Le retournement politique

De la prophétie dans sa dimension politique à son accomplissement ...

L’évocation que nous venons de citer, par le Christ, des persécutions subies en son nom, en font tout le contraire d’un gourou moderne ou antique, promettant monts et merveilles à ceux qui le suivraient, qui prendraient son pas, avec, pour l’immédiat ou même pour plus tard, la réalisation des rêves de puissance et de prospérité. Tout le contraire en tout cas qu’un chef politique. Certes, Jésus accomplit des promesses, rend la vue aux aveugles, et la marche et le mouvement aux paralytiques, il rend la parole aux muets, et aux sourds, l’ouïe, il guérit les lépreux, il rend aux captifs la délivrance, 2338 mais cette délivrance est intérieure, nous pourrions ajouter corporelle, physique, personnelle. À aucun moment, Jésus ne se présente comme le chef politique qu’il n’est pas, le roi qu’il ne tient pas à être. 2339 Il n’est pas ce leader militaire que, pourtant, à première lecture, les prophéties semblaient, on ne peut plus clairement, aux yeux de beaucoup, en tout cas, annoncer. 2340

Le royaume de Dieu n’est pas le royaume du monde. Être dans le monde sans être du monde, résume toute la difficulté, toute la grandeur et la misère de la condition chrétienne. 2341 Nous le notons de façon d’autant plus claire, que les contemporains de Jésus, juifs, fomentaient pour beaucoup une idée de révolte contre l’Empire romain perçu comme l’usurpateur qui les occupait et avec qui la dynastie hérodienne convolait, à leurs yeux, lâchement.

FLAVIUS JOSÈPHE rapporte que, peu de temps après la mort d’HÉRODE le GRAND (-40 (37 ) ; -4 avant Jésus-Christ), un berger du nom d’ATHRONGÈS se proclama roi. 2342 Judas le Gaulanite, ou le Galiléen,mentionné dans les Actes des apôtres 2343 . FLAVIUS JOSÈPHE 2344 lui attribue le pharisien SADOCK pour acolyte. Judas le Galiléen s’opposa à Rome à l’époque du recensement de Quirinius. 2345 Plus tard, selon FLAVIUS JOSÈPHE, 2346 entre 44 et 49, lorsque FADUS était procureur de Judée, mais quelques temps plus tôt, au contraire, dans le livre des Actes, 2347 un certain Theudas prétendit être prophète et voulut lutter contre les occupants. Toutes ces tentatives comme celles qui suivirent se terminèrent dans le sang et la défaite.

Le feu couvait sous la cendre, donc déjà, du temps de Jésus et des premiers pas de l’église primitive, annonçant donc, la grande rébellion juive du printemps 66 qui allait aboutir à la destruction du Temple, en 70, à la répression et à la dispersion du peuple, interdit de pénétrer dans la ville sainte, après la guerre menée par BAR KOKHBA, le fils de l’étoile, de 132 à 135. C’est dans un contexte donc bien particulier, que l’entrée triomphale à Jérusalem du fils de David, monté sur un âne, en prince de la paix, acclamé par la foule, prend toute son ampleur, à la fois glorieuse pour beaucoup, scandaleuse pour d’autres. 2348

Car, donc, l’aspiration politique prenait bien sa source dans les prophéties messianiques que beaucoup, parmi le peuple hébreux, voulaient hâter à tout prix. Il devenait, dès lors, inéluctable, que l’attente de la foule, du peuple hébreu, qui voulait voir en Jésus, un chef politique le délivrant du joug romain, fût lourdement déçue. Parmi les ” ennemis” de Jésus, beaucoup étaient des lecteurs de la Torah et des prophètes. Mais leur lecture était, strictement ou partiellement, en tout cas humainement politique. La perspective politique, au sens humain et classique du terme, n’est pas mise en valeur par Jésus qui repousse d’emblée la tentation de Satan lui offrant de posséder tous les royaumes, 2349 qui prévient, au contraire, que nul ne peut le suivre s’il ne le choisit lui, plutôt que tout le reste, et s’il ne soulève (porte ) sa croix. 2350 Ne sera-ce pas d’ailleurs cette croix qui attendra Jésus au bout de son chemin de vie terrestre, comme insigne d’une royauté d’un autre ordre ?

À la perspective ouverte par Jésus, s’opposent huit dérives, au moins, possibles, se déployant historiquement, depuis les alentours de l’église naissante, jusqu’aux suites du passage historique après la conversion de CONSTANTIN et la proclamation de l’édit de Milan en l’an 313 :

  • La collaboration et la cupidité (dérive hérodienne).
  • La confusion des deux royaumes (dérive du constantinisme ).
  • L’autarcie (dérive essénienne).
  • Le conformisme religieux (dérive sadducéenne).
  • Le refuge dans la pureté doctrinale séparée du monde (dérive pharisienne).
  • La prise de pouvoir par la force (dérive zélote).
  • L’ordre social lu comme conforme à la valeur des hommes (dérive aristotélicienne). 2351
  • La fonction de prescription de la cité politique idéalisée (dérive platonicienne).

À la cupidité hérodienne, Jésus oppose le don gratuit, la communion au don gratuit, la Koinônia, l’esprit des béatitudes. 2352

À la confusion des deux royaumes, Jésus oppose une distinction claire, entre César et Dieu, qui évite l’affrontement direct, tout en signifiant la radicale différence. 2353

À l’autarcie, Jésus oppose un envoi des disciples dans le monde, un message pour le monde, une Bonne Nouvelle annoncée au monde. 2354

Au conformisme religieux, attaché à la Torah et au service sacrificiel du Temple, Jésus oppose le temple de chair, 2355 et la vie par l’Esprit de Dieu, 2356 une consécration intérieure et profonde. 2357 Il rappelle ainsi que Dieu préfère la miséricorde aux sacrifices. 2358

Au culte de la “séparation”, mise à part du peuple élu, culte de la pureté prônée par les pharisiens, étudiant, à la lettre la loi, l’adaptant aux circonstances de l’histoire par les adjonctions de la loi orale, Jésus oppose l’accomplissement de l’écriture, en sa personne, livrée pour le salut du monde. 2359

Au culte de la prise de pouvoir par la force, Jésus oppose le Règne de paix. 2360

Au culte de l’ordre social, Jésus oppose le retournement des valeurs, qui ne fait plus de distinction entre Juifs, Grecs, esclaves et libres, hommes et femmes 2361 . Ce renversement de l’ordre établi fait des derniers, des premiers, et, des premiers, des derniers. 2362

À la fonction de modèle de la cité idéalisée, Jésus oppose la perspective, reçue par le coeur d’enfant, du Royaume de Dieu, venu visité les hommes, et prendre sa demeure au dedans d’eux... 2363

  • Justice de Dieu et justices humaines se distinguent mais ne s’affrontent pas directement, sauf au moment de la croix. La justice mesurée sur les balances humaines, et la justice don de Dieu, si elles peuvent être mises en parallèle l’une avec l’autre, 2364 et souvent dans la Bible comparées, l’une et l’autre, ne sont pas, pour Jésus, fusionnées. 2365 .

Certes, Dieu s’appuie parfois, sur le droit des hommes et la justice humaine, 2366 qui n’exercent leur autorité, comme le dit Jésus devant Pilate, que parce que Dieu les autorise. 2367 Mais la justice révélée de Dieu les dépasse de toutes parts. Dieu fait grâce à qui il fait grâce et sa miséricorde se déploie sur qui il décide de faire miséricorde. 2368

Autrement dit, la perspective biblique étant l’entrée personnellement acceptée dans la volonté de Dieu, invitant l’homme habité de l’Esprit-Saint, à se laisser recréer en lui, par lui, 2369 elle ne conçoit pas la loi dans la spéculation rationnelle, mais à partir d’une révélation, d’un accomplissement qui conduit au témoignage en esprit et vérité, du Christ. 2370

Dans une perspective strictement rationaliste, la loi permettrait de surseoir à la violence et au désir de vengeance en introduisant une médiation permettant la réflexion, une référence à une échelle des valeurs, bref une distanciation. Nous trouverions là, la source du droit romain. Cette perspective médiatrice de la loi est loin d’être absente totalement de la Bible, 2371 mais elle est dépassée de toute part, par l’enseignement du Christ, certes, mais aussi dans une perspective juive fondée sur l’étude de la révélation.

Dans une perspective biblique, fondée sur la révélation, la loi est révélation par excellence. En tant que telle elle émane de Dieu. La loi est la révélation également d’une distance, irréductible, de la distance entre Dieu et l’homme, révélation du péché donc. 2372 La loi n’est donc pas tant une manière de surseoir à la violence que de révéler au coeur de l’homme, le mal, comme un fruit de sa nature pécheresse hors de Dieu. Tel est le thème central de ce que d’aucuns nomment la théologie paulinienne. Paul écrit :“Or le péché n’est pas imputé lorsqu’il n’y a point de loi.” 2373

Jésus, qui n’accuse pas la femme adultère, 2374 annonce aux disciples que si leur justice ne dépasse pas celle des pharisiens, des scribes, ils n’auront pas de part au Royaume de Dieu. 2375 En effet, si la justice de Dieu est tellement au-dessus de celle des hommes, tout pécheur pardonné peut-il faire autre chose que de pardonner à l’infini, à son tour ? 2376

  • Le choc entre les deux royaumes est au centre des évangiles, depuis leur proclamation qui célèbre la gloire du Christ, en parallèle aux textes célébrant la gloire des empereurs romains, et qui portent le même nom d’origine euaggellion : Dieu et César. Depuis la naissance du Christ, la mise à mort des premiers nés, en passant par la tentation de posséder tous les royaumes de la terre, les dialogues sur le tribu à César, jusqu’à la mise en croix, de Jésus affublé d’une couronne d’épines et du titre dérisoire de roi des juifs. Cette mise à mort est elle-même répercutée dans les persécutions des premiers disciples, sous l’initiative de l’empire romain, ou de l’autorité religieuse juive.
  • Le ministère suppose un seul pouvoir celui de servir. Le renversement est ici, de nouveau, fort sensible. Est ministre celui qui a une responsabilité. Cette responsabilité octroyée par Dieu ne peut être ôtée par quiconque. Nous pouvons parler de sacerdoce universel. 2377

Le seul pouvoir du chrétien, du disciple, tel qu’il est défini par Jésus, est celui de son service. Sa seule gloire, est son statut de serviteur de Dieu et des hommes. Comment ne pas relier ce fait aux paraboles de Jésus qui parlent de vignerons, d’un majordome, ou de talents confiés ? 2378 . Comment ne pas évoquer les nombreuses paraboles qui parlent d’ouvriers envoyés, de travaux, de champs, de responsabilités accordées sans surveillance pointilleuse ? Signes d’une liberté accordée. Est libre celui qui reçoit la parole qui le rend responsable. Est responsable celui qui se fait serviteur.

La parabole des deniers parle d’un salaire unique pour les ouvriers de la première à la dernière heure 2379 . Il n’est pas d’ordre du mérite institué par Jésus qui s’élève au contraire contre les disciples qui veulent être assis à sa droite et à sa gauche dans le Règne de Dieu. 2380 La seule couronne de Jésus fut une couronne d’épines, au moment de sa mort, sa seule monture fut un âne, au moment de son entrée dans Jérusalem occupée, sa seule armure fut sa parole, du début à la fin de son ministère. À sa droite et à sa gauche au moment de la croix, on ne trouva que deux brigands.

  • La paix des hommes, qui n’est pas toujours celle de Dieu, et l’épée, qui est associée à la parole de Dieu, se répondent l’une à l’autre, au fil des événements traversés, les paroles dites dans la Bible, 2381 jusque dans les phrases prononcées par Jésus. 2382 Celui-ci refuse qu’on prenne l’épée pour le défendre. 2383 Il est et ne veut être que l’ambassadeur de paix annoncé par les prophètes, qui entre en Jérusalem monté sur âne. 2384 Et pourtant, la paix qu’il donne n’est pas seulement pacifique et pacifiante, elle est un tonnerre, un éclair, elle est un feu dévorant, 2385 une épée, un glaive.

Ces deux formes d’images antinomiques, apparemment, en tout cas, contradictoires, évoquent le paradoxe de la rencontre entre, d’une part, l’intransigeance de la justice de Dieu, la radicalité de son amour, l’unicité de la paix christique, avec, d’autre part, le trouble créé au coeur de l’homme qui vivrait selon les principes strictement naturels, de l’apparence et du monde, conformes à quelque panthéisme, ou même à l’opposé, conforme à quelque spiritualisme ascétique, où le dieu ne serait plus qu’une image docile de l’homme. Nous retrouvons la distinction entre la pax christi et la pax romana. Car la paix que Christ laisse et donne à ses disciplesest autre que les équilibres tactiques, stratégiques. Elle est laissée et donnée “non comme le monde la donne”. 2386

La Bible exprime un renversement : l’homme est une créature aimée de Dieu vivant. Dieu, ne peut, ni se réduire à l’image que l’homme s’en fait, ni même, se retrouver en partie dans cette image, il est toujours en dehors des représentations humaines. 2387 Dieu ne reste pas cependant à l’extérieur seulement du monde matériel. Dieu aime le monde et l’homme, jusqu’à prendre chair en lui, et donner sa vie pour le sauver. Ceci n’est qu’une évidence, puisque tout ne naît qu’à partir de son amour premier, et que lui, YHVH, qui est celui qui sera, ne veut jamais se laisser saisir abstraitement, mais désire être aimé comme lui aime le premier. L’épisode du veau d’or l’exprime clairement, 2388 toute l’histoire d’Israël, entre fidélités et infidélités, le confirme, la mort du Christ sur la croix l’accomplit.

Le projet du Christ n’est certes pas directement politique, mais il ne met pas pour autant sous le boisseau, l’espérance du Règne, énoncée par les prophètes, tout au contraire. Et, en cela, il ne fait que renverser toutes les dimensions politiques fondées sur l’esprit du monde, c’est à dire, l’apparence bibliquement toujours séductrice et trompeuse, même et surtout, s’il s’agit de l’apparence du bien. Les promesses de Dieu veulent être enracinées dans, le coeur et les reins, que seul Dieu sonde, pénètre, renforce et féconde. 2389 Au plus profond que nous puissions le comprendre, alors, dès lors, cette phrase de Paul dans l’épître aux Corinthiens, exprime très bien le retournement politique constaté.“Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes” 2390

Notes
2338.

Ésaïe LXI 1 à 3 ; Luc IV 16 à 21. Jésus lit à la synagogue de Nazareth, une parole, qu’il dit être désormais accomplie.

2339.

Jean VI 15 Jésus se retire sachant que la foule veut le faire roi suite à la multiplication des pains.

2340.

Psaume LXXII 11 à 17 ; Psaume CXXXII 17 ; Jérémie XXIII 6 à 8 ; Luc I 68 et 69; Luc VII 16 ; Jean IV 19 à 26 ; Jean VI 14 ; Jean IX 17

2341.

Jean XVII 15 “Je ne te prie pas de les ôter du monde mais de les préserver du monde “ Plus largement lire Jean XVII

2342.

Antiquités Juives XVII 278 et suivants

2343.

Actes V 37

2344.

Antiquités Juives XVIII 1 1

2345.

Luc II 1 à 2 . C’est ce recensement que Luc met en rapport avec la naissance du Christ.

2346.

Antiquités Juives XX 97 à 99

2347.

Actes V 36

2348.

Luc XIX 29 à 40

2349.

Matthieu IV 8 à 11

2350.

Luc XIV 25 à 33 ; Jean XVIII 33 à 38

2351.

“Que donc par nature les uns soient libres et les autres esclaves, c’est manifeste, et pour ceux-ci la condition d’esclave est avantageuse et juste.” ARISTOTE “ Les politiques “ traduction PELLEGRIN Pierre Flammarion Paris 1990 1993 ; ( page 103).

2352.

Matthieu VI 1 à 6 ; Luc XII 1 à 2 ; Actes II 44 à 47; Colossiens III 23 à 24

2353.

Matthieu XVII 17 à 22; Matthieu XXVIII 18 à 20 ; Marc XII 14 à 17 ; Luc XX 20 22 à 26 ; Jean XVIII 34 à 37 ; Jean XIX 11

2354.

Jean XIV à Jean XVII

2355.

Matthieu XXVI 57 à 68 ; Jean II 19 à 22 ; I Corinthiens III 16 ; I Corinthiens VI 19 à 20

2356.

Jean III 3 ; Jean XVIII 37

2357.

Marc XII 41 à 42 ; Luc XXI 1 à 4. L’offrande de la pauvre veuve.

2358.

Osée VI 6 ; Michée VI 6 à 8 ; Matthieu IX 13 ; Matthieu XII 7

2359.

Marc X 45 ; Jean V 39

2360.

Ésaïe II 1 à 4 ; Ésaïe XII 6 ; Zacharie IX 9 ; Matthieu XXI 1 à 9 ; Matthieu XXVI 47 à 56 ; Marc XI 1 à 11 ; Marc XIV 43 à 50 ; Luc XVIII 28 à 44 ; Luc XXII 47 à 53 ; Jean XII 12 à 19 ; Jean XIV 27 à 28 ; Jean XVIII 3 à 11

2361.

Galates III 28

2362.

Ésaïe XLI 4 ; Matthieu XIX 30 ; Matthieu XX 16 ; Marc X 31 ; Luc XIII 30 ; Jean XVIII 36

2363.

Matthieu VI 19 à 21 ; Matthieu XII 34 à 37 ; Matthieu XVIII 2 ; Matthieu XIX 14 ; Matthieu XXIV 15 à 35 ; Marc XIII 21 ; Luc XII 33 à 34; Luc XXI 7 à 8 ; Luc XVII 20 à 21 ; I Pierre II 1 à 3

2364.

Luc XVIII 1 à 8

2365.

Ésaïe LIII et Romains V

2366.

Proverbes XXIV 21 à 22 ; Luc XX 20 à 26 ; Romains XIII 1 à 7 ; I Pierre II 13 à 17

2367.

Jean XIX 11

2368.

Romains IX 16 à 18

2369.

Matthieu III 11 à 12 ; Éphésiens IV 17 à 31

2370.

Jean IV 23

2371.

Il nous semble retrouver cette place de la loi dans les livres sapientaux. Le livre des Proverbes en est un exemple, le livre de la Sagesse également.

2372.

Romains VI et VII ; Galates III

2373.

Romains V 13

2374.

Jean VIII 10 à 11

2375.

Matthieu V 20

2376.

Matthieu VI 14 à 15 ; Matthieu XVIII 23 à 35 (La parabole du débiteur impitoyable ) ; Luc VI 39 à 45

2377.

Jean XIV à Jean XVII

2378.

Matthieu XXI 33 à 46 ; Matthieu XXIV 45 à 51 ; Matthieu XXV 14 à 30

2379.

Matthieu XX 1 à 16

2380.

Marc X 35 à 45. On peut voir aussi Matthieu XX 21 à 23

2381.

Deutéronome XXXII 36 à 43 ; Jérémie VI 14 à 16 ; Ézéchiel XIII 10 à 16 ; Hébreux IV 12 à 13 ; Apocalypse I 16 à 17

2382.

Matthieu X 34 à 36 ; Luc XII 51 à 53

2383.

Matthieu XXVI 51 à 54 ; Jean XVIII 11

2384.

Psaume XXIV 7 à 10 ; Psaume LXXII ; Zacharie IX 9 à 12 ; Jérémie XXXI 17 ; Jérémie XXXI 21 ; Matthieu XXI 1 à 11

2385.

Daniel VII 9 ; Matthieu XXIV 27à 30 ; Matthieu XXVIII 3 ; Luc XII 49 ; Luc XVII 24 à 25; Apocalypse VIII 5 ;

2386.

Jean XIV 27

2387.

Ésaïe XL 28 “On ne peut sonder l’intelligence de Dieu”

2388.

Exode XXXII 24 à 35

2389.

Psaume VII 10 ; Psaume XVII 3 ;

2390.

I Corinthiens I 27