1) Collège de Suze-la-Rousse

Taux de réussite globale : 6e2 classique : 57,64 % ; 6e3 classique : 56,42 % ; 6e4 archéologie : 68,30 %. Cf. annexes 171 à 189.

Taux de réussite (questions 1 à 5) : 6e2 classique : 59,74 % ; 6e3 classique : 56,94 % ; 6e4 archéologie : 70,95 %. Cf. annexes 150 à 166.

Les moyennes des résultats par question des élèves de 6e4 sont en général supérieures à celles des autres classes. Les leçons et les documents restent identiques à ceux de 1998/1999. Les mêmes remarques valent pour les questions 1, 2a, 4B ou exp, 6, 8.

L’écart est important pour les questions 1 et 2. La différence peut aller jusqu’à 70 % (6e2/6e4, question 1a). A la question 2b, le pourcentage de bonnes réponses est très supérieur à celui de l’année précédente (9,52/60,87 %). De plus, les taux de réussite aux questions 3d et 3h sont élevés et supérieurs pour la classe-archéologie (y compris en termes de bonnes réponses).

Cette classe a mieux su répondre globalement à la question 4 A sur les importations que les autres ³²⁵ . Les pourcentages de bonnes réponses dégagent la même idée : 6e2 : 23,81 % ; 6e3 : 27,78 % ; 6e4 : 47,83 % ³²⁶ . Comment expliquer cet avantage ? Plusieurs raisons sont possibles. La visite du musée archéologique du Pègue a-t-elle été plus fructueuse ou le guide a-t-il insisté sur les importations de métaux (étain) et de céréales en Grèce ? Ses commentaires sur ce dernier point ont-ils eu plus de sens que l’analyse de la carte du commerce d’Athènes ?

Les supports archéologiques ont permis également de mieux répondre à la question 8a sur le nom d’une cité hellénistique globalement, si l’on considère les taux de réussite et les taux de bonnes réponses. L’écart est plus grand qu’en 1998/1999. Pour la 8b, la justification du choix de la ville, le libellé de la question est plus précis : la consigne consiste à demander les types de bâtiments hellénistiques, alors que la première question de 1998/1999 était plus générale, sans aucun indice pour faciliter la réponse. Les élèves de la classe archéologique font presque aussi bien ou mieux que ceux des classes-classiques : 56,66/ 57,5 et 44 % ³²⁷ .

Les documents servant à traiter la question 7 sont les mêmes par rapport à l’année précédente, mais ils sont analysés différemment pour pouvoir répondre à la nouvelle formulation de l’interrogation. De plus, cette question est liée au traitement de la numéro 8. La démarche historique/archéologique est satisfaisante, car les élèves ont bien répondu à 86 % en moyenne, soit 4 points de plus ou 1 point de moins que la note des classes-classiques. L’écart est donc minime.