Ouvrages disponibles en français

  1. Le sentier des nids d’araignée, trad. par Roland Stragliati, Paris, Juillard, 1978.
  2. Le corbeau vient en dernier, trad. de Roland Stragliati, Juillard, 1980.
  3. Le vicomte pourfendu, trad. de Juliette Bertrand, Paris, Albin Michel, 1955.
  4. Contes Populaires Italiens, trad. de Nino Frank, Paris, Deuoel, 1980.
  5. Le Baron Perché, trad. de Juliette Bertrand, Paris, Seuil, 1960
  6. I Racconti, dans leur ensemble, n’ont jamais été traduits
  7. La partie : Gli Amori Difficili, a connu une traduction sous le titre : Aventures, trad. de Maurice Javion, Paris, Seuil, 1964.
  8. Le Chevalier Inexistant, trad. Maurice Javion, Paris, Seuil, 1964.
  9. La Journée d’un Scrutateur, trad. de Gérard Genot, Paris, Seuil, 1966.
  10. Marcovaldo ou les Saisons en Ville, trad. de Roland Stragliati, Paris, Julliard, 1979.
  11. Cosmicomics, trad. par Jean Thibaudeau, Paris, Seuil, 1968.
  12. Temps Zéro, trad. de Jean Thibaudeau, Paris, Seuil, 1970.
  13. Tarots, Parma, Franco-Maria Ricci,coll.«les Signes de l’homme », 1969.
  14. Les villes invisibles, trad. de Jean Thibaudeau, Paris, Seuil, 1974.
  15. Le Château des Destins Croises, trad. de I. Calvino et Jean Thibaudeau, Paris, 1976.
  16. Si par une Nuit d’hiver un Voyageur, trad. de Danielle Sallenave et François Wahl, Paris, Seuil, 1981.
  17. La Foret – Racine – Labyrinthe, trad. de Fournel et Rambaud, illustration de Bruno Mallart, Coll. Volubile, Seghers, 1991.
  18. La Machine Littérature, trad. de Michel Orcel et François Wahl, Paris, 1984.
  19. (Reprend un certain nombre de textes de Una Pietra Sopra.)
  20. Palomar, trad. de Jean – Paul Manganaro, Paris, Seuil, 1985.
  21. Collection de Sable, trad. de Jean – Paul Manganaro, Paris, Seuil, 1986.
  22. Sous le Soleil Jaguar, trad. de Jean – Paul Manganaro, Paris, Seuil, 1990.
  23. Le route de San Giovanni, trad. de Jean – Paul Manganaro, Paris, Seuil, 1991.
  24. Leçons Américaines, trad. de Yves Hersant, Paris, Gallimard, 1989.
  25. Pourquoi Lire les Classiques, trad. de Jean – Paul Manganaro, Paris, Seuil, 1993.