A Julie et Marie-Hélène
Que le Professeur René ROUSSILLON soit ici publiquement et chaleureusement remercié pour ses indications et ses conseils avisés, ainsi que pour la bienveillance dont il a fait preuve tout au long de son accompagnement.
Je remercie également Albert CICCONE pour ses interventions claires et aidantes tout au long de mes cinq années de séminaire de thèse.
Merci à Alba BLÜCHER, qui a démontré dans son aide toutes ses qualités de psychologue, pour ses remarques souvent originales.
Que mon collègue et ami Jean-Pierre FANGET, qui a su m’orienter vers ce travail et s’intéresser sans relâche à son évolution, reçoive toute la grâce (laïque) qu’il mérite.
Que Marie-Agnès PECHOUX, documentaliste émérite à l’Université Jean MONNET, trouve ici ma gratitude pour son aide précieuse dans mes recherches bibliographiques.
Remerciements à mes collègues du Service d’Accueil et d’Orientation de l’ANEF de Saint-Etienne, ainsi qu’aux autres personnels de cette institution, lesquels supportent mes observations cliniques depuis quelques années déjà.
Enfin que toutes les adolescentes que j’ai rencontrées dans mon cadre professionnel, et qui sont souvent si touchantes dans leur ténacité et leur recherche de solutions personnelles, ne soient pas oubliées ici, d’autant que certaines d’entre elles accompagnent dès aujourd’hui l’adolescence de leurs filles.
Jean-Louis CONTI
février 2004
L’embryon fatal,
texte D. KELVIN,
dessin J-P. DUFFOUR,
2003, Editions Rackham, Montreuil