Le problème logique de l’acquisition d’une langue étrangère par l’adulte

L’argument de Bley-Vroman (1989) sur cette question est tel :

Le problème logique de l’acquisition de langues étrangères devient celui d’expliquer le haut niveau de compétence évidemment possible dans certains cas et la large étendue de variétés possibles.

(Ellis, The Study of the Second Language Acquisition, 1997)

Schachtger (1988) de son côté part d’une perspective qualitative pour douter s’il y ait un adulte qui puisse ‘arriver à l’état mental comparable à celui d’un natif de la langue cible’ (idem). De là, la question logique réoriente pour expliquer la différence fondamentale entre les deux acquisitions.

Je ferai mon hypothèse sur ce point dans la partie suivante de résumé.