La femme adultère

Mise à l’épreuve de Jésus, que l’on veut “tenir coincé” entre l’obéissance due à Rome et la loi de Moïse, dans une sorte d’injonction paradoxale, obéir mais désobéir, ou, désobéir mais obéir. Jésus écrit pour la seule fois des évangiles, sur le sable, on se sait quoi, qui s’effacera avec le temps. Quel rapport avec les tables de la loi ? La “ loi “de l’amour ne “lapide” pas, mais pardonne, elle appelle moins à l’obéissance à des préceptes écrits qu’à une communion du coeur, en esprit et vérité. “Que celui de vous qui n’a pas de péché lance la première pierre. “... “Femme où sont ceux qui t’accusent ? “...” Je ne te condamne pas non plus ; va et ne pèche plus.”(Jean VIII 1à 14 )