’qulat) : ce qui est intellectuellement intelligible.

-Il distingua également entre le nécessaire et le possible, précédant d’une certaine façon les travaux du biologiste français Jacques MONOD (1910-1976 ) prix Nobel de médecine en 1965, auteur en 1970 de : “Le Hasard et la Nécessité”.

-Son “Canon de la médecine “ fut l’ouvrage de référence tant en Europe qu’en Occident, jusqu’au XVII ° siècle.

IBN HAZM (’ALI IBN-HAZM ) (994-1064)

Il fut reconnu en Occident comme le plus grand érudit et le penseur le plus original de l’Espagne islamique. On le considère comme l’initiateur de l’étude comparée des religions, puisqu’il composa la première étude critique systématique du Nouveau et de l’Ancien Testament. “Al-Fasl fi’l Milal w’al-Ahwa’w’al-Nihal.” Le dernier mot sur les sectes, les hétérodoxies et les cultes.”

AL-GHAZALI (1058-1111). Auteur de “Hujjat al-Islam” (la preuve de l’Islam).

Il finit par croire que la vérité ultime ne pouvait être atteinte par l’intellect et devint “soufi”. Il écrivit alors “Ihya ‘ulum al-din” (revification des sciences religieuses ) puis entre autre “Incohérence de la philosophie.” Des auteurs chrétiens, dont THOMAS D’AQUIN firent référence à sa pensée.

IBN BADJDJA ou AVEMPACE ou AVENPACE (nom latinisé) (1106-1138).

Poète, musicien, savant et mathématicien.

Le premier auteur à avoir fait connaître ARISTOTE depuis AVICENNE. Il influença AVERROÈS (1126-1198).

IBN’AL- ‘ARABI (1164-1240).

Soufiste espagnol inventeur d’une forme d’écriture littéraire déconcertante faite de courtes maximes méditatives. La doctrine de l’Unité de l’ÊTRE (Wahdat al Wujud), traverse son oeuvre cependant très contestée en Islam.

IBN KHALDUN (1332-1406).Auteur de “Muqaddima”(Introduction).

Il est considéré comme le père de la science historique politico-sociale, l’un des fondateurs de la sociologie. George SARTON, dans son “Introduction à l’histoire de la science “ (1927 -1948 au tome 3), le considère comme l’un des premiers philosophes de l’histoire. (Cité par le dictionnaire encyclopédique d’Oxford).

Tous les auteurs répertoriés apparaissent in Université d’Oxford “Le cerveau un inconnu - Dictionnaire encyclopédique ” sous la direction de Richard L GREGORY ; aux éditions Robert Laffont Paris 1993 ; (1441 pages).

1473.

Le Christ est néanmoins présent dans le petit, dans le prochain. “ J’étais nu, et vous m’avez vêtu, j’étais malade, vous m’avez visité ; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger et vous m’avez accueilli.”

1474.

Genèse XXXII 24 à 32 op. cit.

1475.

Jésus emploie le terme d’enfants pour l’injonction à devenir disciples en s’adressant à la foule :

“Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez des enfants de lumière.” (Jean XII 36),

Jean l’emploie comme salutation (II Jean 1), et comme signe de son affection (II Jean 4 ; III Jean 4) ...

Paul l’emploie spécialement pour signifier l’adoption en Christ, (Éphésiens I 5), une nouvelle naissance en la lumière du Christ : (Éphésiens V 8 ; ;I Thessaloniciens V 5).

1476.

Un passage du livre des juges est à ce sujet assez surprenant pour que la TOB le souligne.

Il se situe dans le chapitre 8 qui relate l’aventure de Gédéon, lors de sa campagne pour délivrer Israël à l’est du Jourdain.

À Soukkoth, ville située dans la vallée du Jourdain, au nord de l’embouchure du Yabboq (Jabbok), où se trouvait la tribu de Gad dont l’ancêtre du même nom était le fils de Jacob et de Zilpa, (cette dernière ayant été la servante de Léa).

Au verset 13, un jeune homme de Soukkoth désigne à Gédéon par écrit le nom des soixante-dix sept chefs de Soukkoth.

La note de la TOB signale :

“Fait assez surprenant, ce jeune homme sait écrire, ce qui suppose que devenue alphabétique l’écriture n’était plus réservée aux seuls scribes.”

Ce récit, quelles que soient les supputations des savants et des recherches des historiens, récit qui relate, en tout cas, une histoire survenue bien au delà des mille ans avant Jésus-Christ pourrait au moins, à tout coup, chacun peut en convenir, signaler comment la culture juive fut une culture fondamentalement essentiellement tout à la fois exotérique et de l’écrit.

1477.

Nous voyons dans cette tension l’inscription même de notre écrit.

1478.

Deutéronome IV 27 à 31. Tout l’Ancien Testament répercute cette chose : Dieu n’a de cesse de rechercher son peuple, qui ne trouve sa paix que lorsqu’il se met lui même en quête de son Dieu pour écouter sa voix et trouver en lui son refuge. Mentionnons quelques passages explicites.

I Chronique XXVIII 9 ; Psaume IX 11; Psaume XIV 2 ; Psaume XXII ; Psaume XXXIV 5 ; Psaume XXXIV 9 ; Proverbe XXVIII 5 ;

Ésaïe LV 6.

1479.

Ésaïe LXV 1

Thème repris par Paul : Romains X 18 à 21

1480.

Évidemment, tout le Nouveau Testament est invitation à rechercher le Règne de Dieu et sa justice en Jésus-Christ le Fils bien aimé, en toute chose, avant toute chose. Citons ces passages : Actes XVII 27 ; I Corinthiens XIV 12 ; Galates I 10 ; Colossiens III 1 ; Hébreux XI 6 ; Hébreux XIII 14

1481.

Demandez et l’on vous donnera, cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira”

Matthieu VII 7 (voir Luc XI 9) (op. cit.)

1482.

Matthieu VI 33 op. cit.

1483.

”Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvre à celui qui frappe.

Quel est parmi vous le père qui donnera une pierre à son fils qui lui demande du pain ? Ou s’il demande un poisson lui donnera-t-il un serpent au lieu d’un poisson ?

Ou s’il demande un oeuf, lui donnera-t-il un scorpion ?

Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent. Luc XI 10 à 13 (op. cit.)

1484.

KUEN Albert “Comment interpréter la Bible ” Emmaüs Saint-Légier Suisse 1991; (aux pages 29 et 30).

La référence à J. VEENHOF est tirée de :

The Holy Spirit and Hermeneutics “ in Cameron 87 ; (pp 105-122). Référence fournie par l’auteur.

Le premier passage cité entre guillemets est à la page 120 ; le second passage cité entre guillemets est à la page 122.

1485.

Romains VIII 26