4. Résultat de la lutte biologique contre les hannetons

Les tentatives industrielles semblent déboucher sur une série d’échecs. Certaines expériences à grande échelle se soldent en effet par des résultats décevants. Dans une lettre adressée au Préfet de la Saône-et-Loire en 1895, l’administrateur de la sucrerie-raffinerie de Chalon-sur-Saône exprime un sentiment négatif concernant l’emploi de l’Isaria densa : « Nous ne voulons pas parler des parasites qu’on a cru un moment devoir être les sauveurs de la culture. Le Botrytis tenella qui a été fort préconisé ces dernières années, a donné un résultat nul dans des essais que nous avions faits nous-mêmes avec le plus grand soin et le hannetonnage est resté le seul moyen efficace pour combattre pratiquement le fléau »984.

Un tel sentiment est d’ailleurs partagé par les découvreurs et les analyses qu’ils peuvent en faire ne manquent pas d’intérêt. Les nouvelles industries sont en premier lieu au banc des accusés. Prillieux, pourtant au service du ministère de l’agriculture, considère que « si le Botrytis tenella peut être employé utilement dans la pratique agricole, il convient que la multiplication en soit faite par l’industrie privée »985. Alfred Giard lui répond immédiatement : « Je ne suis nullement de cet avis et, malgré les tendances libertaires qu’on m’a souvent reprochées, soit en science, soit dans un autre domaine, je pense que s’il est des cas où le socialisme d’Etat s’impose d’une façon impérieuse, c’est dans les questions du genre de celles que nous étudions en ce moment, et dans celles qui touchent à l’hygiène publique »986. En fait, il ne s’agit pour personne de condamner le secteur privé mais d’éviter une commercialisation incontrôlée d’agents biologiques fragiles et encore fort peu connus.. Cependant, d’après le Journal d’agriculture pratique, « la culture de la moisissure du ver blanc ne présente évidemment pas de bien grandes difficultés, mais elle exige un outillage et quelques soins spéciaux »987.

Ainsi, en dehors des circuits commerciaux, le nombre de tubes de cultures se déplaçant d’un chercheur à un autre ou d’un multiplicateur à un applicateur est sans doute assez élevé. Nombreux sont les scientifiques qui étudient le Botrytis tenella et le cultivent avec soin pour le reproduire. En 1891, Alfred Giard ne peut répondre aux demandes qui lui sont adressées dès le mois de juin et l’Institut agronomique connaît une rupture de stocks à partir de septembre. La demande étant probablement importante, Léopold Le Moult, bien que possédant un laboratoire, ne peut de toute façon subvenir au besoin de la France entière. Monsieur Leïzour, président du syndicat des agriculteurs de la Mayenne, semble le déplorer et affirme : « M. Le Moult n’en produit que fort peu, et le plus souvent il livre des tubes produits ailleurs »988. En fait, Léopold Le Moult réserve ses productions pour le canton dont il a la charge et indique seulement que son laboratoire a préparé des cultures sur milieu solide par milliers de kilogrammes « dont une notable partie a été employée dans le canton de Gorron de 1891 à 1896 »989.

En dehors des tubes de cultures artificielles, il existe des envois de larves malades ou de “momies” de hannetons. Ainsi, « Monsieur Guerre, maître d’hôtel et cultivateur distingué à Pré-en-Pail (Mayenne), se chargera du ramassage et de l’expédition des insectes qui lui seront demandés moyennant remboursement des frais »990. Cette exploitation des lieux où se trouvent des épidémies bien implantées inquiète par ailleurs très vite tous les acteurs de cette première tentative organisée de lutte biologique et les pousse à encourager les cultures en milieu artificiel.

Dès 1891, deux entreprises de Paris commercialisent les spores de Botrytis tenella 991. Les seuls commerciaux régulièrement cités, sans doute ceux dont les ventes sont les plus importantes, correspondent à des fabricants de produits chimiques, MM Fribourg et Hesse, dont l’activité se trouve domicilée au 27 de la rue des écoles à Paris. Expliquant les insuccès répétés, Léopold Le Moult affirme que, s’il ne met aucune précipitation dans la mise au point d’un procédé qu’il considère sans idée commerciale, certains souhaitent trop vite en tirer des bénéfices. Les commentaires de Léopold Le Moult sur le rôle du commerce dans l’échec sont particulièrement virulents : « Une usine fut montée qui inonda la France d’un produit qui n’était en réalité que le mélange de 1/20 de spores d’Isaria densa et de 19/20 de fécule de pommes de terre »992. De plus, cette unité de production, mise en place sans en référer aux différents découvreurs et expérimentateurs, pratique des prix particulièrement dissuasifs puisque le prix d’achat revient à 18 000 Francs par kilogramme de spores pures. Mais, cette machination commerciale n’est pas le seul élément choquant pour Le Moult : «  Or, s’il y a eu quelques succès, les échecs furent innombrables, et on imputa ceux-ci à la méthode qui se trouva ainsi discréditée, car n’étant pas commerçant, je n’avais donné aucune publicité à mes expériences, mais, si j’ai obtenu les résultats de Gorron et de Céaucé, c’est que j’ai procédé comme Krassilstchik, par quantités importantes puisque je consacrais 5 kg de culture au traitement d’un hectare »993. Néanmoins, la quantité n’est pas la seule donnée à prendre en considération. En effet, il convient que les cultures soient très pathogènes et, si Le Moult envisage une sélection en fonction des capacités destructrices, il semble que tous ceux qui vendent les cultures d’Isaria ne soient pas aussi exigeants. Ainsi, Mr Leïzour, professeur départemental d’agriculture et président du Syndicat des agriculteurs de la Mayenne écrit le 19 août 1893 une lettre à Fortier (Syndicat agricole de la Seine-Inférieure) dans laquelle il explique l’échec relatif de ses tentatives par le climat sec et chaud d’une part et par l’état des tubes d’ensemencement d’autre part. Il commente la situation ainsi : « J’ai fait venir ce printemps, pour la contamination des hannetons, 1 000 tubes de M. Fribourg et je les ai trouvés passables. En lui recommandant de ne pas vous en envoyer de trop vieux, je crois que vous serez bien servi.»994. Bien que le commerce de produits biologiques fragiles ne soit pas au point, il existe d’autres raisons aux échecs. Les naturalistes se rendent rapidement compte qu’il est difficile de provoquer artificiellement des épidémies. Après d’infructueuses tentatives en Gironde, Vassilière, professeur d’agriculture, affirme en 1896 : « Quand la nature ne fait pas elle-même les ensemencements, il semble que la destruction artificielle des chenilles de soit pas chose facile »995. En 1941, Robert Régnier, directeur de la station de zoologie agricole du Nord-ouest et du Muséum de Rouen, analyse les raisons des échecs anciens et des tentatives plus récentes. Il considère que l’erreur principale de la majorité des expérimentateurs et des applicateurs est de ne jamais avoir tenu compte des conditions de développement de l’Isaria densa en fonction des sols et du climat996. En effet, l’action naturelle des champignons entomoparasites est véritablement efficace dans certaines conditions et pendant des périodes précises de l’année, phénomènes étudiés plus sérieusement avant 1914 aux Etats-Unis997. D’autres auteurs vont plus loin. En 1933, A. Paillot, alors directeur de la station de la station de zoologie agricole affirme : « On a donc voulu se servir d’une arme que l’on ne connaissait pas. Le nombre des travaux consacrés à l’étude des maladies infectieuses des insectes est en effet des plus réduits ; à vrai dire, la question n’a été qu’effleurée, et par un petit nombre d’auteurs dont la plupart n’était nullement préparés à ce genre de recherche ». En effet, en 1914, date succédant à une période d’engouement pour les champignons entomopathogènes, un article de synthèse réunit une bibliographie internationale comprenant seulement 200 titres de notes et de mémoires scientifiques dont une partie non négligeable concerne les maladies des vers à soie. D’après son auteur, cette liste, qui englobe près d’un siècle de travaux divers, « doit être la plus importante sur la question rassemblée jusqu’à ce jour »998. Le manque de connaissances se traduit par des erreurs d’interprétation lors des observations de terrain. Résultat d’une certaine confusion, A. Paillot considère que des rapports d’efficacité peuvent parfois être plus ou moins faux : « On peut objecter aussi à quelques-uns de ces expérimentateurs que leur opinion, basée sur les rapports de cultivateurs ou d’agents locaux mal préparés à ce genre de travail, est, de ce fait, plus ou moins sujette à caution »999. De plus, in situ, les cultivateurs ne peuvent se rendre compte si les épizooties sont le résultat d’une infestation naturelle ou artificielle. François Picard, professeur de zoologie et d’entomologie agricole à Montpellier, estime que les interprétations praticiennes sont soumises à des considérations d’ordre psychologique. « On peut se demander pourquoi les praticiens, qui manifestent généralement la plus vive incrédulité à l’égard des moyens de lutte biologique, notamment l’utilisation des insectes auxiliaires, malgré les succès positifs et maintes fois contrôlés de cette méthode, s’enthousiasment avec une aussi grande facilité lorsqu’il ne s’agit plus d’insectes mais de champignons ». Pour Picard, « les mots de maladies, de contagion, d’épidémies parlent davantage à leur imagination que ceux de prédateurs ou de parasites, et surtout ils entrevoient déjà la possibilité de répandre, au moyen d’appareils qui leurs sont familiers, à la façon d’insecticides, des spores ou des liquides virulents, qui, dans leur esprit, extermineront les insectes jusqu’au dernier ». L’auteur ajoute alors : « Ce qui les séduit dans l’emploi des champignons, c’est l’espoir de prendre en main la méthode, qu’ils supposent simple, et de se libérer rapidement de ceux qui dans l’ombre du laboratoire, auront préparé leur succès »1000. Dans de telles conditions, en cas d’échec dans l’utilisation des cryptogames entomopathogènes, l’engouement se transforme en indifférence générale.

En effet, une relative discrétion, au sein de la littérature scientifique, entoure la pratique de la lutte biologique par l’Isaria densa après la Première guerre mondiale. Tout autant que le désintérêt consécutif à des échecs, les périodes d’absences de Léopold Le Moult entrave quelque peu la propagande destinée à sa découverte. D’après une notice conservée aux Archives nationales, son entreprise de destruction des vers blancs amène la ruine du découvreur de l’Isaria 1001. Il s’expatrie alors en Guyane française où il officie comme ingénieur chef du service des travaux pénitentiaires entre 1898 et 1909. Ses recherches reprennent cependant en 1911 après sa nomination comme ingénieur des ponts et chaussées à Nevers. Entre 1914 et 1922, date de la mise à la retraite de Léopold Le Moult, le laboratoire de ce dernier ne fonctionne plus. Reprenant alors ses travaux jusqu’à sa mort, Le Moult laisse, en 1926, comme héritage à ses filles le soin de poursuivre l’œuvre commencée.

Parmi les différents essais, réalisés dès 1922, nous pouvons citer des tentatives d’utilisations, qui connaissent un certain succès, par le Directeur de la D.S.A. des Deux-Sèvres en 1926 (commune de Ménigoute)1002. La chambre d’agriculture de l’Oise entreprend également des expériences concernant les cultures betteravières en 1935, immortalisées par une prise de vue. Les fabricants de Lemoultine affirme que « c’est le Président qui, émerveillé des résultats obtenus, a fait photographier le champ d’expériences »1003. Nous reproduisons ci-après le cliché en question, matériel de propagande peu objectif. En effet, comme le remarque Robert Régnier en mai 1946, « la suppression totale des betteraves dans les parcelles non traitée pour rendre la photographie plus convaincante est regrettable »1004.

Photographie n°2. Photographie “cartepostalisée” prise dans l’Oise en 1935. (A & A’ : parties non traitées ; B : secteur traité)
Photographie n°2. Photographie “cartepostalisée” prise dans l’Oise en 1935. (A & A’ : parties non traitées ; B : secteur traité)

Malgré l’intérêt que portent certains responsables de l’administration aux procédés de Léopold Le Moult, l’usage du Botrytis tenella n’entre pas dans la pratique agricole courante. Cependant, entre 1922 et 1939, certains praticiens, en différents départements1005 et même à l’étranger (Suisse), utilisent le Beauveria tenella produit par le laboratoire de parasitologie Le Moult. Ce produit, commercialisé sous le nom de Lemoultine engendre, comme le montre le dépliant publicitaire reproduit en annexe, chez certains utilisateurs un grand enthousiasme. D’autres exploitants, dont les ascendants furent convertis à cet usage par Léopold Le Moult près de cinquante ans auparavant, souhaitent poursuivre l’utilisation de l’Isaria. Ainsi, un agriculteur de la commune de Céaucé, espère poursuivre en 1939, avec les filles de Le Moult, les expériences auxquelles s’était prêté son grand-père en 1890. Particulièrement enthousiaste, ce praticien écrit : « Comme mon grand-père faisait avec votre père, je suis tout disposé à le faire avec vous, jugeant que la propagation de la destruction du ver blanc, par votre Isaria, est un grand bienfait que les cultivateurs ne connaissent pas assez et qu’on doit s’efforcer de faire connaître »1006.

Il apparaît également que d’autres entreprises offrent des produits composés de la même matière active. Dans un document émanant du laboratoire Le Moult, reçu le 28 février 1947 par le S.P.V., les producteurs de Lemoultine mettent en garde les usagers contre « les produits similaires vendus dans le commerce et qui ne sauraient donner les mêmes garanties »1007. Les descendants de Léopold Le Moult ajoutent qu’ils ne possèdent aucun dépôt en France et surtout que le mode de propagation n’a pas changé depuis la fin du dix-neuvième siècle. De fait, il semble que des exploitants agricoles puissent se procurer des substances dont l’épandage ne s’effectue aucunement à l’aide d’un support de culture à base de pomme de terre. En 1931, un pépiniériste de Feyzin (département du Rhône) affirme qu’il a obtenu « un succès complet » dans la lutte contre les hannetons à l’aide d’un produit biologique nommé “Occiverblanc” présenté en poudre1008.

Notes
984.

A.D. Saône-et-Loire, M 2 807, Lettre de l’administrateur délégué de la Société anonyme de la Sucrerie-Raffinerie de Chalon-sur-Saône, 25 juin 1895.

985.

Ernest PRILLIEUX, dans le Progrès agricole, 20 septembre 1891, n°118, p.1463. (Cité par Giard. Article cité dans la note suivante).

986.

Alfred GIARD, « L’Isaria densa (Link), champignon parasite du hanneton commun (Melolontha vulgaris) », dans Bulletin scientifique de la France et de la Belgique, tome 24, 1892, pp. 1-111, citation p. 84

987.

« Correspondance » [réponse au courrier des lecteurs], dans Journal d’agriculture pratique, tome 2, 1891, p. 385

988.

[Lettre reproduite dans] E. FORTIER, « Destruction des hannetons et de leurs larves par le Botrytis tenella », dans Extrait des travaux de la société centrale d’agriculture de la Seine-inférieure, 234e cahier, 1894, pp. 596-615.

989.

Léopold LE MOULT, De la destruction des insectes nuisibles par les parasites végétaux, [conférence faite à Bourges à la société d’agriculture du Cher le 2 mars 1912], H. Sire,1912, 70 p. (citation p. 30)

990.

LEIZOUR, « Le parasite des vers blancs » dans Journal d’agriculture pratique, tome 2, 1891, p. 74-75

991.

Jean DUFOUR, « Note sur le Botrytis tenella et son emploi pour la destruction des vers blancs », dans Bulletin de la société vaudoise de sciences naturelles, tome 28, 1892, pp. 49-56

992.

Léopold LE MOULT, De la destruction des insectes nuisibles par les parasites végétaux, [conférence faite à Bourges à la société d’agriculture du Cher le 2 mars 1912], H. Sire,1912, 70 p. (citation p. 33)

993.

Léopold LE MOULT, « La destruction des insectes nuisibles par les parasites végétaux », Revue de botanique appliquée et d’agriculture coloniale, Bulletin n° 18, 28 février 1923, pp. 81-102.

994.

[Lettre reproduite dans] E. FORTIER, « Destruction des hannetons et de leurs larves par le Botrytis tenella », dans Extrait des travaux de la société centrale d’agriculture de la Seine-inférieure, 234e cahier, 1894, pp. 596-615.

995.

F. VASSILIÈRE, « Sans titre », dans Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux, tome 50, série 5, 1896, p. XXXI [Réponse à une allocution de Blondel de Joigny intitulée « Note sur les ravages occasionnés par des melolontha dans les forêts de pins », Actes de la Société Linnéenne de Bordeaux, tome 50, série 5, 1896, pp. XXIX-XXX].

996.

Robert RÉGNIER, « Les moyens de lutte contre les hannetons », dans Revue de zoologie agricole et appliquée, septembre-octobre 1941, n° 9-10, pp. 65-71

997.

J.R. WATSON, « Utilization of fungous parasites of coccidæ and aleurodidæ in Florida », dans Journal of économic entomology, volume 5, avril 1912, pp. 200-204.

R.W. GLASER, « The économic status of the fungous diseas of insects », dans Journal of économic entomology, volume 7, décembre 1914, pp. 473-476. [Les entomologistes américains semblent synthétiser plus rapidement les expérimentations agricoles et s’orienter vers des pulvérisations sur des insectes aériens].

998.

François PICARD, « Les champignons parasites des insectes et leur utilisation agricole », dans Annales de l’école nationale d’agriculture de Montpellier, nouvelle série, tome 13,1914, pp. 119-248 [Citation p. 123]. L’Isaria densa est rattaché par Picard au genre Beauveria. Il rapproche ce champignon du Beauveria effusa éudié par J. Beauverie dans les magnaneries et le nomme logiquement Beauveria densa.

999.

André PAILLOT, « L’infection chez les insectes », Trévoux, G. Patissier, 1933, 535 p., [citation p. 5 & p. 440]

1000.

François PICARD, « Les champignons parasites des insectes et leur utilisation agricole », dans Annales de l’école nationale d’agriculture de Montpellier, nouvelle série, tome 13,1914, pp. 119-248

1001.

A.N.-F., 5 SPV 54, Note non signée, provenant certainement des descendants de Le Moult, intitulée Historique de la découverte en France du champignon parasite du hanneton, 3 p.

1002.

A.N.-F., 5 SPV 54, Jacques PINEAU, Contribution à l’étude des hannetons en Poitou, 12 p. 1949

1003.

A.N.-F., 5 SPV 54, Note dactylographiée, au dos de la photographie, après la Libération.

1004.

A.N.-F., 5 SPV 54, Note de Robert RÉGNIER, Action de l’Isaria densa sur les vers blancs, 2 p.

1005.

En particulier : Aisne, Mayenne, Oise, Orne, Seine, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise, Yonne.

1006.

A.N.-F., 5 SPV 54, Copie d’une lettre d’un certain Hamard, propriétaire à Céaucé, en date du 39 novembre 1939. Cette copie est expédiée au Ministère au printemps 1946 par les descendants de Le Moult.

1007.

A.N.-F., 5 SPV 54, Dépliant intitulé “Destruction du ver blanc par les parasites végétaux”, 4 p.

1008.

Jean GAUJARD, « Destruction des vers blancs par le Botrytis tenella », dans Lyon horticole, n° 7, 1931, pp. 160-161