a) Les témoins carolingiens

Nous venons de le voir, après avoir été quasiment oubliée au cours des VIIe et VIIIe s., l’œuvre d’Ennode fut copiée en intégralité au moins quatre fois au IXe s.

  • Premier codex carolingien (= ; fin VIIIe s-début IXe s. ; perdu).
  • Deuxième codex carolingien, (= ; fin VIIIe s-début IXe s. ; perdu, utilisé lors de la compilation des Fausses Décrétales du Pseudo-Isidore).
  • Bruxelles, Bibliothèque Royale, 9845-9848, IXe s. (B)
  • Vatican, Biblioteca Apostolica, Lat. 3803, fin IXe s. (V)