3.3.3.2.2. Comparaison de moyennes (mère, père et personne extérieure)

Lorsque nous considérons les réactions des trois pères face aux trois enfants « déficients visuels », observons que :

  • En mode verbal :

La moyenne des événements de ces pères est de 147 avec un écart-type de 38 (avec la mère : 126, écart-type 47 ; avec la personne extérieure : 57, écart-type 18).

  • En mode kinesthésique :

La moyenne des événements de ces pères est de 291 avec un écart-type de 132 (avec la mère : 227, écart-type 86 ; avec la personne extérieure : 156, écart-type 40). L’écart-type entre les réactions du père face aux trois enfants est élevé. En effet, avec l’enfant plus jeune (12 mois), les fréquences dans ce mode de communication sont moindres par rapport aux deux autres enfants. Avec la mère aussi l’écart-type est élevé.

  • En mode regard :

La moyenne des événements de ces pères est de 136 avec un écart-type de 73 (avec la mère : 106, écart-type 60 ; avec la personne extérieure : 86, écart-type 72).

  • En mode toucher :

La moyenne des événements de ces pères est de 196 avec un écart-type de 89 (avec la mère : 182, écart-type 79 ; avec la personne extérieure : 59, écart-type 23).

Ainsi, lorsque nous comparons les quatre modes de communication, nous observons que la moyenne des événements des trois pères face à leur enfant «  éficients visuels » est toujours plus élevée que celle des mères. La personne extérieure arrive en dernière position, tous modes de communication confondus. Et lorsque nous prenons en compte les écarts-types, nous voyons qu’ils sont élevés. En effet, l’enfant 4 (12 mois), plus jeune, suscite moins de réactions que les deux autres enfants « déficients visuels ».