Note connexe numéro douze. Le fondement :ni rationalisation, ni divination,mais la foi (confiance)Extraits de : Antoine CABALLÉ op. cit. ; 1993 Pages 153 à 156

Le fondement : ni rationalisme, ni divination ; mais la foi (confiance ).

Si nous entrons dans la question de l’école et de l’acte éducatif par les fondements initiateurs ou fondateurs, nous trouvons trois grands types de constitution de celui-ci. Chacune de ses trois grandes approches s’incarnerait selon trois grandes familles de pensée :

le rationalisme, la divination, la foi.

-Le rationalisme (ce qui est différent du ” rationnel” ) :

Issu de la philosophie grecque, le rationalisme constitue le fait majeur de notre modernité dont l’hypostase de la pensée objective est comme le sommet et le ciment de toute idéologie (l’idée même d’idéologie découle du rationalisme). Cette hypostase conduisant à la séparation entre rationnel et raisonnable, fait revenir comme un cheval fou, l’irrationnel pur, l’homme cherchant des réponses aux questions du pourquoi, auxquelles la pensée objective reste sans réponse. Il en résulte ce dédoublement de la personne que nous avons tant évoqué. François CHÂTELET écrit :

‘Ainsi, la pensée, aux environs du V° siècle avant notre ère, passe de la régence du m ythe à la puissance de la logique philosophique ; mais ce passage signifie précisément qu’il y avait déjà une logique du mythe; d’une part et, que , d’autre part, dans la réalité philosophique est inclus encore le pouvoir du “ légendaire “. Du mythe à la pensée rationnelle ? Bien sûr. Mais celui-là n’est pas pure imagination désordonnée et celui-ci tend à s’imposer comme un nouveau mythe. 3125

Et nous en arrivons à ce paradoxe, la pensée objective appelant la superstition, l’irrationnel, l’initiatique, dont nous voyons bien depuis l’homo Académicus, et la notion de capital symbolique dont nous parle Pierre BOURDIEU, qu’ils prolifèrent à l’intérieur même de l’institution. 3126

-La pensée divinatoire :

La divination consiste à considérer le surnaturel comme le moyen exclusif d’une relation entre l’homme et la divinité. L’homme doit démêler le message de l’au-delà à partir d’une convocation qu’il adresse à celle-ci. La culture de l’Égypte ancienne est une sorte de point culminant de cette approche.

Elle conduit à l’ésotérisme, à la notion d’initiation, des rituels qui l’accompagnent. C’est le règne de la magie, de l’astrologie des sociétés secrètes, des rituels d’apprentissage, du compagnonnage dans ses rituels secrets, en tout cas.

L’homme qui pense et agit par divination convoque Dieu ou la divinité à partir des questions qu’il se pose et attend par des voies plus ou moins surnaturelles une réponse.

Il n’est pas enseigné mais renseigné puisque la pensée divinatoire consiste à ramener Dieu à soi-même. Et pour rétablir l’équilibre, de s’inféoder ensuite à ce Dieu. C’est le règne de la superstition, de l’ésotérisme, du monde mystique et des “énergies” ; (attention à la cybernétique).

L’homme se concentre et reçoit le message. Les dérives de possessions que l’on voit dans les sociétés primitives découlent de cette approche divinatoire. Nous pourrions penser que ces pratiques sont très lointaines de notre monde dit civilisé. En effet nous ne les avons pas trouvées dans les pratiques des autodidactes interviewés sinon comme une dérive à surmonter. Il serait peut être intéressant de se tourner du côté des pratiques, non plus de traverses, mais de plus en plus institutionnalisées. La simple écoute des émissions de radio du matin, la lecture de certains journaux à fort tirage, la prolifération des horoscopes, jusqu’au développement récent des pratiques initiatiques plus ou moins occultes à l’entrée des lycées aux grandes écoles, montrent, au contraire, que ces pratiques sont en recrudescence. Il est facile de constater que la notion de clan, d’intrigue s’accompagne toujours d’une montée de l’individualisme. Dans une école fondée sur ce primitif et barbare principe divinatoire, l’initiation serait le préliminaire indispensable à la reconnaissance. Le non initié resterait l’exclu. La concentration serait le moyen de se faire réceptacle. Apparaît l’homo symbolicus, dont nous a parlé Bruno DUBORGEL, analysant BACHELARD 3127 .

Ainsi donc rationalisme et divination s’appellent l’un l’autre, ils se répondent en plusieurs points :

-La connaissance s’obtient par l’effort préliminaire de la concentration, elle est, là une projection ici une “injection”, mais elle se construit toujours en rupture avec l’expérience quotidienne vécue, “naturelle”, et suppose la construction d’une cité dans la cité ‘une pensée dans la pensée.

-En conséquence ils supposent l’un et l’autre une initiation.

-Conséquence de la conséquence : ils excluent ceux qui ne connaissent pas là le concept, ici le rituel ; et donc débouchent sur l’opposition entre institution et traverse.

Ainsi, dans le monde moderne deux niveaux d’institutionnalisation apparaissent :

  • La science le domaine d’une objectivité rationnelle, sacralisée reconnue.
  • L’art officiel, où la part du subjectif de l’irrationnel est reconnu, à condition surtout qu’il soit éclaté et sans rapport avec le concret des choses.

Mais le dualisme de l’homme se trouve ainsi sacralisé. Et derrière cette dualité, son éclatement. Ainsi qu’un renoncement de principe, à comprendre ce qu’il croit à croire ce qu’il comprend. 3128

-La foi, la confiance :

C’est tout le chemin qui conduit Gerda au petit Kay. C’est le résumé du message de l’évangile, la phrase la plus répétée par le Christ à ces disciples est “n’ayez pas peur”, celle qu’il prononce très souvent vis à vis de ses rencontres est “Ta foi t’a sauvé”. Ici, la foi est la nature même de toute vie, on ne peut vivre sans foi, mais elle s’éclaire en Christ.

Cette foi en Dieu qui se fait homme par pur Amour, et don gratuit, conduit donc à reconnaître le surnaturel dans le naturel, le naturel dans le surnaturel, elle donne toute la liberté à l’homme de reconnaître, définitivement que le rationnel est raisonnable ; que le raisonnable est rationnel. La foi nourrit la pensée; la pensée nourrit la foi ; et tous deux s’épousent dans l’action, ici et maintenant.

Pierre GANNE exprime ainsi cette capacité de l’homme sanctifié (mis à part) pour vivre l’éternité dans le présent accueilli. “ Un saint c’est un homme qui vit le présent , simplement.” 3129 Ici point d’initiation puisque ce sont les enfants qui en sont l’exemple ; pont de concentration puisque tout est abandon et offrande; point d’institution humaine sacralisée puisque c’est la vie elle-même qui est nourriture. Dans une telle école, le maître c’est l’enfant lui-même. Non pas qu’il doive enseigner, et qu’il faille le laisser tout régenter; mais sa foi est exemple. Et Martin LUTHER, à l’époque, où démarre l’idée d’école contemporaine, reprenant les paroles même du Christ et les commentant, dira :

‘“Laissez venir à moi les petits enfants et ne les empêchez point, car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent.” . Cette prédication suffirait sans doute comme préface à un petit livre sur l’école, s’il y avait des yeux ou des oreilles qui pussent ou voulussent voir et entendre. 3130

Nous sommes loin de DURKHEIM, de ALAIN et de l’école de la République, où éduquer signifiait seulement civiliser 3131 . L’école est le lieu de rencontre, de l’invitation au Royaume. La pédagogie ne sera jamais, dès lors, une complétude, pas plus que l’institution. Et Karl BARTH peut dire :

‘En ce qui concerne le Royaume de Dieu toute pédagogie peut être bonne et toute pédagogie peut être mauvaise. Un escabeau peut être assez haut et la plus longue échelle trop courte pour forcer le Royaume de Dieu. 3132

Chaque enfant est invité à être Roi, et non seulement citoyen. La réponse à l’invitation lui appartient.

Cela signifie-t-il que la raison soit écartée ? Non, tout au contraire mais elle s’inclut désormais dans un processus bien plus large et global qui est le rapport à une Conscience, et à une Responsabilité au Règne dans la respiration d’une relation. Elle sera toujours, à la fois rationnelle et raisonnable.

Alfred BINET (1857/1911), initiateur, en début de siècle, des méthodes expérimentales en psychologie enfantine, créateur avec Théodore SIMON (1873/1961) des tests d’intelligence, disait toute l’importance des mesures objectives comme des repères du pédagogue. Il distinguait ainsi l’ancienne pédagogie s’appuyant sur les pratiques enseignantes,et la nouvelle, s’appuyant sur les méthodes expérimentales, en ces termes :

‘Je parlais de l’ancienne pédagogie comme d’une carriole démodée, mais pouvant encore rendre service. La nouvelle pédagogie a l’aspect d’une machine de précision, une locomotive mystérieuse, brillante compliquée, et qui au premier aspect frappe d’admiration ; mais les pièces ne semblent pas tenir les unes aux autres, et la machine a un défaut, elle ne marche pas. J’ai cherché (...) non pas à concilier ces deux systèmes opposés, mais à trouver mon chemin entre les deux. (...) Il nous parait facile de concilier ces deux tendances, en demandant à l’ancienne pédagogie et à la nouvelle des services différents. L’ancienne pédagogie doit nous donner les problèmes à étudier ; la pédagogie nouvelle doit nous donner les ^procédés d’étude. 3133

Le problème, plus de soixante dix ans plus tard, est que, bien souvent, tout se passe exactement dans l’autre sens, nous l’avons analysé 3134 . L’hypostase de la pensée objective, sclérose l’initiative personnelle des enseignants qui attendent de l’analyse de leurs pratiques par les experts la source de leur pratique. Paradoxe dont nous avons analysé que loin d’être un accident de l’histoire il pouvait tenir sa source dans ce dédoublement de la personne théorisé, entre le praticien et le penseur. Nous faudra-t-il dès lors craindre toute pensée formulée en termes objectivés, non sans doute, mais il faudra toujours revenir à la conscience qui permet leur interprétation. Cette conscience ne se construit pas sur le mode de l’objectivation même si elle se prête aux études de ce type. Désormais sa constitution s’opérera dans la relation soutenue par l’Amour Agapè. Analysant la parabole du bon samaritain 3135 , où Jésus répond à la question d’un docteur de la loi : “Qui est mon prochain ?”, Franz J. LEENHARDT écrit :.

‘Or Jésus, au lieu de définir qui est le prochain (...), qui doit être l’objet de miséricorde, indique que c’est le Samaritain lui-même qui a été un prochain, lui qui fut le sujet de l’acte compatissant. Il y a là un renversement très significatif. La raison de ce renversement est dans la nature même de l’amour qu’il s’agit de définir. L’amour dont Jésus parle, ce n’est pas un amour qui attire l’objet pour se l’approprier, c’est un amour qui va vers l’objet pour le servir. Opposition bien souvent marquée entre Érôs et Agapè. Or cette opposition a une conséquence inéluctable en ce qui concerne le prochain. Le prochain ne peut pas être un objet, car le prochain, n’existe pas avant que l’amour ne le découvre, ne le rencontre et, en quelque sorte ne l’invente. L’amour est une quête une requête ... un mouvement vers. (...) C’est l’amour qui fait naître le prochain, parce que celui qui aime s’approche. Il s’approche et il devient si proche qu’il s’assimile à celui vers lequel il est allé. Il l’aime non seulement autant que soi-même, mais en tant que soi-même. L’amour devient l’Autre.(...) Jésus a commencé par répondre au pharisien que le prochain c’est celui qui s’approche. 3136

Finalement, l’éducation, si elle conduit à l’intelligence, si elle se nourrit d’elle, supposerait à l’inverse du lévite et du prêtre qui passèrent leur chemin de Jérusalem à Jéricho pleins de leurs sagesses ou savoirs, sans reconnaître en l’homme au bord du chemin, un prochain, un frère, d’avoir une conscience au coeur et d’encourager cette conscience. Éduquer ce pourrait être naître à l’intelligence à la conscience d’être le prochain. Appeler à naître des prochains ; faire de soi-même un prochain.

Être le prochain ... n’est donc pas tant une finalité pour demain, qu’une réalité vitale pour aujourd’hui, ici maintenant ; une composante intrinsèque de l’acte éducatif lui-même, sa composante essentielle. Arrêtons nous quelques instants sur cette parabole. Toute la pédagogie pourrait peut être y tenir. D’abord celle du Christ qui, à un docteur de la loi, un savant donc, se levant et l’interrogeant pour l’éprouver 3137 , répond à la question par le renversement que notait Franz J. LEENHARDT. Réponse à une question par une autre question. Jésus s’est peut-être dit : “Tu me demandes qui est ton prochain. Je te réponds par une autre question : “ Qui a été le prochain du blessé ? “ Si je t’avais répondu par des grandes phrases tu aurais encore fait de l’exégèse, je te réponds par une mise en situation , tu vois toute la religion toute la sagesse du sacrificateur et du lévite n’auront pas suffi à leur ouvrir les yeux du coeur... Tandis que ce samaritain que vous considérez souvent comme un étranger, n’avait peut être pas de culture religieuse mais ... “Va ,et toi, fais de même ... 3138 Non, le Christ n’emploie pas la maïeutique, il n’accompagne pas le raisonnement du scribe, il le déséquilibre. Ce déséquilibre conduit, non pas vers une justification conceptuelle, rationnelle, mais simplement à voir les choses avec une perspective autre, une lumière toute autre. Désormais, pour le docteur de la loi, il devient plus important de secourir que de se questionner sur la nature théologique des prescriptions de la loi. Regardons à présent, du côté du samaritain. Il fut “ému de compassion 3139 (étymologiquement souffrir avec). Cette compassion va conduire le samaritain à agir. Cette action de secours va l’amener à panser les plaies du blessé 3140 , à le monter sur sa propre monture 3141 , enfin à le confier à l’hôte qui tenait l’hôtellerie auquel il dit : “ Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras en plus, je te le rendrais à mon retour. 3142 Concrètement, le samaritain fait tout pour remettre cet homme blessé “en état de marche” . Il ne lui demande rien en échange de sa sollicitude. L’homme blessé est rendu à une liberté par la gratuité du geste du samaritain. Finalement à la phrase de Paul RICOEUR “soi-même comme un autre “, je serais résolument enclin à préférer celle-ci : “l’autre comme soi-même”. La conscience ne naît pas de l’objectivation ; mais la prise en compte de la réalité objective dans toute sa dramatique expression, (l’homme blessé), pourrait bien naître de la naissance d’une conscience, et cette conscience s’éveille alors par la compassion. Allons plus loin encore : “l’autre comme soi-même” se rencontrent, en communion avec le Tout Autre Lui-même, le Christ. On pourrait dire : “ L’autre et soi-même, comme (et en ) Lui Seul.” Revenons, une dernière fois, pour conclure ce chapitre, à la petite Gerda. Elle a donc traversé le monde pour rejoindre le petit Kay qu’elle a délivré de l’ensorcellement de la reine des neiges par un simple baiser. Et Kay comprend que l’éternité ne se trouve ni par divination, ni par rationalisation, mais dans ce geste gratuit qu’a eu la petite Gerda. Ce geste fait prendre l’autre pour soi-même dans la gratuité du don de soi et la compassion à sa détresse.

‘“(...) les rosiers placés sur le chéneau fleurissaient, dans la fenêtre ouverte, et il y avait deux petits sièges d’enfants, et Kay et Gerda s’assirent chacun sur le sien en se tenant par la main, ils avaient oublié comme un rêve pénible la froide et vide splendeur du château de la reine des neiges. La grand’ mère était assise à la lumière du soleil de Dieu et lisait à haute voix dans la bible : “Si vous ne devenez pas comme des enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume de Dieu.” (...) Ils étaient assis là, tous les deux, grandes personnes et tout de même enfants, enfants par le coeur, et c’était l’été, l’été chaud et béni.” 3143

Cette maison “ouverte à la lumière de Dieu” où les hommes seraient “enfants par le coeur,” succédant au palais de glace de la reine des neiges, est une figure de l’école des enfants, dont l’objet serait non plus de conceptualiser l’éternité, mais de savoir accueillir cette lumière réchauffante, aimante, chaleureuse, gratuite, qui invite à aimer de même manière, et qui vient de Dieu et qui s’incarne dans le prochain.

Et cet accueil initial est déjà appel à construire.

Notes
3125.

CHÂTELET François : “La philosophie de PLATON à Saint THOMAS”. Hachette Paris 1991 ; page 18.

3126.

BOURDIEU parle du capital symbolique qui réduit les échanges entre personnes à des jeux d’offre et de demande proches des rites initiatiques sur le modèle de l’économie marchande. BOURDIEU Pierre : “Ce que parler veut dire” L’économie des échanges linguistiques. Fayard Pais 1982 ; (239 pages). FLAHAULT François “La parole intermédiaire” Seuil Paris 1978 ; (226 pages).

Ces deux auteurs de manière différente montrent combien l’ enjeu du langage, dans les pratiques sociales, sous les apparences parfois même de selon l’expression de Pierre BOURDIEU de la “rhétorique de la scientificité”, se joue dans le non-dit qui échappe à toute explicitation, car, par nature, non explicitable, que François FLAHAULT nomme l’illocutoire.

3127.

DUBORGEL B. 1983 ; op. cit. ; pages concernant BACHELARD. Voir dans le présent document les pages 29, 107, 108.

3128.

DUBORGEL B. 1983 ; op. cit. ; les pages concernant BACHELARD.

Voir également dans ce document pages 29, 107, 108.

3129.

GANNE Pierre ”Le don de l’esprit Leçons sur l’esprit saint “ ” Le Centurion Paris 1984

3130.

LUTHER Martin “Oeuvres tome 9” Édition Labor et Fides Genève 1961 ; (à la page 164).

Une prédication sur le devoir d’envoyer les enfants à l’école. (La citation du Christ est dans l’évangile selon saint Matthieu au chapitre 19 verset 14.

3131.

Voir l’analyse DUBORGEL B. 1983 ; op. cit. ; à propos de Auguste COMTE ( 1798/1857) le positivisme, Herbert SPENCER (1820-1903), (l’évolutionnisme), ALAIN, DURKHEIM etc ... (p. 228).

3132.

Karl BARTH “Parole de Dieu -Parole humaine”, Je sers Paris 1933 p 217 (270 pages)

3133.

BINET Alfred “Les idées modernes sur les enfants” (1909) Flammarion Paris 1973. (préface de Jean PIAGET) ; page 281.

3134.

Voir dans ce document aux pages 85; 86; et 88.

3135.

Évangile selon saint Luc chapitre 10 verset 29 à 38.

3136.

LEENHARDT F. J. “La rencontre de l’homme autrui, mon prochain.” in “Foi et Vie “ n° 3 Mai Juin 1950. (p. 247) (48° année).

3137.

Luc chapitre 10 verset 25.

3138.

Luc chapitre 10 verset 37 “Et Jésus lui dit : Va ,et toi , fais de même.”

3139.

Luc chapitre 10 verset 33

3140.

Ibidem verset 34

3141.

Ibidem.

3142.

Ibidem verset 35

3143.

H.C. ANDERSEN “Contes de l’Amour naissant” Gallimard tome 2 1979 p 72 “La reine des neiges” (voir en Annexes )