3.1. Le potentiel hydrogéologique

3.1.1. Unités hydrogéologiques

D’après les travaux de RICOLVI (1987) et de CORNACCHIA et al. (1989), deux unités hydrogéologiques principales peuvent être distinguées à Bangui : il s’agit des formations non-carbonatées et des formations carbonatées précambriennes (PLESINGER, 1990) ; les formations non-carbonatées comprennent les formations superficielles dans lesquelles les puits exploitent l’eau. Toutefois, les prospections menées par la JICA (1999) en vue d’étudier les eaux souterraines de la ville de Bangui ont distingué une unité hydrogéologique : les couches superficielles de latérite, qui intègrent l’aquifère superficiel ; ce qui fera deux unités hydrogéologiques avec les formations carbonées, comme PLESINGER l’a défini.