A mes parents
Mes remerciements vont d’abord à Cécile Mourer-Chauviré, Louis Chaix et Jean-Denis Vigne pour avoir gentiment accepté de faire partie du jury de thèse et d’avoir été si patients avec moi.
Merci à Danielle Stordeur et Daniel Helmer qui m’ont offert le sujet de cette recherche et qui n’ont jamais cessé de me soutenir.
Merci à tous pour leur confiance et leur amitié.
Merci aux différentes missions franco-syriennes de Qdeir 1, et tout particulièrement à son actuel directeur Frédéric Abbès, de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée, pour tous les services qu’il m’a rendu et nos fructueuses discussions.
Merci à la mission française de Dja’de el Mughara, et tout particulièrement à son directeur Eric Coqueugniot, de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée, pour m’avoir accueilli lors des campagnes de 1999 et 2001.
Merci à la mission franco-syrienne de Jerf el Ahmar, et tout particulièrement à ses directeurs Danielle Stordeur et Bassam Jammous, pour tous les bons moments que j’ai vécus au sein de l’équipe depuis la première campagne de fouilles en 1995 jusqu’en 1998.
Merci à la mission espagnole de Tell Halula, et tout particulièrement à son directeur Miquel Molist ainsi qu’à Maria Saña, de l’Université autonome de Barcelone.
Merci aux équipes ayant participé aux fouilles de Mureybet au début des années soixante-dix, sous la direction de Jacques Cauvin, et aux fouilles d’El Kowm 2 dans les années quatre-vingt, sous la direction de Danielle Stordeur.
Merci à la Direction générale des Antiquités et des Musées de Damas.
Merci à Ahmed Taha, directeur du Musée d’Ethnographie de Palmyre, pour m’avoir accueilli au sein de son institution durant le mois de juillet 1997.
Merci à Gianluca Serra, ornithologue travaillant à la réserve naturelle d’El Talilah à Palmyre, pour sa visite et nos passionnants échanges scientifiques.
Merci à la Syrie à laquelle je suis profondément et intimement attaché.
Merci à Cécile Mourer-Chauviré pour avoir mis à ma disposition la collection de squelettes d’oiseaux dans le Département des Sciences de la Terre de l’Université Claude-Bernard Lyon 1, ainsi que pour sa gentillesse et son précieux soutien.
Merci à Martine Faure et à Claude Guérin, pour leur amitié et leur soutien au départ de ma formation dans cette même institution et à l’Université Lumière Lyon 2.
Merci à Mme Clermont pour son aide capitale dans la réalisation des lames minces au Département des Sciences de la Terre de l’Université Claude-Bernard Lyon 1.
Merci aux ami(e)s qui ont partagé mes premières années de recherche dans ce Département, en particulier Andrea, Antoine, Dominique, Hélène, Julie, Philippe.
Merci à l’équipe du Laboratoire d’Anatomie comparée du Muséum nationale d’Histoire naturelle de Paris pour avoir mis à ma disposition la collection de squelettes d’oiseaux pour mes recherches, et tout particulièrement à Christine Lefèvre, Anne Tresset, Jean-Denis Vigne.
Merci à Jacques Castanet, du Laboratoire d’Anatomie comparée (Université Paris 2), et à Eric Pubert, de l’Institut du Quaternaire à Talence, pour leurs précieux conseils concernant la cémentochronologie.
Merci à toute l’équipe de l’antenne ardéchoise (Jalès) de la Maison de l’Orient, à Frédéric Abbès, François Barbot, Marie-Claire Cauvin, Abro Deraprahamian, Anne Scher, Jacqueline Trincat, George Willcox.
Mes remerciements à feu Jacques Cauvin pour ses inestimables recherches et toutes les passionnantes discussions que nous avons partagées ensemble.
Merci à la Maison de l’Orient et de la Méditerranée pour son accueil, et tout particulièrement à Olivier Aurenche, Christine Chataignier, Eric Coqueugniot, Marie Le Mière, Françoise Le Mort, Claudine Maréchal, Agnès Piédimonte, Emmanuelle Vila.
Merci à Anne Schmidt et Armand Desbats pour avoir mis à ma disposition un microscope polarisant et ses accessoires informatiques au Laboratoire de Céramologie de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée.
Merci à ceux avec qui je collabore parallèlement depuis plusieurs années sur le plan scientifique, en particulier à Sophie Berthier, Didier Binder, Olivier d’Hont.
Merci à tous mes amis syriens, en particulier à Amjad, Ammar, Diaa, ‘Imad, Mos’ab, Rima, Suzanne, Tha’er, et enfin à mon ami Ayham dont la disparition m’a profondément affecté.
Merci à Hassan Sidi el Maamar pour son amitié et ses intéressantes réflexions sur les pratiques pastorales.
Merci à Sandra d’avoir partagé mes doutes et mes joies durant les premières années de la thèse.
Merci à Richard, mon ami de toujours.
Merci encore à tous mes amis, à toutes celles et à tous ceux à qui je n’ai pu consacrer tout le temps et la présence que j’aurai souhaités durant ces dernières années difficiles.
Merci à ma famille pour sa patience et sa confiance qui m’ont toujours accompagné.
Merci enfin à Hala, sans qui je n’aurais sans doute jamais terminé la thèse et dont la présence est blottie entre toutes les lignes de ce mémoire.