Note connexe numéro un (suite) : Interférences personnelles ... Extraits de : CABALLÉ Antoine “De l’action éducative de la Bible : L’enseignement et l’éducation par la foi, première introduction à une pédagogie autre.” pp 12 à 22

De la place d’où nous parlons

Le cheminement universitaire .

L’auteur de cet écrit a entrepris depuis trois années, après vingt années de pratique professionnelle dans l’éducation, comme instituteur essentiellement, des études universitaires en Sciences de l’Éducation.

Le travail de Licence 2844 se proposait de mettre en évidence le dialogue entre geste et pensée, dans lequel se déroule toute action éducative; ce dialogue est englobant par rapport à la domination de la théorie sur la pratique qui ne restera jamais qu’une tentative de formulation a posteriori.

Celui de Maîtrise 2845 se posa la question des apprentissages de traverse par rapport à ceux que créent l’institution et se diffusent par elle. La modernité se caractérise par une généralisation de l’institutionnalisation de l’apprentissage, ce qui renvoie à une prédominance de la relation théorie pratique sur le dialogue entre gestes et pensées. Colonisation des gestes et des pensées par une relation théorie pratique.

La dialectique entre théorie et pratique se résout dans l’idée ou le concept et le système reposant sur la non contradiction interne, système, dont le doute hypostasié est fondement. Ceci suppose, entre universel et singulier, une justification ramenée et réduite, de fait, à la relation entre général et particulier.

Le dialogue entre gestes et pensées se résolvent dans l’action dont Maurice BLONDEL 2846 nous dit que le déterminisme seul, déterminisme ouvert, est incontournable. L’action se nourrit de la foi définie comme confiance initiale. Dans l’action ainsi posée, universel et singulier se répondent dans une fécondation mutuelle.

En conclusion de l’étude de Maîtrise, après comparaison de quelques textes fondateurs spécialement entre la Bible, ARISTOTE, SOCRATE et PLATON nous postulions que notre culture se trouvant être héritière de l’hellénisme et du judéo-christianisme, l’hypostase de la relation théorie pratique nous venait des grecs, ou en tout cas à partir d’une lecture hellénique d’une révélation biblique qui modifiait le fondement et les valeurs de la cité antique, le dialogue entre le geste et la pensée par le lent enfantement d’une révélation extérieure, se découvrait dans le dépôt de la parole biblique.

La question de l’institution éducative:

L’auteur de l’étude présente, est enseignant dans l’école publique laïque dont la neutralité est souvent mise en exergue.

La France fit reposer les droits de l’homme sur une idée, suivant les lumières, qu’il appartenait à la société de conduire au bonheur pour tous. Face à la France les autres démocraties, essentiellement protestantes anglo-saxonnes, à la plus grande culture biblique, sous l’influence de penseurs comme LOCKE prônèrent une liberté de conscience partant du droit à l’expression de la conviction de la personne liée à une seule neutralité juridique de l’état.

La déclaration française des droits de l’homme et du citoyen de 1789, proche de l’inspiration de la philosophie des lumières le culte de l’Être Suprême stipulait simplement que “nul ne doit être inquiété pour ses opinions. ” 2847

La déclaration universelle des droits de l’homme adoptée par les nations unies en 1948 donc par la France, stipule à l’article 18 que toute personne a la liberté de conscience et de religion (..) ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun tant en public qu’en privé, par l’enseignement , les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

Cette déclaration est davantage dans l’esprit, nous semble-t-il, d’inspiration anglo-saxonne, (Bill of rights de 1689 pour l’Angleterre sous Guillaume d’Orange), ou surtout américaine (déclaration d’indépendance de 1776), dont la constitution politique est fondée sur la Bible à partir de l’inspiration des Quakers et de l’oeuvre de William PENN (1644/1718) dans l’état de Pennsylvanie.

S’opposent la tradition dite démocratique anglo-saxonne à celle dite républicaine et française du droit.

La neutralité de l’état s’impose-t-elle à la personne ?

Oui, répondrait le républicain français héritier des lumières, au nom d’une neutralité militante, dès lors que celle-ci exerce une fonction publique. Jamais, rétorquerait le démocrate anglo-saxon nourri de la Bible et de sa culture, la garantie de la séparation des pouvoirs est suffisante. Dès lors, nous voyons bien que les rapports entre public et privé sont différents. D’un côté de par l’inspiration biblique, la personne est fondatrice par rapport aux structures, de l’autre de par l’invitation aux idées républicaines ce sont, par le moyen de la neutralité affichée comme nécessaire à la protection des personnes, les structures qui sont fondatrices.

De nombreux ouvrages, de nombreux articles, se posent, particulièrement depuis quelques dix années, la question d’une culture religieuse à l’école publique française qui, si l’on excepte l’Est alsacien, reste la seule dans l’Europe des douze, à ne diffuser officiellement en dehors des aumoneries autorisées dans le secondaire, aucun enseignement obligatoire, facultatif ou optionnel de la sorte 2848 . Ces ouvrages, ces articles, essaient d’imaginer une intégration de la culture biblique comme partie du patrimoine culturel dans l’enseignement laïque, ou, plus largement parfois, selon les normes actuelles de l’enseignement 2849 . La plupart essaie encore d’imaginer un nouvel équilibre entre religion, école et état.

Ce n’est pas, directement en tout cas, sous cet angle que l’étude abordera la question de la Bible et de l’éducation. Le regard et la perspective en seront même comme inversés. La question en effet ici, pose la justification de l’éducation selon la Bible. Justification au regard, non pas des normes éducatives du temps présent, mais, dans la mesure du possible, du texte biblique, lui-même.

Notre approche aura l’avantage de ne pas poser la question de la Bible à l’éducation en l’inféodant, de principe, à une norme extérieure.

Échapperons-nous, pour cela, intégralement à toute inféodation ? Notre étude elle-même, n’est-elle pas inféodée, en quelque sorte, à une norme universitaire ?

Mais l’université, l’étymologie nous le rappelle, exige l’universalité, c’est à dire un lien entre ce travail et d’autres études, une conformité de l’ordre de l’intelligibilité que nous ne contestons pas, puisque nous la recherchons.

En tout cas, une intention initiale est d’ores et déjà affichée, annoncée, la résolution de la poursuivre le plus intégralement possible, jusqu’au bout, également.

La question personnelle et universelle de la foi

L’explicitation transparente de la démarche intellectuelle qui a présidé à cette étude requiert une première confidence au risque de surprendre voire de choquer le quant à soi généralement de mise dans le cadre universitaire.

L’auteur de cet écrit est chrétien 2850 .

Mais qu’est-ce que la foi chrétienne ou qu’est-ce que la foi, mot nous venant du latin fides qui signifie confiance ?

La foi est ainsi caractérisée par l’apôtre Paul, dans les actes des apôtres, dans le Nouveau Testament de la Bible.

Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. 2851

Attestation et ferme assurance signifient que la foi s’apparente ou se relie au témoignage intérieur qui l’atteste, à la conviction qu’elle argumente.

Lorsque Saint Paul écrit cette phrase dans une épître aux premiers chrétiens parmi le peuple des hébreux, sa définition vient comme à la suite d’une lente et longue révélation transmise par la tradition hébraïque qui servit de fondement jusqu’à l’accomplissement, selon les chrétiens, de cette tradition en Jésus Christ, auquel en ce premier siècle de notre ère, Paul, se référait et duquel il était l’apôtre.

On pourrait même dire que la question de la foi devient historiquement centrale du débat, en dehors d’Israël, à partir du christianisme qui se greffe lui-même sur la foi d’Israël.

Un livre est au centre de cette révélation et nourrit depuis saint Paul, saint AUGUSTIN et les Pères de l’Église, de la réforme jusqu’à aujourd’hui, le débat théologique métaphysique ou philosophique. Ce livre, c’est la Bible.

La place centrale et déterminante de la foi nous est révélée dans l’histoire biblique, dès Noé, qui selon la Bible, bâtit, selon les préceptes précis de l’Éternel, une arche pour sauver les animaux du déluge, et Dieu fit alliance avec Noé, et l’arc-en-ciel, cette alliance concerne la création, en est le signe.

Dans le même livre de la Genèse, avec Abraham dont on situe l’existence aux environs de deux mille ans avant Jésus Christ et dont le nom signifie “le père aime”, qui quitte la Chaldée pour une terre lointaine, Dieu fait à nouveau alliance, et cette alliance concerne une postérité. De cette postérité se réclament aujourd’hui, juifs chrétiens et musulmans.

La notion et la place essentielle de la foi existentielle qui se formule avant tout credo est donc révélée à l’histoire des hommes comme première selon le message biblique par l’alliance faite à Noé. En Abraham se poursuit ce cheminement : la foi existentielle conduit à la foi en un seul Dieu.

La foi existentielle témoigne de véracités en référence à la réalité d’événements réels, de l’ordre naturel des choses, elle est au fondement de toute existence, comme un principe de réalité incontournable fondateur d’une éducation.

Le cheminement biblique fait passer de la conscience d’une véracité à la quête de la vérité. La vérité y est exprimée selon la parole divine par la bouche d’hommes, les prophètes. Jésus incarne enfin et accomplit, selon les évangiles, cette parole ouvrant une alliance nouvelle. Lorsque Jésus dit : “ La terre et le ciel passeront mais mes paroles ne passeront pas” 2852 il signifie bien que la foi existentielle naturelle se référant à l’ordre naturel est accomplie et dépassée dans l’ordre d’une alliance nouvelle et éternelle.

La foi, qui est donc toujours première, agit de façon mystérieuse et diffère de l’hypothèse déductive rationnelle, de l’opinion, et de l’hypothèse inductive que celles-ci suggèrent, comme enfin de la croyance. Expliquons nous :

La foi diffère de la pure hypothèse déductive : dans son journal métaphysique, Gabriel MARCEL écrivait, en date du 7 décembre 1919 :

‘Qu’on imagine une dépêche d’agence annonçant que M. X a découvert l’existence de Dieu. Pourquoi est-ce si radicalement absurde ? 2853

Anne PARAIN-VIAL, commentant la philosophie de Gabriel MARCEL dont la quête métaphysique essentielle chemina entre opinion et foi, ajoute encore :

‘Ainsi, la foi loin d’être une velléité, une opinion sans engagement, est une participation à la réalité, l’attestation d’une présence; et les saints loin d’être des imaginatifs sont les plus réalistes des hommes. 2854

La foi n’est pas plus une opinion sans frais qu’une hypothèse inductive qui s’exposerait à armes égales à l’hypothèse contraire, elle est un engagement concret qui appelle, dès les prémisses, une victoire inconditionnelle contre toute adversité.

La foi diffère enfin de la croyance : elle ne s’exprime pas seulement comme une adhésion de principe à une véracité ou une certaine vérité selon une parole, un fait ou un discours, qui ne seraient qu’extérieurs à l’être qui la postule.

La foi est relation vivante avec quelqu’Un qui la fonde, la questionne, la renouvelle. Cette foi qui se réfère à la vérité en opposition à l’erreur mais aussi à la Vie en opposition à la mort peut cependant fonder une croyance en une véracité.

D’ailleurs, en retour, réciproquement pourrait-on dire, la croyance spécifique, selon la Bible, en Jésus Christ Seigneur et Sauveur, qui caractérise le christianisme, est celle qui, explicitement, révèle et éclaire la foi existentielle et vitale propre à toute existence, foi implicite voire non explicitable, la définissant comme fondatrice, à l’émergence d’un dialogue nouveau entre Dieu et l’homme. Une bonne nouvelle est donc annoncée.

Nous expliquerons et développerons cette originalité, a priori paradoxale, voire à première vue aporétique, du christianisme biblique, ultérieurement. Cependant, notons déjà que lorsque Jésus dit d’un centurion romain, qu’il n’a pas trouvé en Israël une aussi grande foi 2855 , ou lorsqu’il dit encore à une femme malade qui, du milieu de la foule a osé touché, son vêtement pour guérir, que sa foi l’a sauvée 2856 , il ne parle certes probablement pas d’une confession de foi conforme à un dogme ou une norme, mais bien d’autre chose.

Mais alors cette foi révélée selon le message de la bonne nouvelle, ou l’heureuse annonce, sens étymologique premier du mot évangile, s’explicite-t-elle, se justifie-t-elle, en quoi, enfin, peut-elle influer cette étude même ?

Est-il possible, si cela était souhaitable, de faire, pour l’auteur de cet écrit, comme si elle n’était pas là ?

En tout cas, voici bien une dernière question qui ne trouve pas de réponse directe mais qui légitime déjà en partie que nous poussions plus loin notre investigation : nous pourrions même être tenté de considérer que tout cet écrit est une nouvelle question posée à cette dernière question, non pas vraiment pour une quête de réponse fermée et définitive, mais bien plutôt comme une ouverture.

En tout cas encore, Claude TRESMONTANT, théologien catholique, se démarquant de la métaphysique kantienne entre raison pure spéculative et raison pratique morale, pour proclamer l’existence d’une métaphysique propre au christianisme instituant et révélant une nouvelle raison unifiée et priante, analysant l’enseignement de Jésus, finira même par dire que la foi, avant d’être un vague sentiment est un enseignement appelant une expérience en actes et se fondant sur elle 2857 . Une réalité n’est, en tout cas, contestée par personne : la foi se fonde sur une relation personnelle débouchant sur une conscience universelle. Quels sont, dès lors, les rapport entre foi et raison, foi et éducation ?

Le texte biblique donne une sorte de définition de la foi lorsque Saint Paul écrit dans une de ses lettres à l’église de Corinthe ...

‘“ La connaissance enfle mais l’amour édifie. Si quelqu’un croit savoir quelque chose, il n’a pas encore connu comme il faut connaître. Mais si quelqu’un aime Dieu, celui-là est connu de lui.” 2858

Toute connaissance ainsi définie ne serait donc qu’une quête, une prière, on ne connaîtrait jamais quelque chose, à moins d’être connu de Dieu, ou, étymologiquement, d’être né de Dieu, et avec Lui ?

Saint ANSELME développa, au XI° siècle, l’argument dit ontologique de la preuve de l’existence de Dieu : c’est dans une problématique et une définition telles que nous venons d’évoquer, d’une foi conçue comme relation vivante et personnelle, comme expérience plus que comme déduction qu’il faut le lire pour le comprendre.

Pour saint ANSELME, en effet, la foi, il parle bien de la foi chrétienne qui nourrit la foi existentielle, est quête d’intelligence, elle requiert intelligence et raison, nous dirions peut-être aujourd’hui discernement, de la connaissance de l’Amour premier et de l’abandon total à celui-ci, “ fides quaerens intellectum “ .

Comme l’intelligence est nourrie par la foi et se met naturellement en quête de celle-ci, la foi appelle l’intelligence à être renouvelée.

En effet encore, pour saint ANSELME, l’argument n’était pas seulement théorique mais il saisissait tout l’être et devait conduire l’homme à toujours plus d’émerveillement, et l’argumentation s’enrichissait ainsi de cet émerveillement, et réciproquement.

Alors est-il possible d’entrer dans l’intelligence de la foi ?

La définition de l’apôtre Paul ouvre une double question :

Quelle mystérieuse intelligence, cachée ou exposée, dans le message biblique ouvre le cheminement de la foi et l’explicite ?

Inversement, comment la foi confiante aboutit-elle, pour celui qui croit, à se laisser enseigner par une parole écrite, selon une attestation reconnue comme divine ?

Nous sommes loin de l’exigence universitaire ?

Celle-ci requiert, aujourd’hui, une intelligibilité de l’exposé non seulement par rapport à lui-même et vis à vis du croyant mais une intelligibilité ouverte à celui qui prétend ne pas croire ou qui s’affiche comme agnostique.

Outre cette intelligibilité, externe en quelque sorte, l’exposé requiert un respect des positions agnostiques voire athées ou même simplement critiques, et une prise en compte honnête de leurs arguments.

La méthode devra être rigoureuse par rapport à elle-même et délibérément exposée à une argumentation critique.

Enfin, l’exigence universitaire suppose que les informations données soient exploitables et puissent être tenues en compte par quiconque.

Il reste encore que la foi, telle qu’elle se révèle dans la Bible est, à la fois personnelle et universelle. Personnelle, elle met en route des personnes à partir d’une conscience propre voire d’une conversion. Universelle, elle unit hommes et femmes pour la constitution d’un peuple parmi les nations selon l’ancienne alliance, d’un corps vivant en communion d’église, certains théologiens l’appellent le Nouvel Israël, selon la nouvelle alliance, appellation sujette à caution car elle n’est semble-t-il jamais utilisée dans la Bible.

Cette démarche inverse les rapports entre universel et singulier par rapport à celui du doute méthodologique et scientifique tels qu’ils sont classiquement conçus depuis DESCARTES jusqu’à BACHELARD : Il ne s’agit plus en effet de rencontrer l’universel à partir d’une défiance par rapport à son expérience personnelle, mais au contraire en la prolongeant, l’interprétant et en la confiant.

Il reste enfin que Jésus forme des disciples.

Il leur donne bien un enseignement qu’il leur demande d’aller à leur tour répandre sur toute la terre. “Allez enseigner toutes les nations” 2859

De quel enseignement parle-t-il ?

Notes
2844.

Antoine CABALLÉ “Entre le geste et la pensée” Mémoire de Licence en Sciences de l’Éducation - Université Jean Monnet Saint Étienne 1992 ; (93 pages).

2845.

Antoine CABALLÉ “Autodidactie aujourd’hui, ? Une question singulière posée à la modernité. De l’institution à la traverse, de la traverse à l’institution. À partir des notions d’universalité et de singularité.”

Mémoire de Maîtrise en Sciences de l’Éducation - Université Louis Lumière Lyon 2. 1993 ; (175 pages).

2846.

BLONDEL Maurice “ L’action 1893 “ (1893) P. U. F. Paris 1973 ; (495 pages). BLONDEL Maurice “ L’action II : L’action humaine et les conditions de son accomplissement. “ (1° édition en 1937)

PUF Paris 1963 ; ( 553 pages).

2847.

Les passages en italiques sont tirés des Cahiers pédagogiques (les) numéro 323 Avril 1994 ; “Enseigner les religions à l’école laïque”. l’article est de Jocelyne NGUYEN et Nicolle SAMADI.

2848.

VANISCOTTE Francine : “L’Europe de l’éducation” Hatier Paris 1990 ; (256 pages).

2849.

BAUBÉROT Jean “Vers un nouveau pacte laïque” Seuil 1990 Paris ; (266 pages).

Signalons le débat parmi les chrétiens entre partisans, pour certains, comme le protestant Guy BAUBÉROT d’un enseignement laïcisé des religions et ceux qui pensent que le fait chrétien est une affaire de témoignage plus que d’enseignements et qui s’opposent à un enseignement selon les sciences humaines, du fait religieux (Guy COQ).

COQ Guy “Démocratie - religion - démocratie” Éditions Mame imprimé à Campin en Belgique 1993 ; (303 pages)

2850.

Ajoutons, mais cela paraît presque anecdotique, de confession protestante.

2851.

Epître de Saint PAUL aux Hébreux chapitre 11 verset 1

2852.

Évangile selon Matthieu chapitre 24 verset 35.

2853.

MARCEL Gabriel “Le journal métaphysique” N R F 1927 ,à la page 223.

Cité par Jeanne PARAIN-VIAL “G. MARCEL” Seghers Paris 1966 ;à la page 131.

2854.

Jeanne PARAIN-VIAL o. cit. ; page 49.

2855.

Évangile selon Matthieu chapitre 8 versets 5 à 13

2856.

Évangile selon Marc chapitre 5 verset 27 à 32

2857.

TRESMONTANT Claude “L’enseignement de Ieschoua de Nazareth”

Seuil Paris 1970 ; (263 pages).

2858.

1° épître de Paul aux Corinthiens chapitre 8 verset 2

2859.

Évangile de Matthieu chapitre 28 verset 19