Ce modèle s’appuie sur trois caractères dominants :
Dans cette économie, l’information est un bien public parce que le prix de marché des titres des différentes entreprises peut être publiquement observé, révélant la performance de chaque projet.
Au contraire, dans le cas où la banque interviendrait, les projets entrepris ne dévoilent plus nécessairement l’information. Celle-ci n’est donc plus publiquement observée. En conséquence, la présence de la banque dans le processus de financement est la solution la mieux adaptée pour éviter le problème du ‘«’ ‘free rider’ ».
Ce choix résulte du fait que si le marché financier facilite l’agrégation des informations, il est mal équipé 328 pour les produire et les contrôler.
Au moins dans les premiers temps de son développement.